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Camps de Tindouf: un jeune sahraoui tué par l’armée algérienne (Association)
La violation des droits des sahraouis se poursuit toujours dans les camps de Tindouf de la part notamment des éléments de l’armée algérienne, postés autour de ces camps, qui terrorisent ces populations maintenues en otage par les séparatistes du Polisario.
Selon un communiqué de l’Association sahraouie de défense des droits de l’homme, parvenu à Article 19, la dernière victime de cette répression imposée aux sahraouis dans cette zone, l’assassinat, mercredi dernier, de Hafdallah Abdou Bibote tombé sous les balles des soldats algériens à l’entrée du campement Smara à Tindouf alors qu’il transportait à bord de sa voiture de la nourriture pour des bergers.
Un autre sahraoui du nom de Kari Mohamed Ali Wali a également été tué par l’armée algérienne dans des circonstances similaires le 18 mars dernier aux alentours des camps de Tindouf ainsi que deux autres jeunes à la frontière avec la Mauritanie.
Dans son communiqué, l’Association sahraouie de défense des droits de l’homme, tout en dénonçant vigoureusement ces assassinats, lequels constituent des crimes de guerre, en impute l’entière responsabilité à l’Etat algérien et appelle à présenter à la justice les auteurs de ces violations en vertu des lois internationales protégeant les droits de l’homme.
L’association appelle également le Haut commissariat aux refugiés et la MINURSO à prendre leur responsabilité pour la protection des sahraouis à Tindouf qui sont menacés aujourd’hui jusque dans leur intégrité physique.
Article19.ma
La violation des droits des sahraouis se poursuit toujours dans les camps de Tindouf de la part notamment des éléments de l’armée algérienne, postés autour de ces camps, qui terrorisent ces populations maintenues en otage par les séparatistes du Polisario.
Selon un communiqué de l’Association sahraouie de défense des droits de l’homme, parvenu à Article 19, la dernière victime de cette répression imposée aux sahraouis dans cette zone, l’assassinat, mercredi dernier, de Hafdallah Abdou Bibote tombé sous les balles des soldats algériens à l’entrée du campement Smara à Tindouf alors qu’il transportait à bord de sa voiture de la nourriture pour des bergers.
Un autre sahraoui du nom de Kari Mohamed Ali Wali a également été tué par l’armée algérienne dans des circonstances similaires le 18 mars dernier aux alentours des camps de Tindouf ainsi que deux autres jeunes à la frontière avec la Mauritanie.
Dans son communiqué, l’Association sahraouie de défense des droits de l’homme, tout en dénonçant vigoureusement ces assassinats, lequels constituent des crimes de guerre, en impute l’entière responsabilité à l’Etat algérien et appelle à présenter à la justice les auteurs de ces violations en vertu des lois internationales protégeant les droits de l’homme.
L’association appelle également le Haut commissariat aux refugiés et la MINURSO à prendre leur responsabilité pour la protection des sahraouis à Tindouf qui sont menacés aujourd’hui jusque dans leur intégrité physique.
Article19.ma
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