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MAROC,Economie : Les finances publiques affichent une forme insolente

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  • MAROC,Economie : Les finances publiques affichent une forme insolente

    Le déficit budgétaire atteint 8,1 Mds de dirhams fin avril 2017, contre 20,6 Mds à la même période en 2016.

    Hausse de 6,9% des recettes ordinaires.
    Les intérêts de la dette en baisse de 9,1%
    Les dépenses de fonctionnement affiche une baisse de 0,5%


    La situation des charges et ressources du Trésor dégage un déficit budgétaire de 8,1 milliards de dirhams au titre des quatre premiers mois de 2017, contre 20,6 MdsH un an auparavant, selon la Trésorerie Générale du Royaume (TGR). Cette évolution est imputable à une hausse de 6,9% des recettes ordinaires à 73,8 Mds de dirhams à fin avril et d'une baisse de 3,5% à 112,3 Mds de dirhams des dépenses émises au titre du budget général, explique la TGR qui vient de publier son bulletin mensuel de statistiques des finances publiques (BSFP) d'avril 2017.



    En effet, l'accroissement des recettes ordinaires est dû à la hausse des impôts directs de 12,4%, des impôts indirects de 5,7%, des droits d'enregistrement et de timbre de 1,8%, conjuguée à la baisse des droits de douane de 7,9% et des recettes non fiscales de 7,2%, précise le bulletin.

    Quant aux dépenses émises au titre du budget général, leur diminution s’explique par le recul de 10,5% des charges de la dette budgétisée, de 0,5% des dépenses de fonctionnement et de 1,7% des dépenses d’investissement, relève la TGR. Le recul des charges de la dette budgétisée, poursuit la même source, est dû à la baisse de 11,3% des remboursements du principal (17,8 Mds contre 20,1 Mds de dirhams) et de 9,1% des intérêts de la dette (11,3 Mds contre 12,5 Mds).


    Les recettes des comptes spéciaux du Trésor (CST) ont atteint 31 Mds de dirhams, tenant en compte des transferts reçus des charges communes du budget général d’investissement pour 10,6 Mds et de la rentrée de 348 MDH au titre des dons des pays du Golfe.

    Concernant les dépenses des CST, elles ont été de 18,7 Mds, dont un montant de 13,9 Mds concerne les comptes d’affectation spéciale (CAS), relève la TGR, précisant que le solde de l’ensemble des CST s’élève à 12,2 Mds de dirhams.

    Fnwews

  • #2
    Le déficit reste le grand problème de l'économie marocaine même s'il a baissé significativement sur ce premier trimestre.. Il faut une croissance supérieure aux 3/4% habituels bon an mal an pour résorber ce déficit. 8 MDH en 4 mois càd 200 mil. euro par mois, c'est faisable en peu de temps pourvu que la croissance soit soutenue.

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    • #3
      une grande partie des importations est constitué de produits d'équipement et de matières premières
      Les principaux produits de consommation d'importation demeure les céréales et les produits énergétiques
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        les importations, on ne peut pas faire grand chose, donc augmenter les exportations est la solution,

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        • #5
          avec la suppression de la caisse de compensation le déficit du budget est à un niveau normal.

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          • #6
            les importations, on ne peut pas faire grand chose, donc augmenter les exportations est la solution,
            imports c'est du revenue pour l'état

            Maroc : les recettes douanières ont atteint 9,2 milliards $ en 2016

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            • #7
              En effet, l'accroissement des recettes ordinaires est dû à la hausse des impôts directs de 12,4%, des impôts indirects de 5,7%, des droits d'enregistrement et de timbre de 1,8%, conjuguée à la baisse des droits de douane de 7,9% et des recettes non fiscales de 7,2%, précise le bulletin.
              Une hausse de 12.4%.C'est important, mais le plus intéressant de savoir, elle est dûe à quoi.C'est là où l'article montre ses limites.

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              • #8
                En effet, l'accroissement des recettes ordinaires est dû à la hausse des impôts directs de 12,4%, des impôts indirects de 5,7%, des droits d'enregistrement et de timbre de 1,8%, conjuguée à la baisse des droits de douane de 7,9% et des recettes non fiscales de 7,2%, précise le bulletin.
                Une hausse de 12.4%.C'est important, mais le plus intéressant de savoir, elle est dûe à quoi.C'est là où l'article montre ses limites.

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