L'analyste et journaliste algerien Hicham Aboud jaloux du Maroc !

[Yahya.gherbi]

Décomplexé... Pas mal.

[iridium]

C'est triste le mec il a la rage parce qu'il a visité le Maroc et qu'il a vu des infrastructures de qualité !

J'ai vu d'autres vidéos ou des journalistes algériens ne peuvent de faire des comparaisons débiles et envieuses !







Il en a des tonnes !

[Afellay]

je reposte tes vidéos parce qu'elles n'étaient pas visibles.

ps. il faut mettre juste le code de la video entre les balises [YT]

Il en a des tonnes !

[haddou]

Nos amis algériens doivent consulter un fqih avant qu'il ne soit trop tard

[molker]

Hadou :Nos amis algériens doivent consulter un fqih avant qu'il ne soit trop tard

Je pense que les algériens sont plutôt sains d'esprit ,ils ont une liberté de ton et ils critiquent tout ce qui ne va pas dans leur pays jusqu'à la caricature ,c'est plutôt un signe de bonne santé .....Par contre je ne dirai pas la même chose de toi ,du matin au soir en train d'éplucher le net pour publier le moindre article positif sur le Maroc (et tout ce qui est négatif sur l'Algérie ) ,c'est pathologique ,il faut consulter le plus vite possible

[tenebre]

franchement il n'y a pas de quoi à être jaloux, que se soit du coté algerien ou marocain ou autre, on est tous dans la même mierda !

on doit tous être jaloux de la Suede, Norvège , l"Allemagne !!!

[fortuna]

H. Aboud est un agent de l'ex-DRS, au service du clan anti-Boutef. Ses démêlés avec le frère du Président sont connus et étalés dans les médias. Donc niveau objectivité et crédibilité: rabbi ydjib !

Ses soi-disant "analyses" ne sont que des prétextes pour diriger une énième pique au clan adverse. Si lui est analyste, alors moi je suis la reine d'Angleterre.



P.S: Je viens de découvrir de nouveaux mkhaznia et 3ayyacha sur ce forum.
Gallek عش رجبا تر عجبا

[Arbia]

Topic khorotisme aiguë

[nordsud]

Molker
Toi aussi t'as remarqué son petit manège ici ,enfin euh qui ne l'a pas remarqué ?!

Arbia
Topic de complexés qui ne digèrent toujours pas la vérité dévoilée ici sur leurs médias mafieux .

[Bachi]

.Par contre je ne dirai pas la même chose de toi ,du matin au soir en train d'éplucher le net pour publier le moindre article positif sur le Maroc (et tout ce qui est négatif sur l'Algérie ) ,c'est pathologique ,il faut consulter le plus vite possible

Bien envoyé

le fqih c'est lui qui en a vraiment besoin.

[xenon]

Par défaut L'analyste et journaliste algerien Hicham Aboud jaloux du Maroc !

que ça soit pensé ou juste dit par hypocrisie pour emmerder bouteflika ,c'est la preuve que des algériens (journalistes de surcroît) peuvent dire du bien du Maroc sans complexe aucun .
par opposition,en face, les gens(qui prêtent l'oreille au régime) sont élevés dans la haine de l’Algérie et le déni de tout ce que ce pays peut représenter,les journaux et télés crachent à longueur de journée sur le voisin et le peuple du Makhzen s'abreuve de tout ce delirium jusqu'a devenir psychotique et obsessionnel .
je n'ai évidemment pas visionné la vidéo car je n'ai pas le temps ,par contre ,j'ai déjà voyagé au Maroc ,donc je me suis fait mon idée personnelle des atouts et défauts de ce pays .

[sekrouf]

On dirait que les Marocains sont fans des chaines algériennes. Ils passent leurs temps à les regarder et enregistrer chaque passage qui évoque leur pays. La Tunisie est probablement citée plus que le Maroc en tant que voisin, mais heureusement que les Tunisiens ne sont pas là pour nous saouler avec des enfantillages.

[Bachi]

Voilà un makhzni que notre Haddou doit trouver très sain d'esprit puisqu'il débite les mêmes inepties que lui.
Faut lire Zias Alami, voir combien la connerie lui sort par les oreilles.

POURQUOI LE MINISTRE TUNISIEN A EU RAISON DE QUALIFIER L’ALGÉRIE DE PAYS COMMUNISTE
Par Ziad Alami le 10/05/2017 à 15h41



Alger s’offusque officiellement des propos tenus le 4 mai à Rome par le ministre tunisien des Affaires locales, Riadh Mouakher, indiquant préférer situer son pays sous l’Italie plutôt que par rapport à l’Algérie, «un pays communiste». Pourtant, le ministre tunisien n’a dit que la vérité.

Dimanche 7 mai, le très épidermique Ramtane Lamamra, ministre algérien des Affaires étrangères, convoque l’ambassadeur tunisien en Algérie, Abdelmadjid El Ferchichi. Il y a, paraît-il, quelque chose de grave. «Les propos tenus par le ministre tunisien des Affaires locales Riadh Mouakher, le 4 mai à Rome, à l'égard de l'Algérie ont suscité des interrogations, autant au plan populaire qu'au plan officiel». Levée de boucliers dans la presse algérienne qui traite de tous les noms Riadh Mouakher et se scandalise que son voisin de l’Est qui vit, selon elle, grâce aux deux millions de touristes algériens qui s’y rendent chaque année, puisse oser parler de la sorte de l’Algérie


Or, qu’a-t-il dit de mal de l’Algérie, le ministre tunisien, pour faire l’objet de cette cabale féroce? «Quand on me demande où se situe la Tunisie, je ne vous cache pas que je préfère répondre qu’elle se trouve sous l’Italie. C’est mal vu de dire que la Tunisie se trouve entre l’Algérie, un pays communiste, et la Libye, un autre pays qui fait peur», a-t-il déclaré. Et voilà ce qui a valu au ministre tunisien d’être traité par les thuriféraires du régime algérien de «cynique, ignorant de la géopolitique ou encore les deux à la fois avec la mauvaise foi en argument»!

Alger est en crise diplomatique ouverte avec trois pays de son voisinage


Pourtant, le ministre tunisien n’a fait que répéter ce que martèlent les différents dirigeants algériens depuis l’indépendance de ce pays en 1962. La République algérienne démocratique et populaire (c’est le nom complet et officiel de l’Algérie tel qu’écrit dans la Constitution de ce pays) porte dans sa dénomination même une charge éminemment communiste. L’un des derniers pays communistes de la planète, la Corée du Nord, se définit ainsi: la République populaire démocratique de Corée (RPDC). Il existe une quasi-similitude entre les valeurs et principes dont se réclament la République algérienne démocratique et populaire et la République populaire démocratique de Corée. Et pas seulement d’ailleurs: les points communs entre ces deux pays dépassent largement les noms dont ils se prévalent.

Tunisie: être situé entre l'Algérie et la Tunisie pose problème


Parlons vrai, parlons clair: l’Algérie est bel et bien un pays communiste. Le voisin de l’Est en a fait le choix idéologique et continue d’appliquer le même système hérité de la pourtant défunte époque du communisme, que l’on croyait enterrée à jamais avec la chute du tristement célèbre «Berliner Mauer» (Mur de Berlin) au tout début des années 90. Pour s’en apercevoir, il n’est qu’à constater que l’Algérie continue de dépendre de «l’Etat-Sonatrach» dont la quasi-totalité des marchés est tributaire. Le régime algérien peut-il nier qu’il ne doit sa survie qu’à la seule Sonatrach, dont les recettes en hydrocarbures représentent 98% des exportations algériennes et 60% des recettes de l’Etat? C’est en effet ce géant des hydrocarbures qui irrigue les entreprises algériennes, régente et distribue les transactions en fonction de l’allégeance de chacune au régime en place. Un règne absolu de «l’Etat-Sonatrach» sur une économie de rente et qui tire sa plus-value des énergies fossiles, pétrole et gaz compris. Où sont alors le libéralisme et l’économie de marché?

Comment Alger amplifie des faits divers pour tenter de nuire au Maroc


Un monopole financier qui en appelle un autre, celui-là politique personnifié par le Front de libération nationale (le fameux parti unique des communistes) qui détient les rênes du pouvoir depuis l’Indépendance de l’Algérie, en 1962. Les 70 autres partis «agréés» ne servent évidemment que de figurants pour la «République démocratique populaire algérienne»! Sur le plan politique, il apparaît donc à l’évidence que l’Algérie continue d’être dirigée par un parti unique, à l’instar des anciens partis communistes. À la différence près que ces partis ont soit disparu ou bien se sont transformés en coquilles vides n’ayant plus aucune prise sur le cours des événements.

L’Algérie est l’un des très rares pays au monde à continuer à appliquer un système hérité de la belle époque de Staline, sachant que même les pays berceau de ce communisme, dont la fédération de Russie et la République populaire de Chine, se sont convertis à l’économie de marché.

A l’heure où les frontières se diluent à vue d’œil, où la tendance dominante est la libre circulation et l’ouverture des marchés, le régime autarcique algérien continue de cadenasser ses frontières, comme c’est le cas à sa frontière ouest avec le Maroc. Un repli anachronique, aux antipodes des échanges de personnes et de biens dans le monde. Alors, pourquoi s’émouvoir des propos d’un ministre tunisien qui n’a fait que dire ce dont l’Algérie se réclame aussi fièrement?

Par Ziad Alami

...