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Tunisie – Ghannouchi se joint à Erdogan pour implorer la grâce du Roi Salman pour Qatar

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  • Tunisie – Ghannouchi se joint à Erdogan pour implorer la grâce du Roi Salman pour Qatar

    Rached Ghannouchi le président du parti islamiste tunisien d’Ennahdha, a rejoint ses « frères » de Turquie pour adresser un message d’imploration au Roi Salmane d’Arabie Saoudite, l’appelant à faire preuve de grand cœur en ce mois saint et de pardonner et de reprendre le dialogue avec ses « enfants » du golfe.

    Il a émis dans ce message le vœu de voir cette crise résolue avant la fin du mois saint de Ramadan. Avant d’ajouter que la Tunisie a, toujours, eu de bonnes relations avec l’Arabie Saoudite, et de même avec le Qatar, qui a ouvertement aidé la Tunisie dans ses moments difficiles.

    Tunisie numerique

  • #2
    Rached Ghannouchi le président du parti islamiste tunisien d’Ennahdha, a rejoint ses « frères » de Turquie pour adresser un message d’imploration au Roi Salmane d’Arabie Saoudite, l’appelant à faire preuve de grand cœur en ce mois saint et de pardonner et de reprendre le dialogue avec ses « enfants » du golfe.
    un p'tit mot pour le Yémen peut être cheikh ?
    wella hadouk c'est des chiens ?
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #3
      un message d’imploration au Roi Salmane d’Arabie Saoudite
      on implore ALLAH et personne d'autre.

      l’appelant à faire preuve de grand cœur
      pour qui prennent-ils ce cochon ???


      de pardonner

      Asstaghfirou ALLAH


      qu'ils se bouffent entre eux ces zarabes

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      • #4
        Envoyé par xenon
        wella hadouk c'est des chiens ?
        ce qu'il faut noter c qu'une tendance frères musulmans se met d'accord avec une tendance frères musulmans...


        les yéménites c en effet des sous-humains

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        • #5
          Du moment que les houthis sont classés avec les iraniens comme chiites Immamites ,les frères musulmans dont le Parti d'Annahda sont sur la même ligne avec les saoudiens pour les mater

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          • #6
            les yéménites c en effet des sous-humains
            les pires fléaux peuvent s'abattre sur les irakiens,syriens,yéménites,palestiniens ,libanais..etc,tout le monde s'en fout,visiblement ce sont des sous hommes ,mais dés que leurs maîtres khorrotologiques arabes du golfe sont touchés par le renvoi du boomerang, ils sont là à pleurnicher et implorer clémence ,paix et sérénité entre frères.
            une vraie bande d’hypocrites,c’est pour ça qu'ils ne sont respectés par personne.
            Dernière modification par xenon, 14 juin 2017, 14h01.
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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            • #7
              Du moment que les houthis sont classés avec les iraniens comme chiites Immamites
              Si vous admettez que les yéménites sont des chiites alors pourquoi voulez-vous leur imposer un sunnite comme chef (Abdorabo Mansour), au point de leur faire la guerre ?
              Vous voulez changer le peuple ou quoi ?
              La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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              • #8
                Rached Ghannouchi

                Vous savez que ce mec était recherché par interpole jusqu'en 2011 ...?

                qu'il vivait en exil en France ...

                et que c'est un nom qui n'est pas exacte ?
                Droite des Valeurs
                Gauche du Travail
                Centre "Intérêt de Mon Pays"

                Commentaire


                • #9
                  Si vous admettez que les yéménites sont des chiites alors pourquoi voulez-vous leur imposer un sunnite comme chef (Abdorabo Mansour), au point de leur faire la guerre ?
                  Vous voulez changer le peuple ou quoi ?
                  Les houthis chiites sont une minorité au Yemen

                  Commentaire


                  • #10
                    Les houthis chiites sont une minorité au Yemen
                    c bcp plus compliqué..

                    Commentaire


                    • #11
                      Envoyé par Hand
                      Vous savez que ce mec était recherché par interpole jusqu'en 2011 ...?

                      qu'il vivait en exil en France ...

                      et que c'est un nom qui n'est pas exacte ?
                      Ce n'est un secret pour personne que son vrai nom c'est Rached El Kherriji.

                      Par contre, d’après ce que je sais, il a fait des études en France mais a été en exil en Angleterre et non en France.

                      Et j'ignorais qu'il était recherché par Interpol. Tu vas surement nous donner des sources fiables qui prouvent que Ghannouchi était recherché par Interpol.

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                      • #12
                        une vraie bande d’hypocrites,c’est pour ça qu'ils ne sont respectés par personne.
                        ce qui m'intéresse c la démarche sectaire basée sur l'exclusion.

                        Commentaire


                        • #13
                          hakimcasa

                          Rached Ghannouchi, leader du parti islamiste Ennahda en Tunisie

                          « Je ne compte pas me présenter aux prochaines législatives et présidentielles. Ennahda ne veut pas instaurer une République islamique en Tunisie », a dit Rached Ghannouchi dans une interview exclusive à la VOA.
                          Après 22 ans d’exil à Londres, Rached El Ghannouchi, le chef de file du mouvement islamiste Ennhada, a regagné la Tunisie dimanche. Il a été accueilli par des milliers de Tunisiens arborant des pancartes où l’on pouvait lire notamment « Non à l’extrémisme, Oui à l’Islam modéré ».

                          Rached El Ghannouchi n’a pas caché sa joie :« Cela a un goût délicieux d’être enfin chez soi après 22 d’exil, de rentrer vainqueur après 22 ans de marginalisation, après que le dictateur Ben Ali nous a accusé de terrorisme et nous a mis sur la liste d’Interpol. Aujourd’hui, c’est le tour de Ben Ali, c’est lui qui est recherché par Interpol. »

                          Va-t-il promouvoir l’Islam modéré qui a prévalu jusqu’ici en Tunisie et qui a été prôné par l’ancien régime ? « L’ancien régime a combattu l’islam modéré. C’est ce qui a favorisé l’émergence de groupes extrémistes. Nous voulons un Islam réconciliateur qui respecte la liberté du culte, un Islam rassembleur. Et c’est notre compréhension de l’Islam », a souligné Rached Ghannouchi.

                          Sur le nouveau gouvernement d’union nationale qui a été récemment remanié sous la pression populaire, Rached Ghannouchi s’est montré méfiant : « c’est un gouvernement qui n’est pas encore stable, on voit des changements tous les jours. Il y a eu une répression ces derniers jours à la Kasbah, la police a tiré sur la foule, elle a eu recours aux chiens. Le chef du gouvernement et son ministre de l’intérieur disaient qu’ils n’étaient pas au courant. On se demande qui dirige le pays aujourd’hui ? » a lancé Mr. Ghannouchi.

                          Il a souligné que le parti Ennahda ne veut pas faire partie de ce gouvernement, qu’il exige plutôt la transparence. « Le succès de la transition en Tunisie dépendra d’ailleurs de la transparence. Cest-à-dire que tout soit mis sur la table, qu'il y ait un dialogue entre l’opposition, la société civile et tous les Tunisiens sans exclusion, ni tricherie »

                          Le leader d’Ennhada a confirmé qu’il ne se présentera pas aux élections législatives et présidentielles prévues dans les six mois en Tunisie.

                          N’est-ce pas une façon de gagner du temps pour mieux rebondir après et, imposer l’idéologie islamiste du mouvement Ennahda ? « Nous n’avons peur de personne et nous ne voulons pas tromper les gens. Nous tenons nos promesses », a-t-il rétorqué

                          Depuis la chute du régime Ben Ali, certains Tunisiens disent craindre que la nouvelle Tunisie ne se transforme en terreau pour l'islamisme politique.

                          La réponse de Rached Ghannouchi : « Les milliers de personnes qui sont sorties ce dimanche est une preuve de l’échec de la politique de la terreur de Ben Ali, qui a nuit à notre image auprès des Tunisiens en nous accusant de terrorisme. Ce dimanche, ceux qui sont venus nous accueillir étaient des jeunes, des femmes voilées et d’autres pas, et cela montre l’échec de cette politique. Nous voulons que les gens apprennent à connaitre notre idéologie, qui est loin de la dictature. C’est aux Tunisiens de juger », a expliqué Rached Ghannouchi


                          Il a ajouté qu’Ennahda ne cherche pas à instaurer une République islamique. « Ennhada veut une République démocratique, qui n’impose rien aux Tunisiens de toutes les mouvances ».

                          Mr. Ghannouchi, a aussi souligné que le groupe et son idéologie ont mûri depuis plus de 20 ans. Au milieu des années 80, Ennahda avait été réprimé et interdit par l'ancien président Habib Bourguiba, et ensuite par le général-président déchu Zine Al Abidine Ben Ali. « Ennhadha croit qu’Islam et démocratie ne s’excluent pas », assure Rached Ghannouchi.

                          Autre crainte de certains Tunisiens: une éventuelle révision du code du statut personnel promulgué en 1956, année de l’indépendance du pays, sous Habib Bourguiba, et renforcé par Ben Ali en 1993. Il s’agit du code le plus progressiste dans les pays arabes. Il interdit notamment la polygamie, interdit le devoir d’obéissance de l’épouse envers son mari et prévoit le versement d’une pension à la femme en cas de divorce.

                          Rached Ghannouchi va-t-il demander une révision de ce code? « Nous avons signé des documents avec l’opposition, on ne touchera pas à ce code car nous ne voyons pas que cela pose problème. Et non nous n’allons pas authoriser la polygamie », a-t-il dit.

                          voaafrique.com
                          31 janvier 2011
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                          • #14
                            Après 22 ans d’exil à Londres, Rached El Ghannouchi, le chef de file du mouvement islamiste Ennhada, a regagné la Tunisie dimanche. Il a été accueilli par des milliers de Tunisiens arborant des pancartes où l’on pouvait lire notamment « Non à l’extrémisme, Oui à l’Islam modéré ».
                            Donc il était en exil à Londres et non en France.

                            Rached El Ghannouchi n’a pas caché sa joie :« Cela a un goût délicieux d’être enfin chez soi après 22 d’exil, de rentrer vainqueur après 22 ans de marginalisation, après que le dictateur Ben Ali nous a accusé de terrorisme et nous a mis sur la liste d’Interpol. Aujourd’hui, c’est le tour de Ben Ali, c’est lui qui est recherché par Interpol. »
                            Cette déclaration ne prouve pas qu'il était sur les listes d'Interpol. Il ne dit pas "Ben Ali m'a mis sur la liste d’Interpol" mais "Ben Ali nous a mis sur la liste d’Interpol". Rien ne prouve donc qu'il était lui-même, personnellement, mis par Ben Ali sur la liste d'Interpol.


                            J'ai cherché partout, il n'est écrit nulle part que Ghannouchi était sur les listes d'Interpol.

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                            • #15
                              La fiche à était enlevé depuis 2011 , je t'assure qu'il était recherché par interpol sur mandat d'arrêté tunisien pour complicité de terrorisme .

                              oui c'est en Angleterre , je me suis trompé ... quoique la France à accordé elle aussi des carte de réfugier politique a beaucoup de terroriste, notamment algérien , pendant la décennie noir
                              Dernière modification par Hand, 14 juin 2017, 19h33.
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