Il faut peu de chose pour faire la dictature marocaine! L'Hexagone se rangera toujours du côté de son satellite chérifien par crainte que celui-ci active la réciprocité des visas (cf. "le temps de la tutelle est révolu" )
-France : Proche de l’Algérie, Jean-Yves Le Drian est le nouveau ministre des Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian quitte le département de la Défense pour celui des Affaires étrangères. Le Breton a des positions proches de l’Algérie. A moins que la raison d’Etat ne l’emporte sur les opinions personnelles, le Maroc a du souci à se faire.
La liste du gouvernement d’Edouard Philippe vient d’être révélée. Le très sensible département des Affaires étrangères est revenu à Jean-Yves Le Drian, l’ancien ministre de la Défense pendant le quinquennat de François Hollande. Une nomination qui risque de susciter des grincements de dents à Rabat. En cause, sa proximité avec l’Algérie.
Durant son passage à ce ministère régalien, Le Drian a constamment exprimé des positions en faveur du voisin de l’Est, notamment sur le dossier malien. Il s’est toujours prononcé pour une mise à l’écart du royaume dans le règlement de cette crise.
De plus, le Breton n’a jamais caché sa proximité avec l’Algérie. En témoigne ses déclarations formulées sur un ton peu diplomate le 16 décembre 2014 en réponse à une question de l’hebdomadaire Jeune Afrique sur un possible rôle de Rabat dans le processus de réconciliation au Mali : «Nous n’avons pas à avoir une discussion sur ce sujet avec tel ou tel. Il y a une médiation algérienne, nous l’appuyons.»
Quand Mezouar taclait Le Drian
Des propos que Salaheddine Mezouar, l’ancien chef de la diplomatie marocaine, avait jugés «infondés et irresponsables» deux semaines plus tard dans une interview accordée à la même publication, assénant que «le temps de la tutelle est révolu».
Source: ya...........bi (extraits)
-France : Proche de l’Algérie, Jean-Yves Le Drian est le nouveau ministre des Affaires étrangères
Jean-Yves Le Drian quitte le département de la Défense pour celui des Affaires étrangères. Le Breton a des positions proches de l’Algérie. A moins que la raison d’Etat ne l’emporte sur les opinions personnelles, le Maroc a du souci à se faire.
La liste du gouvernement d’Edouard Philippe vient d’être révélée. Le très sensible département des Affaires étrangères est revenu à Jean-Yves Le Drian, l’ancien ministre de la Défense pendant le quinquennat de François Hollande. Une nomination qui risque de susciter des grincements de dents à Rabat. En cause, sa proximité avec l’Algérie.
Durant son passage à ce ministère régalien, Le Drian a constamment exprimé des positions en faveur du voisin de l’Est, notamment sur le dossier malien. Il s’est toujours prononcé pour une mise à l’écart du royaume dans le règlement de cette crise.
De plus, le Breton n’a jamais caché sa proximité avec l’Algérie. En témoigne ses déclarations formulées sur un ton peu diplomate le 16 décembre 2014 en réponse à une question de l’hebdomadaire Jeune Afrique sur un possible rôle de Rabat dans le processus de réconciliation au Mali : «Nous n’avons pas à avoir une discussion sur ce sujet avec tel ou tel. Il y a une médiation algérienne, nous l’appuyons.»
Quand Mezouar taclait Le Drian
Des propos que Salaheddine Mezouar, l’ancien chef de la diplomatie marocaine, avait jugés «infondés et irresponsables» deux semaines plus tard dans une interview accordée à la même publication, assénant que «le temps de la tutelle est révolu».
Source: ya...........bi (extraits)
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