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Le président du Département de l’industrie des Mines et du Commerce en Iran, Wahab Sahlabadi, a déclaré que « seulement 30 pourcent des unités de production en Iran sont actives, les 70 pourcent restants ont été fermés ou fonctionnent bien en dessous de leur capacité. »
Selon Tasnim, l'agence de presse de la Force Qods (pasdaran), Seyyed Abdul Wahab Sahlabadi a souligné que la dette des unités manufacturières en Iran est de plus en plus lourde et que personne ne pense à une stratégie dans ce domaine. « Aujourd'hui, au total, 30% des unités de production sont actives, ce qui prouve que 70 pourcent des unités de production sont fermées ou fonctionnent bien en dessous de leur capacité. »
Sahlabadi a ajouté : « La situation actuelle du secteur de la production n'est pas adéquate, ni celui du système bancaire. Chaque année la dette des unités de production devient plus lourde et aucune solution n'a été proposée au cours de ces dernières années pour cela. Les nouvelles installations ont également ajouté une nouvelle charge aux anciennes dettes différées des producteurs. »
Auparavant, le Fonds monétaire international avait prédit que l'année prochaine, la croissance économique en Iran serait réduite de moitié, et comparée au 6,5 pourcent annoncés, ce chiffre sera de 3,3 pourcent en 2017.
Ali Yazdani, responsable des petites entreprises et des parcs industriels, a pour sa part déclaré qu’en seulement six mois, plus de 7 000 unités industrielles ont été fermées en Iran.
CNRI
Selon Tasnim, l'agence de presse de la Force Qods (pasdaran), Seyyed Abdul Wahab Sahlabadi a souligné que la dette des unités manufacturières en Iran est de plus en plus lourde et que personne ne pense à une stratégie dans ce domaine. « Aujourd'hui, au total, 30% des unités de production sont actives, ce qui prouve que 70 pourcent des unités de production sont fermées ou fonctionnent bien en dessous de leur capacité. »
Sahlabadi a ajouté : « La situation actuelle du secteur de la production n'est pas adéquate, ni celui du système bancaire. Chaque année la dette des unités de production devient plus lourde et aucune solution n'a été proposée au cours de ces dernières années pour cela. Les nouvelles installations ont également ajouté une nouvelle charge aux anciennes dettes différées des producteurs. »
Auparavant, le Fonds monétaire international avait prédit que l'année prochaine, la croissance économique en Iran serait réduite de moitié, et comparée au 6,5 pourcent annoncés, ce chiffre sera de 3,3 pourcent en 2017.
Ali Yazdani, responsable des petites entreprises et des parcs industriels, a pour sa part déclaré qu’en seulement six mois, plus de 7 000 unités industrielles ont été fermées en Iran.
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