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Le pétrole recule encore, la demande américaine inquiète

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  • Le pétrole recule encore, la demande américaine inquiète

    Les cours du pétrole ont nettement baissé mardi, sans aucun soutien de chiffres mitigés sur la production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), le marché restant largement déprimé par le manque d'éléments concrets sur une réduction de l'offre.

    Le prix du baril de référence (WTI) a cédé 1,18 $ à 47,66 $ sur le contrat pour livraison en juin au New York Mercantile Exchange (Nymex).

    «Les cours du pétrole n'arrivent pas à se sortir de leur déprime, à un moment où les signes d'un rééquilibrage du marché mondial restent irréguliers», a écrit Matt Smith, de ClipperData.

    Le marché, qui avait déjà mal commencé la semaine la veille, a accéléré sa baisse en fin de séance dans un contexte marqué par les interrogations sur l'avenir de plafonds de production mis en oeuvre depuis janvier par l'OPEP et d'autres pays.

    Non seulement le marché ne sait toujours pas si ces accords seront prolongés après la mi-2017, même si beaucoup d'analystes jugent acquise cette extension, mais «une fois de plus, leur efficacité est remise en question», a rapporté John Kilduff, d'Again Capital.

    À cet appui, il évoquait les chiffres mensuels sur l'offre du cartel, remarquant que certains membres, comme les Emirats arabes unis et l'Angola, avaient vu leurs productions respectives repartir en hausse.

    Certes, «l'ensemble de la production de l'OPEP a légèrement baissé en avril, à 31,9/32 millions de barils par jour (bj)», a reconnu dans une note Tim Evans, de Citi.

    Mais c'est surtout à cause de la chute de l'offre libyenne à la suite des effets de la guerre civile et «on a appris que la production y avait rebondi ces derniers jours», a rappelé M. Evans, la compagnie publique du pays ayant annoncé lundi qu'elle avait retrouvé ses niveaux de 2014.

    Dans ce contexte peu engageant dans l'immédiat, les investisseurs restent attentifs aux États-Unis, dont la production ne cesse d'augmenter puisque les compagnies locales ne sont pas liées aux accords de l'OPEP et de ses partenaires.

    D'un côté, «il y a des signes comme quoi les réserves hebdomadaires de brut ont beaucoup baissé» aux États-Unis, a avancé Carl Larry, de Oil Larry.

    Le département de l'Énergie (DoE) publiera mercredi ses chiffres sur le sujet et les économistes tablent sur un recul des réserves de brut de 3,25 millions de barils, selon un consensus compilé par l'agence Bloomberg.

    Mais ils s'attendent aussi à une hausse des stocks d'essence d'un million de barils et à une progression de des produits distillés de 1,5 million de barils.

    affaires.lapresse.

  • #2
    Mauvaise nouvelle pour les pays exportateurs en difficulté économique tels le Venezuela, la Libye, le Nigeria, l'Angola, la Russie, l Iran.

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    • #3
      Tu as oublié de citer l'Algérie !

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      • #4
        Tu as oublié de citer l'Algérie !
        fallait surtout pas le dire.

        Commentaire


        • #5
          la vrai mauvaise nouvelle c est une reprise du cours du petrole importamte
          car cela va ralentir voir reporter les decision des reformes imdispensables pour l Algerie
          .
          .
          ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
          Napoléon III

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          • #6
            50.60$ pour le brent. baisse de 6$ en 2 semaines.

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            • #7
              Brent: 49.48$

              c'est la première fois qu'il passe sous les 50$ depuis fin Novembre 2016.

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              • #8
                Les énergies renouvelables ont sûrement un impact sur cette baisse des prix !

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                • #9
                  Le pétrole non conventionnel je pense car son prix de revient ne cesse de diminuer
                  .
                  .
                  ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
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