Suite à la polémique née jeudi dernier au Maroc, notamment au sein même du mouvement En Marche! Maroc qui a choisi de suspendre jusqu'à nouvel ordre sa campagne pour les législatives, la candidate Leila Aïchi a voulu répondre à ses détracteurs par la voie d'un communiqué.
"À la suite de mon investiture, (...) des accusations infondées ont été publiées, souvent de façon anonyme, sur les réseaux sociaux, pour tenter d'entacher mon intégrité et mon indépendance", souligne la sénatrice française dans un communiqué. Leïla Aichi fait référence aux affirmations concernant sa position pro-polisario. "Je déments catégoriquement de telles accusations", souligne-t-elle, affirmant qu'elle n'a jamais eu de "paroles déplacées à l'encontre du Maroc, de son peuple et de la personne du Roi".
Dans un communiqué diffusé en 2013, la sénatrice s'alarmait pourtant "de l'indifférence internationale quant au sort réservé au peuple sahraoui", dénonçant "l'alignement systématique de la France sur la politique marocaine au Sahara occidental, et ce malgré les graves violations des droits de l'homme constatées par les ONG humanitaires", craignant pour finir que "le Sahara occidental ne se transforme en nouveau nord Mali..."
"Élue de la République, je n'ai aucune relation d'assujettissement envers une puissance ou des intérêts étrangers", déclare aujourd'hui la candidate aux législatives. "Je n'ai jamais questionné l'intégrité territoriale du Maroc, un grand pays à l'histoire et la civilisation plus que millénaire", poursuit-elle dans le communiqué.
La candidate d'En Marche! se félicite par ailleurs du retour du Maroc au sein de l'Union Africaine et "de l'action de la France pour renforcer le partenariat d'exception avec le Maroc". "Sur la question du Sahara occidental, je soutiens fermement la recherche d'une solution juste, durable et mutuellement agréée, sous l'égide des Nations Unies", affirme Leïla Aïchi.
La candidate a réaffirmé son engagement pour sa candidature aux législatives. "Je me réjouis de rencontrer nos compatriotes résidant au Maroc", conclut Leïla Aïchi.
huffpost
"À la suite de mon investiture, (...) des accusations infondées ont été publiées, souvent de façon anonyme, sur les réseaux sociaux, pour tenter d'entacher mon intégrité et mon indépendance", souligne la sénatrice française dans un communiqué. Leïla Aichi fait référence aux affirmations concernant sa position pro-polisario. "Je déments catégoriquement de telles accusations", souligne-t-elle, affirmant qu'elle n'a jamais eu de "paroles déplacées à l'encontre du Maroc, de son peuple et de la personne du Roi".
Dans un communiqué diffusé en 2013, la sénatrice s'alarmait pourtant "de l'indifférence internationale quant au sort réservé au peuple sahraoui", dénonçant "l'alignement systématique de la France sur la politique marocaine au Sahara occidental, et ce malgré les graves violations des droits de l'homme constatées par les ONG humanitaires", craignant pour finir que "le Sahara occidental ne se transforme en nouveau nord Mali..."
"Élue de la République, je n'ai aucune relation d'assujettissement envers une puissance ou des intérêts étrangers", déclare aujourd'hui la candidate aux législatives. "Je n'ai jamais questionné l'intégrité territoriale du Maroc, un grand pays à l'histoire et la civilisation plus que millénaire", poursuit-elle dans le communiqué.
La candidate d'En Marche! se félicite par ailleurs du retour du Maroc au sein de l'Union Africaine et "de l'action de la France pour renforcer le partenariat d'exception avec le Maroc". "Sur la question du Sahara occidental, je soutiens fermement la recherche d'une solution juste, durable et mutuellement agréée, sous l'égide des Nations Unies", affirme Leïla Aïchi.
La candidate a réaffirmé son engagement pour sa candidature aux législatives. "Je me réjouis de rencontrer nos compatriotes résidant au Maroc", conclut Leïla Aïchi.
huffpost
Commentaire