Mais non le rocher à chèvres de Persil ne valant aucun clou?
-Charles Powell, l'historien et actuel directeur de l'Institut Elcano, un present, hier à Madrid, son livre «Roi de la démocratie» en hommage à la contribution de Juan Carlos I dans la consolidation de la démocratie en Espagne.
Le Maroc est évoqué dans l'œuvre, indique l'agence Europa Press. Son auteur assure que l'ex-monarque était prêt à céder Melilla à Hassan II en 1979. Powell affirme que Juan Carlos avait fait partie de son projet, dans une conversation d'une heure et demie, au sénateur américain Edmund Muskie (Parti Démocrate , Ndlr), envoyez le personnel du président Jimmy Carter qui effectuait alors une tournée en Europe. L'ambassadeur Terence Todman était présent à la réunion.
La discussion entre les deux hommes avait fait l'objet d'un câble de l'ambassade américaine à Madrid, ajoute la même source. Longtemps placé document confidentiel ce n'est qu'en 2014 il a été déclassifié; Ce qui a permis à Powell de consulter.
Seul 10.000 Espagnols chrétiens vivent à Melilla (relevons l'erreur d'orthographe en l'occurrence par le "journaliste" marocain (Seuls).
Rapidement le Maroc est placé au cœur de la conservation. «L'affaire la plus importante entre l'Espagne et le Maroc sont les deux enclaves espagnoles», disait Juan Carlos à Muskie. «Il considere que Melila pourrait être cédée au Maroc à court terme voiture ne vivent que 10.000 Espagnols» de confession chrétienne, indique le câble de la chancellerie des Etats-Unis.
Il faut rappeler que nous sommes en 1979, la vague de naturalisation des Marocains de Melilla et de Ceuta n'a pas encore été lancée. Elle ne le sera que quelques années plus tard, sous le premier mandat de Felipe Gonzalez.
Juan Carlos a reconnu à ses interlocuteurs américains que la rétrocession de Melilla pourrait déplaire à l'armée de son pays. Il n'a pas écarté l'option d'une «protestation». Cependant, il s'est montré confiant par le «malaise» de ses généraux «durera seulement deux mois», assurance à l'expédition de Jimmy Carter sa capacité à «contrôler la situation».
Source:ya..................bi
-Charles Powell, l'historien et actuel directeur de l'Institut Elcano, un present, hier à Madrid, son livre «Roi de la démocratie» en hommage à la contribution de Juan Carlos I dans la consolidation de la démocratie en Espagne.
Le Maroc est évoqué dans l'œuvre, indique l'agence Europa Press. Son auteur assure que l'ex-monarque était prêt à céder Melilla à Hassan II en 1979. Powell affirme que Juan Carlos avait fait partie de son projet, dans une conversation d'une heure et demie, au sénateur américain Edmund Muskie (Parti Démocrate , Ndlr), envoyez le personnel du président Jimmy Carter qui effectuait alors une tournée en Europe. L'ambassadeur Terence Todman était présent à la réunion.
La discussion entre les deux hommes avait fait l'objet d'un câble de l'ambassade américaine à Madrid, ajoute la même source. Longtemps placé document confidentiel ce n'est qu'en 2014 il a été déclassifié; Ce qui a permis à Powell de consulter.
Seul 10.000 Espagnols chrétiens vivent à Melilla (relevons l'erreur d'orthographe en l'occurrence par le "journaliste" marocain (Seuls).
Rapidement le Maroc est placé au cœur de la conservation. «L'affaire la plus importante entre l'Espagne et le Maroc sont les deux enclaves espagnoles», disait Juan Carlos à Muskie. «Il considere que Melila pourrait être cédée au Maroc à court terme voiture ne vivent que 10.000 Espagnols» de confession chrétienne, indique le câble de la chancellerie des Etats-Unis.
Il faut rappeler que nous sommes en 1979, la vague de naturalisation des Marocains de Melilla et de Ceuta n'a pas encore été lancée. Elle ne le sera que quelques années plus tard, sous le premier mandat de Felipe Gonzalez.
Juan Carlos a reconnu à ses interlocuteurs américains que la rétrocession de Melilla pourrait déplaire à l'armée de son pays. Il n'a pas écarté l'option d'une «protestation». Cependant, il s'est montré confiant par le «malaise» de ses généraux «durera seulement deux mois», assurance à l'expédition de Jimmy Carter sa capacité à «contrôler la situation».
Source:ya..................bi
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