L’espace, né du vide,
Le temps, du non temps
La matière, du néant.
Tout part de rien,
L’amour, d’un regard,
L’embarras d’un regret,
La haine, d’une aigreur,
Le fruit, d’un labeur.
Tout part de rien,
Alors rien n’est pas nul,
Rien est à la base de laquelle tout s’accumule,
Du rien à l’infiniment grand,
Du tout à l’infiniment fétu,
Il n’y a qu’un pas, deux pas, trois pas.
Ce qu’on fait, ou ce qu’on ne fait pas,
Ce qu’on donne, ou ce qu’on ne donne pas.
Rien hier j’étais, Rien demain je serai,
Mais aujourd’hui je suis.
En attendant, embrasse-moi,
Ta main, donne-la-moi,
Ton amour, je le veux, aime-moi,
Vite mais bien,
Avant qu’il ne reste rien,
Puisque tout part de rien…
Par : Gyslain Ngueno
Le temps, du non temps
La matière, du néant.
Tout part de rien,
L’amour, d’un regard,
L’embarras d’un regret,
La haine, d’une aigreur,
Le fruit, d’un labeur.
Tout part de rien,
Alors rien n’est pas nul,
Rien est à la base de laquelle tout s’accumule,
Du rien à l’infiniment grand,
Du tout à l’infiniment fétu,
Il n’y a qu’un pas, deux pas, trois pas.
Ce qu’on fait, ou ce qu’on ne fait pas,
Ce qu’on donne, ou ce qu’on ne donne pas.
Rien hier j’étais, Rien demain je serai,
Mais aujourd’hui je suis.
En attendant, embrasse-moi,
Ta main, donne-la-moi,
Ton amour, je le veux, aime-moi,
Vite mais bien,
Avant qu’il ne reste rien,
Puisque tout part de rien…
Par : Gyslain Ngueno
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