Tweet
Le nouveau jouet fait un carton dans les cours d’école, mais sa créatrice, une Américaine de 62 ans, est totalement ruinée.
Le hand spinner, nouveau genre de toupie en forme de triskel, est devenu le nouveau joujou préféré des enfants en un temps record. Mais malgré le succès fulgurant de cet objet, très prisé dans les cours de récré, sa créatrice n’a pas touché un sou sur la commercialisation de sa trouvaille et vit toujours dans la pauvreté.
Selon une enquête du Guardian, relayée par le site des Inrocks, Catherine Hettinger, 62 ans, aurait inventé la petite toupie à la suite d’une grave maladie qui la handicapait au quotidien pour prendre soin de sa fille: «Je ne pouvais pas ramasser ses jouets ou jouer avec elle alors j’ai commencé à mettre des choses ensemble avec du papier à journal, et les scotcher avec d’autres trucs, explique-t-elle. Ce n’était même pas un prototype, enfin à peine. Elle a commencé à y jouer d’une façon différente, alors j’ai tout ré-assemblé».
Flairant la bonne idée, cette Floridienne a bien déposé un brevet en 1997, mais n’avait pas les 400 dollars nécessaires au renouvellement des droits sur son invention, en 2005. Elle n’a donc pas touché un centime sur la vente du gadget et vit dans la pauvreté, sans pouvoir payer son loyer ni sa facture de téléphone.
Mais Catherine Hettinger garde le moral et essaie désormais de trouver des solutions afin de lancer sa propre entreprise de fabrication, comme de lancer une levée de fond sur Kickstarter par exemple: «Des personnes me demandent: ‘ça ne te rend pas folle tout ça ?’ Mais, je suis juste contente que les gens apprécient et comprennent quelque chose que j’ai inventé», a-t-elle déclaré.
ade
Le hand spinner, nouveau genre de toupie en forme de triskel, est devenu le nouveau joujou préféré des enfants en un temps record. Mais malgré le succès fulgurant de cet objet, très prisé dans les cours de récré, sa créatrice n’a pas touché un sou sur la commercialisation de sa trouvaille et vit toujours dans la pauvreté.
Selon une enquête du Guardian, relayée par le site des Inrocks, Catherine Hettinger, 62 ans, aurait inventé la petite toupie à la suite d’une grave maladie qui la handicapait au quotidien pour prendre soin de sa fille: «Je ne pouvais pas ramasser ses jouets ou jouer avec elle alors j’ai commencé à mettre des choses ensemble avec du papier à journal, et les scotcher avec d’autres trucs, explique-t-elle. Ce n’était même pas un prototype, enfin à peine. Elle a commencé à y jouer d’une façon différente, alors j’ai tout ré-assemblé».
Flairant la bonne idée, cette Floridienne a bien déposé un brevet en 1997, mais n’avait pas les 400 dollars nécessaires au renouvellement des droits sur son invention, en 2005. Elle n’a donc pas touché un centime sur la vente du gadget et vit dans la pauvreté, sans pouvoir payer son loyer ni sa facture de téléphone.
Mais Catherine Hettinger garde le moral et essaie désormais de trouver des solutions afin de lancer sa propre entreprise de fabrication, comme de lancer une levée de fond sur Kickstarter par exemple: «Des personnes me demandent: ‘ça ne te rend pas folle tout ça ?’ Mais, je suis juste contente que les gens apprécient et comprennent quelque chose que j’ai inventé», a-t-elle déclaré.
ade