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Kiosque360. Pour la troisième année consécutive, la production sucrière enregistre une forte hausse. A elle seule, la région de Casablanca-Settat assure 40% de la production nationale.
La production sucrière réalise un record pour la 3e année consécutive. Dans son édition du mercredi 14 juin, L’Economiste avance que la barre des 14 tonnes de sucre à l’hectare sera franchie cette année avec, en prime, une production sucrière de 235.000 tonnes et un rendement moyen de 85 tonnes de betterave à l’hectare. En face, la superficie s’est un peu réduite par rapport à la campagne précédente.
La généralisation de la semence monogerme, qui assure de meilleurs rendements avec une réduction des coûts d’exploitation, y est pour beaucoup puisqu’elle a occupé 100% des exploitations de la betterave à sucre, «avec une précocité avancée des semis: 23% en septembre, 56% en octobre, 19% en novembre et 2% en décembre 2016».
A cela s’ajoute le fort encadrement assuré, au sein de la région, par les techniciens du ministère de l’Agriculture et ceux de Cosumar. La société réalise les contrats de culture avec les agriculteurs de la région auxquels l’entreprise fournit semences, engrais et produits de protection des plantes.
La disponibilité de la ressource hydrique est de, même, un facteur important. Celle-ci est en évolution par rapport à l’an dernier. «Le cumul pluviométrique moyen s’est établi, au début du mois de juin 2017, à 277 mm, soit un surplus de 20% par rapport à la saison précédente». D’où des prévisions de production betteravière à 1,5 million de tonnes, sachant que, au 9 juin, les livraisons à l’usine de traitement ont porté sur 840.000 tonnes. «Ce qui correspond à l’arrachage de 12.000 ha, soit environ 60% de la superficie réalisée».
A la même date, le volume issu de l’arrachage mécanique et réceptionné par l’usine a atteint 534.680 tonnes pour une superficie de 8.200 ha.
A noter que d’importantes avancées ont été réalisées sur les cultures de betterave, qui assurent 40% de la production nationale. La culture accroche bien. Elle est le fait de 20.000 producteurs et assure un revenu moyen dépassant les 30.000 DH à l’hectare. Sans compter les avantages que tirent les producteurs de la pulpe de betterave qui constitue un aliment de bétail très riche.
La production sucrière réalise un record pour la 3e année consécutive. Dans son édition du mercredi 14 juin, L’Economiste avance que la barre des 14 tonnes de sucre à l’hectare sera franchie cette année avec, en prime, une production sucrière de 235.000 tonnes et un rendement moyen de 85 tonnes de betterave à l’hectare. En face, la superficie s’est un peu réduite par rapport à la campagne précédente.
La généralisation de la semence monogerme, qui assure de meilleurs rendements avec une réduction des coûts d’exploitation, y est pour beaucoup puisqu’elle a occupé 100% des exploitations de la betterave à sucre, «avec une précocité avancée des semis: 23% en septembre, 56% en octobre, 19% en novembre et 2% en décembre 2016».
A cela s’ajoute le fort encadrement assuré, au sein de la région, par les techniciens du ministère de l’Agriculture et ceux de Cosumar. La société réalise les contrats de culture avec les agriculteurs de la région auxquels l’entreprise fournit semences, engrais et produits de protection des plantes.
La disponibilité de la ressource hydrique est de, même, un facteur important. Celle-ci est en évolution par rapport à l’an dernier. «Le cumul pluviométrique moyen s’est établi, au début du mois de juin 2017, à 277 mm, soit un surplus de 20% par rapport à la saison précédente». D’où des prévisions de production betteravière à 1,5 million de tonnes, sachant que, au 9 juin, les livraisons à l’usine de traitement ont porté sur 840.000 tonnes. «Ce qui correspond à l’arrachage de 12.000 ha, soit environ 60% de la superficie réalisée».
A la même date, le volume issu de l’arrachage mécanique et réceptionné par l’usine a atteint 534.680 tonnes pour une superficie de 8.200 ha.
A noter que d’importantes avancées ont été réalisées sur les cultures de betterave, qui assurent 40% de la production nationale. La culture accroche bien. Elle est le fait de 20.000 producteurs et assure un revenu moyen dépassant les 30.000 DH à l’hectare. Sans compter les avantages que tirent les producteurs de la pulpe de betterave qui constitue un aliment de bétail très riche.
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