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Match amical international : ce soir (22h) au stade Mustapha-Tchaker de Blida Algérie-Guinée Premier test pour Luca

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  • Match amical international : ce soir (22h) au stade Mustapha-Tchaker de Blida Algérie-Guinée Premier test pour Luca

    Match amical international : ce soir (22h) au stade Mustapha-Tchaker de Blida Algérie-Guinée
    Premier test pour Lucas Alcaraz, dernière répétition avant le TogoC’est ce soir, à Blida, que l’ère de l’Espagnol Lucas Alcaraz débute avec les Verts. Le technicien andalou, recruté à la mi-avril dernier, fera lui aussi connaissance avec les «choses» qui font le football Algérien.
    Match aussi amical qu’il soit, Algérie-Guinée de ce soir (22h) s’annonce comme un (vrai) premier test pour l’ancien driver de Grenade. Non pas que le résultat de cet affrontement préparatoire soir couronné de points si précieux pour se qualifier à un tournoi international, mais aujourd’hui, l’issue de cette empoignade offrira les premières réponses du choix fait par la FAF de Zetchi, de cet entraîneur et d’une école ibérique pas souvent en réussite quand il s’agit d’exporter des coopérants techniques. Les «aventures africaines» de certains compatriotes d’Alcaraz (Camacho avec le Gabon, Javier Clemente avec la Libye ou Beto Bianchi avec l’Angola) n’ont pas connu un franc succès en dépit des qualités de ces entraîneurs et des moyens mis à leur disposition par les fédérations des pays d’accueil.
    Il est vrai que la seule compétence des techniciens ibériques n’assure pas les performances attendues tant que les vrais acteurs, les joueurs des clubs ou des sélections entraînés, n’ont pas le même niveau et la même qualité de formation. En définitive, et jusqu’à preuve du contraire, le football espagnol domine les compétitions internationales de renom grâce à son produit (joueurs et entraîneurs) auquel, bien entendu, les grands d’Espagne apportent le renfort utile et de qualité à travers un recrutement ciblé et à des moyens financiers colossaux. Ce ne serait pas un secret que de rappeler que les plus gros transferts, à quelques éléments près, se font vers la Liga. Cette parenthèse fermée, il faudrait donc se projeter sur l’ère Alcaraz à la barre technique de la sélection algérienne où, déjà, quelques erreurs de casting semblent avoir été commises.
    A première vue, la liste des 23+2 joueurs communiquée jeudi passé ne plait pas à beaucoup de monde. Les observateurs ont surtout constaté que ce premier contingent rappelle en de grands contours les précédentes composantes retenues par Halilhodzic, Gourcuff, Rajevac et autre Leekens. Cette «constance» est, admettons-le, tout à fait normale dès lors qu’en quelque 40 mois (départ du Bosnien et arrivée de l’Espagnol), il est difficile voire impossible de remettre en cause tout le processus engagé depuis novembre 2011. Une «mode» où le tout professionnel était consacré au détriment d’une cuvée locale pas suffisamment formée, en manque de confiance et certainement préoccupée par d’autres «challenges».

    Des «bleus» trompe-l’œil ?
    Le renouvellement désordonné opéré sur les effectifs a plus déstabilisé le Club Algérie, glorifié par son épopée à Brasil-2014, qu’il ne l’a bonifié. L’enrôlement en série des jeunes Belfodil, Ghezzal, Zeffane, Benzia, Berrahma, Abeid, Hanni, Ouanas et Bennacer en sus de quelques «cas sociaux» (Agouazi, Mesloub, Tafer, Harek) n’aura fait que fragiliser une sélection qui avait plus besoin de sérénité et de stabilité aussi sur le plan humain que celui de la stratégie. C’est ce cercle spécieux qui risque de nuire au passage de l’Espagnol à la tête des Verts.
    Alcaraz semble certes bénéficier d’un certain crédit auprès des cadres de la sélection, Feghouli et Brahimi qui avaient été suspectés d’être derrière le mouvement contre Rajevac ayant clairement affiché leur soutien à l’ex-entraîneur de Levante, mais devant les échéances à venir dont une (qualification au Mondial-2018) pour le moins insurmontable, difficile de pronostiquer combien durera cette idyllique compassion. Une interrogation qui vaudra également sur le temps que Lucas Alcaraz consacrera à son scouting, lui qui affirmait, à l’instar de ses prédécesseurs, que les portes de la sélection restent grandes ouvertes. Avec des examens rapprochés (qualifications à la CAN-2019, au CHAN-2018 et à la Coupe du Monde de Russie), le «protocole» mis en œuvre par Alcaraz a peu de chances de plaire aux employeurs, aux acteurs, observateurs et autres spectateurs. Alcaraz qui avoue découvrir un nouveau monde en tant que sélectionneur, semble probablement ignorer que la pression vécue par un entraîneur qui a eu le malheur de diriger des équipes souvent concernées par la relégation n’a rien à voir avec celle, encore plus terrible, à vivre par un sélectionneur. Un homme, Lucas Alcaraz en le cas d’espèce, qui se doit non seulement de remettre les Verts sur les rails des succès, mais surtout permettre à Mahrez et compagnie de produire un jeu plaisant, à l’espagnole, le Tiki-taka si possible.
    M. B.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    40' de jeu 1/0 pour l'Algérie , but de henni, sur bon service de brahimi, ces guinéens sont comme toujours très agressifs et voyous
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      La qualité d'image est catastrophique.
      Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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      • #4
        mi-temps 1/0 pour l'algérie, oui la qualité d'image de canal algérie n'est pas top vu que la chaine n'est pas en résolution 1920x1080 , elle est seulement en 720x576
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #5
          égalisation guinéenne 1/1
          Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
          (Paul Eluard)

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          • #6
            soudani marque à la 86" , algérie 2 guinée 1, alcaraz semble être un bon coach avec une bonne tactique , sauf que la défense fait encore des erreurs à corriger
            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
            (Paul Eluard)

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            • #7
              C'est encore brouillon.
              Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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              • #8
                je pense qu'avec ce coach il va mettre de l'ordre et de la discipline car c'est le point fort des espagnols
                Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                (Paul Eluard)

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                • #9
                  c'est la première fois qu'on bat la guinée depuis des lustres
                  Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                  (Paul Eluard)

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