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La scène ne laisse guère de doute. Les cyber-activistes qui avaient été mandatés, en 2011, pour enflammer la zone arabe, sont de retour. Ils recommencent à être actifs sur les réseaux et, même, sur le terrain. Et cette fois-ci, ils sont grassement soutenus et, parfois, même, boostés par quelques organes de presse qui ont senti l’intérêt de « baigner » dans une telle affaire. Ils réinvestissent les réseaux sociaux et réactivent des pages qui avaient été mises, un moment, en veilleuse, quand leur rôle avait été consommé.
Dans le sillage de ces activistes, on trouve en première ligne, certaines figures du monde qui se dit « politique », qui se bousculent pour s’afficher comme soutiens, en attendant de pouvoir prétendre qu’ils étaient, plutôt, les mentors, de ces activistes. Il faut dire que ces pseudo-politiciens ont retenu la leçon de 2011, et ne laisseraient, à aucun prix, leur échapper l’opportunité d’une éventuelle « deuxième chance ». C’est ainsi, que nous commençons à revoir certaines figures des années sombres de 2011, 2012 et 2013, qui avaient pris le train en marche, mais qui se sont royalement plantés et ont grillé leurs cartes avec des alliances absurdes et des prises de position hilarantes. Car ces pseudo-politiciens sentent, peut-être que, quand les cyber-activistes bougent, c’est qu’il y a, forcément, les grandes puissances qui sont derrière. Et le projet des grandes puissances pour notre région est connu. Il a été ébruité il n’y a pas longtemps, mais il semblerait que peu de gens l’ont cru et ont compris l’impact que çà aurait sur notre petit bout de pays.
Le projet de l’oncle Sam, pour notre région, s’intéresse, plutôt à nos voisins de Libye. Puisqu’il s’agirait de diviser le pays en trois parties. Et la région tripolitaine devrait, selon ces plans, être indexée au sud tunisien.
Du coup, quand les mouvements sociaux ont éclaté dans le sud tunisien, il n’en fallait pas plus pour mettre la puce à l’oreille sur leur cause probable. Et, surtout, quand on revoit les intentions des « sponsors » des protestataires dans le sud, qui ont été « maladroitement » révélées par les posts de certains jeunes qui n’ont rien compris des enjeux, qui parlent du projet de « Fédération du sud tunisien », qui se vantent d’avoir les ressources comme le pétrole, le gaz, le phosphate, et, même, le sel… Et qu’ils vont s’émanciper du Nord du pays et qu’ils vont l’appauvrir, et eux, ils vont devenir riches comme crésus…On retrouve, forcément, la griffe des architectes du printemps arabe, et les conseillers des frères de Tripoli, qui les ont encouragés à vendre pour leur propre compte, le pétrole de la Libye.
Maintenant que la toile se révèle de façon presque complète, il ne nous reste plus qu’à prier et à espérer un miracle. Sachant que les faiseurs de miracles sont, de nos jours, occupés ailleurs.
Tunisie numerique
Dans le sillage de ces activistes, on trouve en première ligne, certaines figures du monde qui se dit « politique », qui se bousculent pour s’afficher comme soutiens, en attendant de pouvoir prétendre qu’ils étaient, plutôt, les mentors, de ces activistes. Il faut dire que ces pseudo-politiciens ont retenu la leçon de 2011, et ne laisseraient, à aucun prix, leur échapper l’opportunité d’une éventuelle « deuxième chance ». C’est ainsi, que nous commençons à revoir certaines figures des années sombres de 2011, 2012 et 2013, qui avaient pris le train en marche, mais qui se sont royalement plantés et ont grillé leurs cartes avec des alliances absurdes et des prises de position hilarantes. Car ces pseudo-politiciens sentent, peut-être que, quand les cyber-activistes bougent, c’est qu’il y a, forcément, les grandes puissances qui sont derrière. Et le projet des grandes puissances pour notre région est connu. Il a été ébruité il n’y a pas longtemps, mais il semblerait que peu de gens l’ont cru et ont compris l’impact que çà aurait sur notre petit bout de pays.
Le projet de l’oncle Sam, pour notre région, s’intéresse, plutôt à nos voisins de Libye. Puisqu’il s’agirait de diviser le pays en trois parties. Et la région tripolitaine devrait, selon ces plans, être indexée au sud tunisien.
Du coup, quand les mouvements sociaux ont éclaté dans le sud tunisien, il n’en fallait pas plus pour mettre la puce à l’oreille sur leur cause probable. Et, surtout, quand on revoit les intentions des « sponsors » des protestataires dans le sud, qui ont été « maladroitement » révélées par les posts de certains jeunes qui n’ont rien compris des enjeux, qui parlent du projet de « Fédération du sud tunisien », qui se vantent d’avoir les ressources comme le pétrole, le gaz, le phosphate, et, même, le sel… Et qu’ils vont s’émanciper du Nord du pays et qu’ils vont l’appauvrir, et eux, ils vont devenir riches comme crésus…On retrouve, forcément, la griffe des architectes du printemps arabe, et les conseillers des frères de Tripoli, qui les ont encouragés à vendre pour leur propre compte, le pétrole de la Libye.
Maintenant que la toile se révèle de façon presque complète, il ne nous reste plus qu’à prier et à espérer un miracle. Sachant que les faiseurs de miracles sont, de nos jours, occupés ailleurs.
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