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LONDRES, 28 mai (Xinhua) -- Les services de renseignement britanniques ont identifié 23.000 sympathisants djihadistes vivant au Royaume-Uni susceptibles de commettre des attentats, a rapporté samedi le quotidien britannique The Times.
Ce dernier cite des sources à Whitehall, du nom de ce quartier du centre de Londres abritant plusieurs ministères et la résidence de la Première ministre, alors que les autorités sont accusées d'avoir raté de nombreuses opportunités d'empêcher l'attentat suicide commis le 22 mai à Manchester.
Parmi ces sympathisants, quelque 3.000 personnes sont considérées comme susceptibles de représenter une menace et font l'objet d'une enquête ou d'une surveillance active dans le cadre de 500 opérations menées par la police et les services de renseignement, selon le quotidien qui ajoute que les autres sont considérées comme posant un "risque particulier".
Le "Times" ajoute que l'auteur de l'attentat de Manchester, Salman Abedi, et celui de Westminster il y a deux mois, Khalid Masood, faisaient partie d'un groupe de personnes à surveiller, avant que cette surveillance ne soit ensuite levée.
La Première ministre britannique Theresa May a abaissé samedi le niveau d'alerte terroriste du Royaume-Uni de "critique" à "sévère", tout en insistant sur le maintien du déploiement de militaires dans les rues jusqu'à lundi.
Ce dernier cite des sources à Whitehall, du nom de ce quartier du centre de Londres abritant plusieurs ministères et la résidence de la Première ministre, alors que les autorités sont accusées d'avoir raté de nombreuses opportunités d'empêcher l'attentat suicide commis le 22 mai à Manchester.
Parmi ces sympathisants, quelque 3.000 personnes sont considérées comme susceptibles de représenter une menace et font l'objet d'une enquête ou d'une surveillance active dans le cadre de 500 opérations menées par la police et les services de renseignement, selon le quotidien qui ajoute que les autres sont considérées comme posant un "risque particulier".
Le "Times" ajoute que l'auteur de l'attentat de Manchester, Salman Abedi, et celui de Westminster il y a deux mois, Khalid Masood, faisaient partie d'un groupe de personnes à surveiller, avant que cette surveillance ne soit ensuite levée.
La Première ministre britannique Theresa May a abaissé samedi le niveau d'alerte terroriste du Royaume-Uni de "critique" à "sévère", tout en insistant sur le maintien du déploiement de militaires dans les rues jusqu'à lundi.
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