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Algérie : Bouteflika drague les islamistes

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  • Algérie : Bouteflika drague les islamistes

    Algérie : Bouteflika drague les islamistes

    Face aux difficultés croissantes du pays, le président algérien veut constituer un "front intérieur" avec les islamistes au gouvernement.

    À peine une semaine après les législatives du 4 mai, le Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal a appelé Abderrazak Makri, président du Mouvement pour la société de la paix (MSP, tendance Frères musulmans), pour lui demander de participer au prochain gouvernement. « Nous avons été contactés il y a deux jours par un émissaire, puis le Premier ministre m'a appelé aujourd'hui pour me confirmer la demande et pour préciser qu'elle émane du président de la République », a écrit, aujourd'hui mercredi 10 mai, Makri sur son mur Facebook. Ce dernier a ajouté que seul « le majlis ach-choura (conseil consultatif) du MSP tranchera la question après examen des recours au niveau du Conseil constitutionnel ».

    facebook Abderrazak Makri
    mercredi
    تصريح صحفي:
    لقد التقيت قبل دقائق بالسيد الوزير الأول عبد المالك سلال بعدما تم الاتصال بنا بواسطة قبل يومين لأتأكد من صدقية طلب دخولنا الحكومة فتأكد ذلك منه شخصيا، كما أكد بأن هذا هو طلب رئيس الجمهورية فأكدت له من جهتي بأن هذا القرار يتخذه مجلس الشورى الوطني الذي سينعقد بعد قرار المجلس الدستوري بشأن الطعون.
    د.عبد الرزاق مقري
    رئيس حركة مجتمع السلم.


    Placer le programme islamiste au cœur du système ?
    Le mouvement islamiste n'a cessé de dénoncer depuis jeudi dernier, date du vote, la « fraude massive » : l'alliance MSP-Front du changement n'a obtenu que 33 sièges, loin derrière les partis du pouvoir, le FLN (164 sièges) et le RND (100). « Le scrutin de jeudi dernier est entaché d'une fraude organisée et à grande échelle », avait accusé Makri au lendemain du scrutin. Le même Makri, évoquant une possible participation au gouvernement, avait conditionné, quelques semaines avant les législatives, son accord à deux facteurs : des élections « propres » et une « victoire » électorale de son parti. Or aucune des deux « conditions » n'est satisfaite.

    Nasser Hamdadouche, membre du bureau national du MSP, avait même déclaré, mardi 9 mai : « La crise de confiance persiste entre notre mouvement et le pouvoir, et pour preuve : la fraude massive, le ciblage de nos fiefs électoraux et le non-respect de la volonté populaire. » Au sein même du parti islamiste, deux tendances s'affrontent depuis que bruissent les rumeurs de l'éventuelle participation au gouvernement Sellal : l'une veut couper radicalement avec la politique d'entrisme du parti qui participa à plusieurs gouvernements ; la seconde voudrait renouer avec cette politique participative « afin de placer le projet islamiste et national au cœur du système », comme le réclament les partisans de l'ex-président du MSP, Aboudjerra Soltani, lui-même ex-ministre.

    Des contacts pris avant les législatives
    « Les contacts pour convaincre le MSP et son allié le Front du changement de participer aux législatives puis à un gouvernement élargi politiquement ont été initiés il y a des mois par des sherpas de la présidence. Le deal est le suivant : acceptez de crédibiliser le nouveau Parlement et vous faites votre retour au gouvernement, peut-être même plus », explique une source de la majorité gouvernementale.
    En mars, Soufiane Djilali, président du parti Jil Jadid (Nouvelle Génération), a accusé ouvertement le MSP d'avoir « négocié, sur le dos de l'opposition, pour gagner des quotas lors des prochaines élections et pour retourner au gouvernement », brisant ainsi le pacte moral qui liait une bonne partie de l'opposition qui s'était liguée pour former un large front au lendemain de l'élection de Bouteflika en avril 2014.

    L'enjeu : constituer un front intérieur
    « Bouteflika veut un consensus politique plus large aujourd'hui : il veut renforcer le front intérieur alors que l'Algérie fait face à plusieurs dangers : la crise économique, l'instabilité aux frontières. En même temps, nous voulons impliquer une partie de l'opposition dans la gestion en ces temps difficiles », poursuit la même source. Makri lui-même l'a reconnu dans une interview en avril dernier : « Nous allons nous mobiliser pour éviter que la colère de la société ne se transforme en casse. Nous canaliserons la colère du peuple afin de faire pression pour exiger le changement et entamer la transition démocratique. » « Jouer plutôt au punching-ball d'un pouvoir qui a besoin de cette opposition utile », commente un observateur proche du parti. Un pouvoir qui a, surtout, besoin de créer un consensus formel autour des scénarios de l'après-Bouteflika. « En l'absence d'une véritable vie politique et avec un pouvoir qui ne croit pas à l'alternance, certains partis de l'opposition savent qu'ils n'existeront pas en dehors du système, commente un cadre de l'opposition. Comme on dit en algérien : ou bien tu rentres dans le pouvoir ou bien celui-ci te rentre dedans. »


    lepoint Par Adlène Meddi, à Alger
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    L'Algérie a été endeuillée par plus de 25 ans de terrorisme nourrit par l'incompétence catastrophique des mafieux du cartel ANP/FLN et par l'extrémisme religieux toléré pendant des décennies par ce cartel, mais malgré cette tragédie humaine catastrophique, rien n'a été fait pour moderniser et séculariser l'Algérie en séparant définitivement la religion et la politique. Ce qui est vraiment désolant.

    Par respect aux centaines de milliers de victimes du terrorisme (morts et blessés), on devrait séculariser l'Algérie et cesser de jouer avec le cocktail explosif religion/politique.

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    • #3
      Salam,

      Algérie : Bouteflika drague les islamistes
      Peut-être qu’il sent son heure proche.. islamiser un peu le gouvernement lui intercédera peut-être au près de son Créateur.

      @Nassim
      L’auteur cet article est très professionnel.. Ton analyse est dépassée.. après vingt ans de recul ont connais très bien les tenants et aboutissants de la décennie noire. Moi personnellement je pense qu’un pouvoir civil et mafieux vaut mille fois un pouvoir militaire, mafieux et criminel.
      Les Laïcs, eux préfèrent faire baigner le pays dans le sang que de voir un « islamiste » au pouvoir. Le hashtag #mansautich a fait le jeu des laïcs.. même si une forte abstention aiderait au maintien du couple FLN/RND au pouvoir.. mais elle écarterait un risque de retour des islamistes. Car ils savent que si des élections vraiment démocratiques, comme celle de 92, étaient tenues, le résultat ne serait pas différent.

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      • #4
        Salam

        @ Mohamed_Rédha

        Primo, l'islamisme est incompatible avec la démocratie. Le but ultime de l'islamisme est d'instaurer la charia. Or, la charia est un système liberticide, et est donc incompatible avec la démocratie.

        Secundo, ce ne sont pas des laics qui avaient fait sombrer l'Algérie dans la guerre civile, mais avant tout des mafieux corrompus qui avaient commis 2 erreurs catastrophiques: 1. Tolérer la propagation de l'extrémisme religieux en Algérie. 2. Autoriser la création d'un parti djihadiste totalement anti-démocratique (FIS) et sa participation aux élections.

        Je pense que l'Algérie doit tirer les leçons qui s'imposent des graves erreurs commises dans le passé et adopter de vraies réformes pour se moderniser et se séculariser.

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        • #5
          Que pouvons nous attendre d'un pays qui a redonné la liberté à des assassins dans un élan de "pardon" et de "conciliation nationale" ?
          N'est jamais déçu celui qui s'attend au pire !

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          • #6
            Envoyé par nassim
            Le but ultime de l'islamisme est d'instaurer la charia
            Ce que tu dis ici est caricatural..
            Un musulman doit se respecter et respecter sa croyance. Les députés musulmans doivent interdire ce qui est haram et rendre obligatoire ce qui est Fardh.. C’est ça la Chari3a.. Et ceux qui ne veulent pas de la charia ne sont tous simplement pas des musulmans..

            بسم الله الرحمن الرحيم : ".. وَمَن لَّمْ يَحْكُم بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فَأُولَئِكَ هُمُ الْكَافِرُونَ" صدق الله العظيم
            Une traduction 5.44 : .. Et ceux qui ne jugent pas d'après ce qu'Allah a fait descendre, les voilà les mécréants.

            Envoyé par nassim
            Primo, l'islamisme est incompatible avec la démocratie. Le but ultime de l'islamisme est d'instaurer la charia. Or, la charia est un système liberticide, et est donc incompatible avec la démocratie.
            Un Etat de droit est par définition liberticide.. et une démocratie n’est pas synonyme de liberté.. loin de là.

            Envoyé par nassim
            Secundo, ce ne sont pas des laics qui avaient fait sombrer l'Algérie dans la guerre civile,
            Les militaires n’auraient rien fait sans la complicité des laïcs.. on a vu le même scénario en Egypte.

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            • #7
              Envoyé par Mohamed_Rédha
              Ce que tu dis ici est caricatural..
              Ce n'est pas caricatural. L'objectif de la majorité des partis dits "islamistes" est d'instaurer la charia dans le pays.

              Un Musulman n'a pas besoin de l'Etat ou des politiciens pour pratiquer sa religion au quotidien. Et un Musulman moderne vit sa vie et laisse les autres vivre leur vie (Vivre et laisser vivre). On est au 21e siècle et non pas dans les sociétés primitives du désert saoudien du 6e siècle.

              Envoyé par Mohamed_Rédha
              Et ceux qui ne veulent pas de la charia ne sont tous simplement pas des musulmans..
              Cette phrase résume à elle seule l'extrême importance de la séparation de l'Etat et de la religion. A force de mélanger religion et politique, de nombreux pays musulmans sont devenus des bastions de l'extrémisme religieux et des poudrières susceptibles de sombrer dans le terrorisme religieux voire dans la guerre civile.

              L'Algérie a très lourdement payé les erreurs catastrophiques des mafieux du cartel ANP/FLN qui ont laissé l'Algérie sombrer dans l'extrémisme religieux et ensuite le terrorisme en autorisant un parti djihadiste. La solution d'avenir pour l'Algérie n'est pas de répéter les erreurs du passé, mais de se moderniser et de se séculariser pour entrer pleinement dans le monde du 21e siècle.

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              • #8
                Envoyé par nassim
                Ce n'est pas caricatural. L'objectif de la majorité des partis dits "islamistes" est d'instaurer la charia dans le pays.
                Et alors ? ou est le problème ? Instaurer la Chari3a, c’est du législatif.. un musulman qui se respecte doit légiférer dans le sens de ses propres convictions..
                Et pour ce qui est des partis dits "islamistes", leur but, comme n’importe quel autre parti politique, est de prendre le pouvoir exécutifs.. pour pratiquer la gouvernance qu’ils pensent être la bonne.

                Envoyé par nassim
                Un Musulman n'a pas besoin de l'Etat ou des politiciens pour pratiquer sa religion au quotidien.
                Heureusement.. la pratique de la religion est un droit fondamental.. et le monde entier doit respecter cela.. mais malheureusement ce n’est pas tjrs le cas.. On a vu des lois votées en France touchant la pratique religieuse.. Et même en Algérie, le port du foulard pour les corps constitués est tjrs interdit.

                Envoyé par nassim
                Et un Musulman moderne vit sa vie et laisse les autres vivre leur vie (Vivre et laisser vivre).
                Un citoyens lambda, Musulman ou pas.. doit effectivement vivre sa vie et laisser les autres vivre la leur.. nul n’a le droit de se substituer à la loi. Mais un législateur a le droit d’imposer une loi par la force de la majorité.. c’est ça la démocratie.. Les grandes démocraties du monde ne se gênent pas de légiférer dans le sens des intérêts et des convictions de la majorité. Alors nous, musulmans, on va se gênés.. tout comme les laïques s’ils arrivaient au pouvoir, ils ne vont pas se gêner eux aussi pour décréter des textes anti-religion.

                Envoyé par nassim
                On est au 21e siècle et non pas dans les sociétés primitives du désert saoudien du 6e siècle.
                Au 6ème siècle, ce désert n’était pas saoudien.. et les hommes que tu qualifie de primitifs avaient beaucoup plus le sens de l’honneur et des valeurs que les bnadem de notre époque.. Le grand sage Ahmed Chawki disait : (إنما الأمم الأخلاق ما بقيت.. فإن هم ذهبت أخلاقهم ذهبوا)

                Envoyé par nassim
                Cette phrase résume à elle seule l'extrême importance de la séparation de l'Etat et de la religion.
                Ce n’est pas ma phrase, c’est une ayates parmi tant d’autres dans le Coran.. (وَمَن لَّمْ يَحْكُم بِمَا أَنزَلَ اللَّهُ فَأُولَئِكَ هُمُ الْكَافِرُونَ).

                Envoyé par nassim
                A force de mélanger religion et politique, de nombreux pays musulmans sont devenus des bastions de l'extrémisme religieux et des poudrières susceptibles de sombrer dans le terrorisme religieux voire dans la guerre civile.
                Le terrorisme se nourris de l’injustice et de l’ignorance.. la religion n’est qu’un prétexte. Un prétexte qui arrange bien certaines dictatures, notamment militaire, pour se maintenir au pouvoir.
                Séparer la religion de la politique est une chimère.. la géopolitique mondiale est intimement liée avec la religion. Même les pays ultra-laïques, sont en fait très sensibles à toute "agression" religieuse étrangère contre leurs sociétés.
                Le fait-même de revendiquer la séparation religion/Etat est une force de manifestation religieuse. Ceci pour dire que les laïques ne sont que la manifestation d’une des deux extrêmes du clivage inter-religieux. Et comme les autres, ils pensent sincèrement qu’ils ont raison.

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                • #9
                  le pouvoir Algérien notamment depuis l'arrivée de Boutef n'a rien fait d'autres que la politique du "diviser pour régner" quitte à mettre le pays à feu et à sang, on a eu l'enfer permanent et la corruption comme cerise sur le gateau !

                  le pouvoir Algérien ressemble à la politique du diable Hollande et son rejeton Macron, créer le foutoir, diviser et affaiblir les opposants et pousser le peuple dans ses derniers retranchements : moi ou Le Pen
                  bravo ! ils ont tous lu et appliqué évidement Machiavel.

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par Mohamed_Rédha
                    un musulman qui se respecte doit légiférer dans le sens de ses propres convictions..
                    Tu parles des Musulmans comme s'ils étaient un groupe homogène. Or, c'est loin d'être le cas: il y a une grande diversité parmi les Musulmans qui va du Musulman sanguinaire pro-Daech au Musulman laic favorable à la laicité, en passant par le Musulman salafiste, le Musulman conservateur...etc. Non seulement il y a une grande diversité parmi les Musulmans en Algérie, mais aussi, il n'y a pas que des Musulmans en Algérie. Vouloir légiférer en sa basant sur la charia est non seulement insensé et anti-démocratique, mais pire encore, c'est une approche dangereuse comme en témoignent les nombreux conflits armés alimentés par la politisation de l'Islam dans de nombreux pays musulmans.

                    Envoyé par Mohamed_Rédha
                    Le terrorisme se nourris de l’injustice et de l’ignorance.. la religion n’est qu’un prétexte.
                    Non, les injustices et l'ignorance ne suffisent pas pour qu'une personne se transforme en terroriste et se met à commettre des crimes barbares. Le facteur déterminant qui pousse une personne à verser dans le terrorisme religieux est l'extrémisme religieux. Les terroristes du FIS par exemple ont tous un point commun: ils ont été endoctrinés par des extrémistes religieux du FIS (Ali Belhadj, Madani Mezrag...etc). Dans la vidéo, le terroriste du FIS Madani Mezrag résume en quelques mots le terrorisme islamiste du FIS en Algérie.

                    Le peuple algérien a énormement souffert de l'expérience catastrophique qu'était la talibanisation de la politique algérienne durant les années 80/90. Il est plus que temps pour l'Algérie d'innover, de se moderniser et de se séculariser.

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                    • #11
                      .... Il faut trouver un milieu .....

                      Supposons que la moitié de la population est à tendance démocratique et

                      l'autre moitié est à tendance islamiste. Doit on rejeter carrément les uns ou

                      les autres. Ou faire vivre les uns ou les autres une vie d'oppressés? Non, le

                      plus sage est trouver un milieu pour tous. ..... Même si la démocratie est

                      en contradiction avec l'islam (ou même la ""chariaâ") Nous devons trouver

                      des solutions pour tous ces ""Algériens"" vivent en harmonie .... Ceux qui

                      ne respecteront pas le compromis iront en prison et c'est tout.

                      Commentaire


                      • #12
                        Envoyé par mesmar
                        Non, le plus sage est trouver un milieu pour tous.
                        Justement, la démocratie représente une solution consensuelle pour le peuple algérien. Chaque Algérien aura des libertés fondamentales garanties (y compris la libérte religieuse) et pourra vivre sa vie librement dans une Algérie démocratique.

                        Des centaines de milliers d'Algériens ont été tués/blessés et des millions d'autres ont été traumatisés par plus de 25 ans de terrorisme nourri en grande partie par l'extrémisme religieux du FIS. Les Algériens ont appris d'une manière brutale et tragique les dangers de la politisation de la religion.

                        Notre devoir en tant qu'Algériens est de nous mobiliser pour démocratiser et séculariser l'Algérie pour que les futurs générations d'Algériens ne souffrent pas comme ont souffert les Algériens durant les années 1990/2000.

                        Commentaire


                        • #13
                          Mesmar
                          Supposons que la moitié de la population est à tendance démocratique et

                          l'autre moitié est à tendance islamiste.
                          encore de la caricature.

                          les elections de 91-92 ont bien montré ceux qui sont anti-democratie, c'est bien les laics qui ont sombré le pays dans le terrorisme pour garder le pouvoir avec les militaires .

                          Commentaire


                          • #14
                            .... il y a du vrai ...... mertaw.

                            ..... Peut être qu'il y a du vrai dans ce que tu dis ..... Ceux qui n'ont pas

                            cédé le pouvoir aux démocrates comme eux en 62 ..... en 88 .... il ne sont

                            fous pour le laissé aux islamistes qui risqueraient de les exécuter. Ils

                            emploieront 1000 et une astuces pour le garder ..... Ce ne sera ni les

                            islamistes, ni aucuns autres qui ne l'auront, quitte à s'allier avec les diables

                            de l'extérieures pour ne pas le perdre. ....... Vas y Nassim, je ne pense pas

                            que ce commentaire passera. .............. Joumouaâ moubaraka à tous. .......
                            Dernière modification par mesmar, 21 mai 2017, 11h19. Motif: mot à rectifier.

                            Commentaire


                            • #15
                              @Nassim
                              Je te lis a plusieurs reprise dire qu'il faudrait moderniser la société etla rendre plus sécularisé pour faire face aux islamistes. Comment pense-tu faire cela sans passer par une dictature sanguinaire et sans consulter le peuple? Et c'estle role de qui ? Les gens au pouvoir qu'on sait tous sont corrompus et incompétents?
                              Il est inconcevable de se fier a ces gens pour un travail aussi sensible.
                              Un exemple vivant est la Turquie. Malgré tout ce qu'a été fait par Ataturk et son parti,cette mission a échoué et la société s'est islamisée de nouveau.

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