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Législatives algériennes: Les journalistes marocains personae non gratae

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  • Législatives algériennes: Les journalistes marocains personae non gratae

    L’Algérie empêche des journalistes de plusieurs pays arabes d’accéder au territoire algérien pour couvrir les élections législatives. Une liste des journalistes marocains interdits du territoire algérien a notamment été émise.

    Si, pour les précédentes législatives, les autorités algériennes avaient refusé d’accréditer les journalistes marocains pour la couverture de l’événement, elles adoptent aujourd'hui une approche encore plus agressive. Alger a en effet émis une liste de journalistes marocains qui sont tout simplement interdits d'accès au territoire algérien, rapporte Al Ahdath Al Maghribia dans son numéro du mercredi 3 mai. Et le journal de préciser qu’en plus des Marocains, des journalistes égyptiens et qataris sont également concernés par cette nouvelle consigne.

    Le journal croit savoir que tous les journalistes marocains se verront appliquer cette décision d’interdiction d’entrer sur le territoire algérien et qu’ils seront refoulés de tout aéroport à travers lequel ils pourraient tenter d’accéder au pays.

    Al Ahdath Al Maghribia, qui cite ses journalistes parmi ceux concernés par l’interdiction, souligne que les autorités algériennes justifient l'interdiction en évoquant «l’acharnement des médias marocains dans l’affaire des immigrants syriens». Al Ahdath rappelle cependant que ce n’est pas la première fois qu’Alger empêche les journalistes marocains de couvrir les élections et que cette situation ne fait que se répéter à chaque échéance législative, avec des méthodes différentes.

    En fait, à voir la liste des journalistes interdits d’accès au territoire, on se rend rapidement compte que l’argumentaire du traitement de la situation des migrants syriens ne tient pas la route. En effet, des journalistes de la chaîne qatarie Al Jazeera, ou encore d’autres journalistes égyptiens, syriens ou originaires des pays du golfe, sont également personae non gratae, ce qui laisse entendre que les autorités algériennes ne souhaitent pas que les législatives soient couvertes par des médias étrangers qui ne se contenteront pas forcément de relayer les versions officielles d’Alger.

    Pour rappel, les élections législatives seront organisées jeudi prochain. Dans certains pays comme le Maroc, les ressortissants algériens ont pu voter dès ce mardi 2 mai
    le360

  • #2
    Alger a très bien fait...
    Faut pas faire confiance aux mkhaznia !

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    • #3
      est ce que se sont tous les journalistes de la presse internationnale qui seraient interdits de couvrir ces élections..ou seulement les journalistes de ces nouvelles" democraties" arabes..si se ne sont que ces derniers qui sont concernes..ce n'est pas une grosse perte pour la liberte de la presse ....ils ont peut etre juge que pour la voix de son maitre celle qui est en Algerie suffisait largement

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      • #4
        le maroc avait laissé rentrer les journalistes algériens et arabes durant les dernières législatives marocaines. on sent que le régime putschiste a quelque chose a caché, il se peut qu'il y ait une abstention record(5 à 10% de participation au max).

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        • #5
          le maroc avait laissé rentrer les journalistes algériens et arabes durant les dernières législatives marocaines. on sent que le régime putschiste a quelque chose a caché, il se peut qu'il y ait une abstention record(5 à 10% de participation au max).
          Beaucoup de journaux algériens traitent entre autres sujets du phénomène de l'abstention aux élections depuis au moins 1990 (année de création des premiers journaux privés) aussi bien en périodes électorales - y compris la présidentielle- que le reste du temps. Aussi les journalistes marocains doivent d'abord s'occuper d'informer leur pays et le reste du monde sur ce qui se passe au royaume du sinistre makhnez. Sinon ça ne sert à rien de couvrir les autres pays, y compris les élections algériennes vu que tous ce qu'ils raconteront ne sera pas cru par la majorité des lecteurs au Maroc, en Algérie et ailleurs dans le monde.

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          • #6
            la presse marocaine est trop khabitha quand elle parle d'Algérie.
            Pour la liberté de presse justement, il faut la virer d'Algérie.
            La presse algérienne rend déjà compte de tout sans aucune retenue.

            Que les mkhaznias aillent s'occuper de leur roi et bon Dieu, de leur prostitution endémique, de leur rif en feu, etc... mais non, ils n'oseront jamais parlé honnêtement de leur khneze car ils savent ce qui les attend.

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            • #7
              Visiblement ces législatives algériennes n’intéressent pas grand monde. Seule une petite vingtaine de journalistes étrangers, des français pour la plupart, ont fait une demande d'accréditation.

              C'est normal. Le monde s'en tape parce qu'on connait les résultats d'avance. oeilfermé

              On peut écrire un papier sur le déroulement de ces législatives sans même mettre un pied en Algérie.

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              • #8
                On peut écrire un papier sur le déroulement de ces législatives sans même mettre un pied en Algérie.


                le FLN et le RND vont rafler 60% des sièges, les islamistes et les "gauchistes" vont recevoir 20% et le reste va être distribuer en fonction du quota de sièges garantis par le régime pour chaque petit parti.

                le premier ministre sera surement Ouyahya, sahib al mouhimat al kadira, comme il aime se faire appeler.

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                • #9
                  C'est à cause de ça que l'Algérie ne veut pas de journalistes marocains.

                  https://youtu.be/EqMc4G0c-Ro
                  Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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                  • #10
                    Envoyé par Pline
                    le FLN et le RND vont rafler 60% des sièges, les islamistes et les "gauchistes" vont recevoir 20% et le reste va être distribuer en fonction du quota de sièges garantis par le régime pour chaque petit parti.
                    Juste !

                    Reste le taux de participation réel avant bourrage et le taux de participation officiel après bourrage.

                    A voir le peu d’intérêts que ces législatives suscitent chez les algériens eux-même (sur ce forum, ils n'en parlent presque pas), on peut estimer que le taux de participation se situera entre 16 et 17% mais on annoncera un taux de participation officiel de 45%. Pas plus ! C'est peu mais plus que ça, ce ne sera pas crédible. oeilfermé


                    Voilà messieurs le journalistes marocains, vous avez votre papier. Nous vous avons donné les grandes lignes, il ne vous reste plus qu'à broder autour. oeilfermé

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                    • #11
                      En principe, tout journaliste doit requérir une accréditation par le pays où il entend produire un article à propos de l'actualité.

                      Sinon que dire alors du Maroc qui expulse des journaliste accrédités?

                      -«Expulsion». Un mot en vogue chez les autorités marocaines. Après avoir expulsé des journalistes prétextant une absence d’autorisation de filmer, voilà qu’elles s’en sont pris ce mercredi 6 avril à un collectif d’avocats et de juristes français, espagnols et belges, venus défendre la cause des détenus sahraouis condamnés dans le cadre du procès de Gdeim Izik de février 2013 (inculpés à l’époque par un tribunal militaire marocain pour «meurtres sur des membres des forces»).

                      Composé de l’avocate française Ingrid Metton, du professeur de droit international belge Eric David, du magistrat espagnol Jesus Maria Martin Morillo, ainsi que des avocats espagnols Maria Nieves Cubas Armas, Juan Carlos Gomez Justo et Altamira Guelbenzu Gonzalo, ce collectif est né dans l’urgence la semaine dernière «vu les conditions de détentions terribles et le déni de justice subis par ces prisonniers», selon Ingrid Metton.

                      Sur les 25 Sahraouis arrêtés en 2013, 21 ont été condamnés à des peines allant de vingt ans de prison à la perpétuité. Selon Ingrid Metton, ils étaient en grève de la faim depuis le 1er mars. Le but du collectif était de discuter avec les autorités marocaines des conditions de détention des prisonniers que certains d’entre eux représentent.
                      «Téléphones et ordinateurs fouillés»

                      Ingrid Metton raconte à Libé que son collectif avait sollicité une entrevue avec le Comité national des droits de l’homme du Maroc (un organisme qui travaille sous la tutelle du gouvernement) ainsi qu’avec le ministère de la Justice. Si le comité en question a contacté Ingrid Metton au moment où elle a foulé le sol du royaume marocain, le ministère de la Justice n’aura pas pris cette peine. A noter que le rendez-vous pris pour le lendemain avec le comité n’aura jamais eu lieu compte tenu de l’évacuation de tous les membres du collectif…


                      Source: Libération.fr

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                      • #12
                        C'est à cause de ça que l'Algérie ne veut pas de journalistes marocains.

                        https://youtu.be/EqMc4G0c-Ro
                        Je répète que la presse algérienne nous informe sur tout ce qui se passe en Algérie, y compris en Kabylie, au Mzab et ailleurs et n'avons pas besoin de la presse marocaine aux ordres pour cela.
                        Votre pseudo "diplomate" - il n'a de diplomate que le nom- ferait mieux de garder pour lui à l'avenir ses "leçons" sur la "démocratie" qui régnerait - c'est bien le mot - au royaume du makhnez.
                        Dernière modification par Slimane53, 03 mai 2017, 18h31.

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                        • #13
                          Pline,hakim et ayrod.
                          Vous avez tout faux le gouvernement algérien a interdit aux journalistes arabes de couvrir les élections en Algérie par ce que il ne veut pas qu'ils apprennent ce que c'est la démocratie et après ils vont l'appliqué chez eux.
                          Le gouvernement algérien veut que l'Algérie reste la seule démocratie du monde arabe.

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                          • #14
                            Qu'Est-ce que les chiens du makhzene peuvent-ils apporter d'autre à l'Algérie que les chienneries ?

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                            • #15
                              Leur apprendre à mordre au lieu de seulement aboyer.
                              Dernière modification par Awtil, 03 mai 2017, 19h32.

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