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Baccalauréat algérien, cherchez "la main du maroc"!
"Un cyber-activiste marocain a tenté de porter atteinte à la sécurité d'institutions officielles algériennes liées à l'épreuve cruciale du Baccalauréat", a accusé le département de Nouria Benghabrit, ministre algérienne de l'Education. La fameuse "main du Maroc" est à nouveau pointée de l'index!
Le département de Nouria Benghabrit semble avoir trouvé la parade pour conjurer le mauvais sort qui la pourchasse depuis 2016, après le "séisme" de la fuite des épreuves du Baccalauréat. Une parade toute faite qui lui aurait été "soufflée" en prévision de nouvelles fuites qui écorneraient davantage sa crédibilité et celle du Baccalauréat algérien. Voilà ce que cela donne dans les colonnes d'un confrère algérien: "Attaque électronique marocaine pour saborder le Baccalauréat algérien"! "Une source gouvernementale a indiqué qu'un cyber-activiste marocain a tenté de porter atteinte à la sécurité d'institutions officielles liées à cette épreuve cruciale du Baccalauréat à travers la création d'un site électronique parallèle à celui de l'Institut national des examens et des concours", rapporte notre confrère, en référence à la sortie de la ministre Benghabrit, dimanche 11 juin, pour le lancement officiel des examens du Baccalauréat.
Vous avez bien lu: "tentative d'atteinte à la sécurité d'institutions officielles" algériennes! L'activiste marocain, vrai ou virtuel, est du coup voué aux gémonies. "Les services centraux spécialisés suivent de très près les développements de ce plan de sabotage électronique supervisé par le dénommé "Mohamed Kassi", de nationalité marocaine", indique la même source. Face à ce "plan de sabotage" orchestré par l'activiste marocain, un expert algérien (en cartomancie peut-être!) s'est affolé en dénonçant un plan qui viserait à "ébranler les convictions" des Algériens!
Et encore une fois, c'est le Maroc qui se trouve, à son insu, au coeur de ce plan de sape! Comme il l'a été pour les affrontements de Ghardaïa, les émeutes de la Kabilye, l'exode des sardines algériennes vers les côtes marocaines, la flambée des prix des pommes de terre (et des frites), le pillage du soleil et du vent du "Sahara occidental", la fuite des capitaux et la désaffection des investisseurs étrangers envers l'Algérie, la reculade algérienne sur la scène de l'Union africaine, la Ligue des Etats arabes, voire les Nations unies...
En effet, ils ont très mal au Maroc! le360
Le département de Nouria Benghabrit semble avoir trouvé la parade pour conjurer le mauvais sort qui la pourchasse depuis 2016, après le "séisme" de la fuite des épreuves du Baccalauréat. Une parade toute faite qui lui aurait été "soufflée" en prévision de nouvelles fuites qui écorneraient davantage sa crédibilité et celle du Baccalauréat algérien. Voilà ce que cela donne dans les colonnes d'un confrère algérien: "Attaque électronique marocaine pour saborder le Baccalauréat algérien"! "Une source gouvernementale a indiqué qu'un cyber-activiste marocain a tenté de porter atteinte à la sécurité d'institutions officielles liées à cette épreuve cruciale du Baccalauréat à travers la création d'un site électronique parallèle à celui de l'Institut national des examens et des concours", rapporte notre confrère, en référence à la sortie de la ministre Benghabrit, dimanche 11 juin, pour le lancement officiel des examens du Baccalauréat.
Vous avez bien lu: "tentative d'atteinte à la sécurité d'institutions officielles" algériennes! L'activiste marocain, vrai ou virtuel, est du coup voué aux gémonies. "Les services centraux spécialisés suivent de très près les développements de ce plan de sabotage électronique supervisé par le dénommé "Mohamed Kassi", de nationalité marocaine", indique la même source. Face à ce "plan de sabotage" orchestré par l'activiste marocain, un expert algérien (en cartomancie peut-être!) s'est affolé en dénonçant un plan qui viserait à "ébranler les convictions" des Algériens!
Et encore une fois, c'est le Maroc qui se trouve, à son insu, au coeur de ce plan de sape! Comme il l'a été pour les affrontements de Ghardaïa, les émeutes de la Kabilye, l'exode des sardines algériennes vers les côtes marocaines, la flambée des prix des pommes de terre (et des frites), le pillage du soleil et du vent du "Sahara occidental", la fuite des capitaux et la désaffection des investisseurs étrangers envers l'Algérie, la reculade algérienne sur la scène de l'Union africaine, la Ligue des Etats arabes, voire les Nations unies...
En effet, ils ont très mal au Maroc! le360
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