Dommage qu'un "intellectuel" comme Tahara Benjelloun omette d'avouer qu'il fut invité par le voleur et narcotrafiquant M6 lors du dernier repas partagé avec François Hollande.
Donc, un vendu Tahar Benjelloun?
- Et si nous oublions l’Algérie? Ce voisinage devient pathologique. Il faudrait qu’il se calme. On pourrait même innover dans la pratique diplomatique et signer un accord, non de coopération et de fraternité (c’est bidon), mais un accord pour l’oubli l’un de l’autre.
Et si nous oublions l’Algérie? Si, calmement, sereinement, on décidait de mettre «ce pays frère et néanmoins ennemi intime» dans une case, puis on fermerait la porte à double tour. On garantirait ainsi notre paix et la sienne. On le laisse là où il est, tranquille, fermé sur lui-même, puisque ses dirigeants se refusent obstinément à ouvrir les frontières et observer les lois minimales du bon voisinage.
Car, ce qui se passe et qui est inquiétant, c’est que le Maroc ou du moins une grande partie du pays est obsédée par le voisin turbulent, entêté, créateur de mauvaises odeurs, jetant sur les tapis diplomatiques des peaux de banane et des boules puantes allant, comme s’est arrivé le 18 mai dernier à Saint-Vincent et les Grenadines dans les Caraïbes, à avoir recours à l’agression physique sur un diplomate marocain. La presse ne rate pas la moindre occasion de rapporter tout ce qui se dit ou se fait contre le Maroc ; il en est de même dans la presse marocaine à l’égard de l’Algérie. La tension est réelle de part et d’autre-
Tahar Benjelloun in le 360 (c'est tout de la maivaise foi du pamphlétaire).
Donc, un vendu Tahar Benjelloun?
- Et si nous oublions l’Algérie? Ce voisinage devient pathologique. Il faudrait qu’il se calme. On pourrait même innover dans la pratique diplomatique et signer un accord, non de coopération et de fraternité (c’est bidon), mais un accord pour l’oubli l’un de l’autre.
Et si nous oublions l’Algérie? Si, calmement, sereinement, on décidait de mettre «ce pays frère et néanmoins ennemi intime» dans une case, puis on fermerait la porte à double tour. On garantirait ainsi notre paix et la sienne. On le laisse là où il est, tranquille, fermé sur lui-même, puisque ses dirigeants se refusent obstinément à ouvrir les frontières et observer les lois minimales du bon voisinage.
Car, ce qui se passe et qui est inquiétant, c’est que le Maroc ou du moins une grande partie du pays est obsédée par le voisin turbulent, entêté, créateur de mauvaises odeurs, jetant sur les tapis diplomatiques des peaux de banane et des boules puantes allant, comme s’est arrivé le 18 mai dernier à Saint-Vincent et les Grenadines dans les Caraïbes, à avoir recours à l’agression physique sur un diplomate marocain. La presse ne rate pas la moindre occasion de rapporter tout ce qui se dit ou se fait contre le Maroc ; il en est de même dans la presse marocaine à l’égard de l’Algérie. La tension est réelle de part et d’autre-
Tahar Benjelloun in le 360 (c'est tout de la maivaise foi du pamphlétaire).
Commentaire