Par Abdou Semmar -28/05/201770
Les jours d’Abdelghani Zaalane, le nouveau ministre des Travaux publics et des transports, et de Youcef Chorfa, le nouveau ministre de l’Habitat, sont-ils comptés ? C’est la question qui taraude tous les esprits au sein du sérail car deux jours à leur nomination, des manoeuvres ont d’ores et déjà été prises pour les pousser vers la sortie. Dans les coulisses, Abdelmadjid Tebboune veut écarter ces deux ministres pour la simple raison qu’ils entretiennent une proximité jugée « inquiétante » avec le général-major Ahmed Gaïd Salah, a appris de plusieurs sources concordantes Algériepart.
Abdelghani Zaalane et Youcef Chorfa risquent-ils de connaître le même sort que l’infortuné Messaoud Benagoun, le ministre du Tourisme limogé ce dimanche par Abdelaziz Bouteflika ? Le scénario paraît naturellement improbable et irréaliste. Mais 48 H après la nomination de ce gouvernement, les divisions se créent et une guerre larvée de clans se met en place. Selon nos sources, Tebboune n’a pas approuvé la désignation de Youcef Chorfa à la tête du ministère de l’Habitat. Le nouveau Premier Ministre voulait imposer une autre personnalité. Il faut dire que c’est l’actuel Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, qui était pressenti pour occuper ce poste stratégique sur lequel Tebboune voulait garder un contrôle strict.
Toutes nos sources sont unanimes à affirmer que la désignation de Youcef Chorfa et d’Abdelghani Zaalane, deux anciens walis, a été décidée dans le cadre des pourparlers avec le chef d’Etat-Major, Ahmed Gaid Salah, qui a déployé son lobbying pour placer ses hommes de confiance dans le nouveau gouvernement. Une situation qui n’a pas du tout été du goût de Tebboune lequel n’apprécie pas l’influence du général-major sur ses ministres. D’après nos sources, Tebboune ne veut pas reproduire l’erreur d’Abdelmalek Sellal qui n’a pas su empêcher le noyautage du gouvernement par des divers clans politiques. Le nouveau Premier Ministre veut exercer un contrôle total sur son équipe. Ces divisions hâtives n’augurent, enfin, rien de bon pour l’avenir de ce gouvernement.
Les jours d’Abdelghani Zaalane, le nouveau ministre des Travaux publics et des transports, et de Youcef Chorfa, le nouveau ministre de l’Habitat, sont-ils comptés ? C’est la question qui taraude tous les esprits au sein du sérail car deux jours à leur nomination, des manoeuvres ont d’ores et déjà été prises pour les pousser vers la sortie. Dans les coulisses, Abdelmadjid Tebboune veut écarter ces deux ministres pour la simple raison qu’ils entretiennent une proximité jugée « inquiétante » avec le général-major Ahmed Gaïd Salah, a appris de plusieurs sources concordantes Algériepart.
Abdelghani Zaalane et Youcef Chorfa risquent-ils de connaître le même sort que l’infortuné Messaoud Benagoun, le ministre du Tourisme limogé ce dimanche par Abdelaziz Bouteflika ? Le scénario paraît naturellement improbable et irréaliste. Mais 48 H après la nomination de ce gouvernement, les divisions se créent et une guerre larvée de clans se met en place. Selon nos sources, Tebboune n’a pas approuvé la désignation de Youcef Chorfa à la tête du ministère de l’Habitat. Le nouveau Premier Ministre voulait imposer une autre personnalité. Il faut dire que c’est l’actuel Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, qui était pressenti pour occuper ce poste stratégique sur lequel Tebboune voulait garder un contrôle strict.
Toutes nos sources sont unanimes à affirmer que la désignation de Youcef Chorfa et d’Abdelghani Zaalane, deux anciens walis, a été décidée dans le cadre des pourparlers avec le chef d’Etat-Major, Ahmed Gaid Salah, qui a déployé son lobbying pour placer ses hommes de confiance dans le nouveau gouvernement. Une situation qui n’a pas du tout été du goût de Tebboune lequel n’apprécie pas l’influence du général-major sur ses ministres. D’après nos sources, Tebboune ne veut pas reproduire l’erreur d’Abdelmalek Sellal qui n’a pas su empêcher le noyautage du gouvernement par des divers clans politiques. Le nouveau Premier Ministre veut exercer un contrôle total sur son équipe. Ces divisions hâtives n’augurent, enfin, rien de bon pour l’avenir de ce gouvernement.
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