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Territoires espagnols d'Afrique du Nord: le PSOE est-il devenu raciste?

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  • Territoires espagnols d'Afrique du Nord: le PSOE est-il devenu raciste?

    Le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) a appelé dimanche au «renforcement immédiat» du dispositif sécuritaire à la frontière entre Melilla et le Maroc à Melilla, suite aux récents incidents et le flux des immigrants irréguliers. Selon une dépêche de l’agence espagnole EFE, rapportée par El Diario, la formation politique a appelé à une augmentation des ressources humaines et techniques pour combler le manque d'effectif et faire face à «l’énorme charge de travail de la police nationale et la Garde civile».

    «Le nombre insuffisant de troupes a été démontré suite aux cas des dernières semaines», poursuit la même source qui évoque des véhicules du côté marocain ayant tenté de franchir la frontière «en accélérant au lieu de s’arrêter pour effectuer le contrôle».

    Le PSOE rappelle que «mercredi dernier, un policier a dû tirer une balle en l'air pour alerter un véhicule qui tentait de franchir la frontière de Beni Ansar, principal point de passage frontalier» de l’enclave espagnole. «Malheureusement, ce n'est pas la première fois que nous prenons connaissance de ce genre d'incident où l'intégrité physique d'un agent de police ou de la Garde civile est menacée», déplore la formation politique dans son communiqué de presse. «MeliLe Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) a appelé dimanche au «renforcement immédiat» du dispositif sécuritaire à la frontière entre Melilla et le Maroc à Melilla, suite aux récents incidents et le flux des immigrants irréguliers. Selon une dépêche de l’agence espagnole EFE, rapportée par El Diario, la formation politique a appelé à une augmentation des ressources humaines et techniques pour combler le manque d'effectif et faire face à «l’énorme charge de travail de la police nationale et la Garde civile».


    Sourcce:Ya............bi
    Dernière modification par rago, 19 juin 2017, 17h42.

  • #2
    Dans cette dérision marocaine, on est fondé à se poser la question de savoir pourquoi le Maroc ne libère-t-il pas les présides espagnoles tout comme-en 2002- les FAR avaient tenté une expédition téméraire suite à leur occupation de l'ilot à chèvres espagnol de Persil?

    Comprendra qui vous voudra!

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    • #3
      Melilla : nouvel assaut à la voiture bélier à la frontière

      Une voiture avec cinq migrants africains à bord a forcé samedi un poste-frontière entre le Maroc et l’enclave espagnole de Melilla, le deuxième assaut à la voiture bélier en deux jours, a annoncé la préfecture.

      La veille, une autre voiture avait aussi forcé un poste-frontière avec neuf migrants africains à bord, blessant légèrement deux agents des forces de l’ordre.

      Cette méthode de la voiture bélier pour forcer la porte de l’Europe n’avait pas été employée depuis des années avant d’être à nouveau utilisée en mars, puis ces deux derniers jours.

      Cette fois-ci, la voiture est arrivée normalement au poste-frontière avant d’accélerer et de virer soudainement dans une file adjacente, endommageant une barrière et forçant les policiers à s’écarter pour ne pas être écrasés.

      Une fois dans l’enclave, le chauffeur marocain a tenté de s’enfuir mais a été capturé tandis que la police trouvait cinq migrants, deux dans le coffre, daux sous le siège arrière et un caché derrière le tableau de bord. Deux d’entre eux étaient mineurs.

      Melilla et Ceuta, villes sous administration espagnole dans le nord du Maroc (!), constituent les seules frontières terrestres entre l’Afrique et l’Union européenne.

      Des migrants tentent régulièrement d’y pénétrer illégalement, en assaillant par centaines les hautes clôtures entourant les villes, ou en se cachant dans le double-fond de voitures.

      Source: Le Desk

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      • #4
        Moratinos révèle les coulisses de la visite de Juan Carlos à Ceuta et Mellila

        Miguel Moratinos a saisi l’organisation d’une conférence sur les années du règne de Juan Carlos pour revenir sur le voyage de l’ancien roi à Ceuta et Melilla. Un déplacement que le socialiste avait facilité grâce à ses bonnes relations avec des officiels marocains même si la visite s’est déroulée à la veille de la commémoration du 32e anniversaire de la Marche verte.

        La semaine dernière d’anciens ministres espagnols des Affaires étrangères se sont réunis à Madrid pour aborder le rôle diplomatique de la monarchie. A l’unisson Javier Solana (23 juin 1992-18 décembre 1995), Josep Pique (28 avril 2000-10 juillet 2002), Miguel Moratinos (18 avril 2004-20 octobre 2010) et José Margallo (22 décembre 2011-4 novembre 2016) ont rendu un vibrant hommage à Juan Carlos.

        Dans cette rétrospective des années du règne du père de la démocratie en Espagne, le Maroc ne peut qu’être évoqué. Le socialiste Moratinos a ainsi abordé les coulisses de la visite de l’ancien roi et son épouse à Ceuta et Melilla en novembre 2007. Son premier et dernier déplacement dans les deux villes en tant que chef de l’Etat.

        Juan Carlos a attendu un net réchauffement des relations avec le Maroc -conséquence du retour du PSOE de Zapatero au pouvoir à l’issue des législatives de mars 2004-, pour demander à Moratinos de lui préparer le terrain pour réaliser une «obsession légitime» selon l’expression de l’ex-ministre des Affaires étrangères.

        Réaction modérée du Maroc à la visite

        «Il voyait que les années passaient et que son temps en tant que roi est sur le point de toucher à sa fin. Or il ne souhaitait pas s’en aller sans visiter tout le territoire national», soulignait Moratinos. En confiant son souhait, Juan Carlos comptait essentiellement sur la confiance dont jouissait le socialiste andalou auprès des officiels marocains.

        Le ministre s’est gardé de donner davantage de détails sur les négociations qu’il avait entreprises avec la partie marocaine en vue de la convaincre de contribuer à la réalisation de l’ «obsession légitime» de Juan Carlos.

        Pour mémoire en réaction au voyage du l’ex-monarque à Ceuta et Melilla, le Maroc avait rappelé son ambassadeur Omar Azziman pour «une période indéterminée». Le gouvernement Abbas El Fassi avait exprimé «son vif rejet et sa nette réprobation» de la visite aux «villes marocaines spoliées».

        Le rappel de l’ambassadeur n’a finalement duré que trois mois. En effet, dès janvier 2008, le ministère des Affaires étrangères annonçait le retour d’Azziman à Madrid. Une décision prise au lendemain d’une visite du même Moratinos à Rabat.

        Source: Ya...................bi

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