Tweet
Selon elle, Il y a eu des progrès et des insuffisances
La région de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (MENA), dans laquelle figure l’Algérie, est celle qui souffre le plus «d’un déficit en matière de gouvernance comparativement à d’autres régions du monde», a estimé hier M. Daniel Kaufmann, directeur à l’institut de la Banque mondiale pour les questions de gouvernance, lors de la tenue à Alger, avant-hier, d’un colloque sur les libertés économiques, la gouvernance et la pauvreté.
Le représentant de la Banque mondiale a estimé, néanmoins, que l’Algérie a enregistré des progrès en matière de gouvernance durant les dernières années, tout en soulignant que l’amélioration de la gouvernance peut offrir un meilleur climat d’investissement.
Le colloque organisé par le Conseil national économique social (CNES) a réuni plusieurs experts nationaux et étrangers ainsi que des représentants du gouvernement. Dans son discours, le président du CNES, M. Mohamed Seghir Babès, a évoqué les différentes étapes qu’a connues la gouvernance en Algérie, citant le lancement «des grands dossiers» de la réforme de l’Etat ainsi que l’adhésion au MAEP/NEPAD qui vise, selon lui, «l’efficacité d’une action publique pleinement continue, universelle et intégrée» ainsi que la «valorisation du capital humain et son inscription dans la durabilité».
Lors des travaux, les experts ont souligné l’importance et le rôle de la bonne gouvernance dans le développement d’un pays. Parmi ces experts, le directeur du département MENA à la Banque mondiale, M. Théodore Ahlers, a souligné que la «promotion de la bonne gouvernance est un élément majeur dans le développement».
Il a ajouté qu’il «y a une relation forte entre le développement et la qualité de gouvernance», affirmant que la Banque mondiale va étendre son champ d’action en collaboration avec le CNES afin de consolider la bonne gouvernance en Algérie.
- Le Jeune Independant
La région de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (MENA), dans laquelle figure l’Algérie, est celle qui souffre le plus «d’un déficit en matière de gouvernance comparativement à d’autres régions du monde», a estimé hier M. Daniel Kaufmann, directeur à l’institut de la Banque mondiale pour les questions de gouvernance, lors de la tenue à Alger, avant-hier, d’un colloque sur les libertés économiques, la gouvernance et la pauvreté.
Le représentant de la Banque mondiale a estimé, néanmoins, que l’Algérie a enregistré des progrès en matière de gouvernance durant les dernières années, tout en soulignant que l’amélioration de la gouvernance peut offrir un meilleur climat d’investissement.
Le colloque organisé par le Conseil national économique social (CNES) a réuni plusieurs experts nationaux et étrangers ainsi que des représentants du gouvernement. Dans son discours, le président du CNES, M. Mohamed Seghir Babès, a évoqué les différentes étapes qu’a connues la gouvernance en Algérie, citant le lancement «des grands dossiers» de la réforme de l’Etat ainsi que l’adhésion au MAEP/NEPAD qui vise, selon lui, «l’efficacité d’une action publique pleinement continue, universelle et intégrée» ainsi que la «valorisation du capital humain et son inscription dans la durabilité».
Lors des travaux, les experts ont souligné l’importance et le rôle de la bonne gouvernance dans le développement d’un pays. Parmi ces experts, le directeur du département MENA à la Banque mondiale, M. Théodore Ahlers, a souligné que la «promotion de la bonne gouvernance est un élément majeur dans le développement».
Il a ajouté qu’il «y a une relation forte entre le développement et la qualité de gouvernance», affirmant que la Banque mondiale va étendre son champ d’action en collaboration avec le CNES afin de consolider la bonne gouvernance en Algérie.
- Le Jeune Independant