En effet par son action Ben Laden à remis l'économie US en marche.
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11 Septembre 2001 : les tours du World Trade Centre s’effondrent.
Un mois et demi plus tard, Enron, une des 10 plus grosses entreprises américaines annoncait sa faillite.
Revenons au 11 septembre, les avions kamikazes touchent le "Centre mondial du commerce", au coeur de Manhattan, la première place financière mondiale. Wall Street est touchée en plein coeur et immédiatement la Bourse s’effondre. Les Etat-Unis dénoncant un complot de Ben Laden, demandent à leurs compatriotes actionnaires de faire preuve de civisme et de ne pas vendre en masse pour ne pas faire le jeu des terroristes, et faire chuter la Bourse. Le gouvernement fait même pression sur les fonds de pensions, ces monstrueux géants boursiers, dont les mouvements de transferts d’investissements font trembler les économies de pays entiers, afin qu’ils réagissent avec patriotisme.
Un plan coordonné entre les grandes banques centrales occidentales est mis en place pour rassurer les marchés, et redonner la confiance aux investisseurs. Cependant, fragilisées, de nombreuses entreprises doivent procéder à des licenciements. Bien que touchée de plein fouet, la machine économique mondiale repart doucement, et on râle contre ce Ben Laden qui a déclaré la guerre aux démocraties de marché.
La récession était déjà la avant le 11 septembre et une crise économique majeure pointait a l’horizon
[1]
Pourtant depuis le début de l’année 2001, les analystes et experts boursiers avaient senti venir la récession, après la Russie, l’Asie, et l’Amérique latine, la machine économique américaine ralentissait. Il en va de même pour la Bourse comme pour une bicyclette, si elle arrête d’avancer elle s’effondre, elle doit maintenir son mouvement par une croissance permanente et l’ouverture de nouveaux marchés. Tout ce qui stagne ou baisse n’a pas sa place dans le monde merveilleux du libre-échange, seuls survivent les gagnants, les autres sont dévorés. Or, si on pressent l’arrivée de la récession depuis le début de l’année, le verdict tombe fin août (Voir le titre de The Economist 25/08/02 en image). L’économie mondiale serait déjà en marche arrière, la bulle spéculative va crever et la confiance dans les marchés risque de disparaître. Si la croissance s’arrête, les actionnaires vont vouloir vendre massivement, entraînant le marché boursier dans un cercle vicieux de chute des cours s’auto-alimentant.
La suite...
http://www.confidentiel.net/article.php3?id_article=182
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11 Septembre 2001 : les tours du World Trade Centre s’effondrent.
Un mois et demi plus tard, Enron, une des 10 plus grosses entreprises américaines annoncait sa faillite.
Revenons au 11 septembre, les avions kamikazes touchent le "Centre mondial du commerce", au coeur de Manhattan, la première place financière mondiale. Wall Street est touchée en plein coeur et immédiatement la Bourse s’effondre. Les Etat-Unis dénoncant un complot de Ben Laden, demandent à leurs compatriotes actionnaires de faire preuve de civisme et de ne pas vendre en masse pour ne pas faire le jeu des terroristes, et faire chuter la Bourse. Le gouvernement fait même pression sur les fonds de pensions, ces monstrueux géants boursiers, dont les mouvements de transferts d’investissements font trembler les économies de pays entiers, afin qu’ils réagissent avec patriotisme.
Un plan coordonné entre les grandes banques centrales occidentales est mis en place pour rassurer les marchés, et redonner la confiance aux investisseurs. Cependant, fragilisées, de nombreuses entreprises doivent procéder à des licenciements. Bien que touchée de plein fouet, la machine économique mondiale repart doucement, et on râle contre ce Ben Laden qui a déclaré la guerre aux démocraties de marché.
La récession était déjà la avant le 11 septembre et une crise économique majeure pointait a l’horizon
[1]
Pourtant depuis le début de l’année 2001, les analystes et experts boursiers avaient senti venir la récession, après la Russie, l’Asie, et l’Amérique latine, la machine économique américaine ralentissait. Il en va de même pour la Bourse comme pour une bicyclette, si elle arrête d’avancer elle s’effondre, elle doit maintenir son mouvement par une croissance permanente et l’ouverture de nouveaux marchés. Tout ce qui stagne ou baisse n’a pas sa place dans le monde merveilleux du libre-échange, seuls survivent les gagnants, les autres sont dévorés. Or, si on pressent l’arrivée de la récession depuis le début de l’année, le verdict tombe fin août (Voir le titre de The Economist 25/08/02 en image). L’économie mondiale serait déjà en marche arrière, la bulle spéculative va crever et la confiance dans les marchés risque de disparaître. Si la croissance s’arrête, les actionnaires vont vouloir vendre massivement, entraînant le marché boursier dans un cercle vicieux de chute des cours s’auto-alimentant.
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