En dépit des tensions qui existent entre les deux pays, notamment par rapport à l’Iran, à la crise pétrolière ou au refus de l’Algérie d’inscrire le hizbollah parmi les organisations « terroristes », les relations économiques entre l’Algérie et l’Arabie saoudite semblent au beau fixe, comme en témoigne le dynamisme du conseil algéro-saoudien des affaires.
Les Saoudiens seraient ainsi prêts à investir 100 milliards de dollars dans divers secteurs de l’économie algérienne. Selon Laïd Benamor, le président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, les Saoudiens ont « les financements et le savoir-faire », notamment dans l’industrie pétrochimique, tandis que l’Algérie a les opportunités d’investissements.
Les Saoudiens seraient ainsi prêts à investir 100 milliards de dollars dans divers secteurs de l’économie algérienne. Selon Laïd Benamor, le président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, les Saoudiens ont « les financements et le savoir-faire », notamment dans l’industrie pétrochimique, tandis que l’Algérie a les opportunités d’investissements.
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