le sergent de l'armée coloniale, Khaled Nezzar est connu pour sa brutalité. L'homme qui ordonnait aux militaires de tirer au canon des blindés sur les manifestants d'octobre 88 est foncièrement mauvais. C'est un véritable despote même dans sa famille.
Cet assassin qui a été traîné devant les tribunaux étrangers pour crime contre l'humanité est un véritable monstre. Un assoiffé de sang et de larmes. Il a tué des milliers d'Algériens et fait pleurer des millions d'autres.
sa propre famille n'a pas échappé à sa monstruosité. Ses enfants issus de son premier mariage sont traumatisés à vie par sa cruauté. Et pour cause. Il assassina leur mère devant eux. Il lui tira deux balles dans la tête alors qu'il était ministre de la défense nationale. Un poste qui lui a servi pour couvrir ce crime abject. Aux enquêteurs du DRS, selon le commandant Mohamed Samraoui qui était à l'époque chef du Centre de recherche et d'Investigation de la 1ère région militaire, Khaled Nezzar justifia son geste par "la collaboration de sa défunte épouse avec les islamistes.
Ses enfants sont traumatisés depuis cette date. Pis encore, leur tyran de père leur interdit strictement d'évoquer le sujet même entre eux. "Quiconque ouvre la bouche, une balle dans la tête et on en parlera plus" aurait-il dit à ses enfants. Une menace qui ne passe pas pour un bluff. Ils ont vu de quoi il a été capable et ont constaté qu'il n'a été nullement inquiété. C'est comme s'il avait tué une mouche.
La défunte Barket Fatma-Zohra la mère des enfants de Nezzar que le général avait assassiné est une des milliers de victimes de cette brute. Ses enfants vivent, à ce jour, traumatisés. Surtout les filles. Elles traînent, à ce jour, les séquelles du crime commis par leur père.
Lamia l’alcoolique, âgée de 43 ans (née le 12/04/1974), divorcée de l’un des Benyoucef, est mère de deux enfants. Elle a sombré dans l’alcool et la drogue. Que de fois ne l’a-t-on pas arrêtée pour rixe et placée dans une cellule de dégrisement dans un des commissariats de police à Paris. C’est elle qui accompagnait son papa à Genève au mois d’octobre 2011 quand il avait été arrêté pour crimes de guerre par les autorités judiciaires helvétiques. Il devait lui acheter une villa pour la somme de 400.000 Francs Suisses et aussi la faire traiter contre les addictions (alcool et drogue) dont elle souffre. Son interpellation par la justice helvétique mit fin à son projet. Selon des sources proches de l’ex-ministre de la défense nationale, il aurait acheté un hôtel à Paris.
Ayant échoué à deux reprises au baccalauréat, elle n’a aucune capacité intellectuelle qui lui permet de participer dans un projet du niveau de ce que proposait le Pr Maghzi. Elle va bénéficier de la rente des dividendes d’une affaire qui brasse des centaines de milliards.
Soumia l’attardée mentale. C’est la plus jeune et c’est la plus malheureuse de tous les enfants de Nezzar. Elle a du mal à se relever du choc que lui a provoqué l’assassinat de sa mère.
Née le 02/09/1981, elle venait à peine de sortir de l’enfance quand son père commit le tragique crime qui constitue aujourd’hui le plus grand secret de la famille Nezzar. Elle, aussi, est d’un niveau d’instruction très limité. Elle ne peut par conséquent participer au projet du « Wirless ». Elle en profitera pour subvenir à ses besoins d’autant plus qu’à l’âge de 36 ans elle n’est toujours pas mariée et n’a pratiquement aucune chance de connaître le bonheur du mariage à cause de son handicap mental. La pauvre, elle est la plus grande victime du drame familial causé par son père.
Sofiane le dévergondé. Né le 14/10/1978, il est le benjamin du couple Khaled Nezzar- Barket Fatma-Zohra. Lui, aussi, traîne les séquelles de l’assassinat de sa mère. Il est toujours sous le choc. C’est ce qui explique son échec scolaire. Comme Soumia, il venait à peine de sortir de l’enfance quand son père commit l’irréparable. N’ayant même pas le niveau de la 4ème année de l’enseignement moyen, il est considéré comme le plus taré d’une famille de tarés. Intellectuellement parlant. Viveur, noceur, Sofiane est un débauché comme sa sœur aînée Lamia. Du projet du « Wirless » il n’est intéressé que par la rente qu’il lui assure.
Lotfi l’affairiste véreux. Né le 10/07/1973, il est l’aîné de la famille. Lui, aussi, est très limité intellectuellement. Il a de qui tenir ! Il est arrivé péniblement à avoir le niveau de la 3ème année secondaire. Malgré les cours particuliers prodigués par des enseignants qui effectuaient leur service national et que son papa, le tout puissant chef militaire, détournait à son profit personnel. Mais, il est écrit que la famille Nezzar, du grand père, Rahal, au plus jeune, Soufiane, en passant par Khaled, le père et Lotfi son fils aîné, aucun d’eux ne connaîtra la joie que procure le succès scolaire qui commence par le baccalauréat.
Ayant raté son bac, Lotfi sur ordre de son père s’engage dans l’armée comme d’autres enfants de la nomenklatura militaire en vue de succéder à leurs géniteurs au commandement de l’armée algérienne. Mais, taré comme il est, Lotfi ne pouvait suivre une formation d’officier qui s’étale sur 3 années pour obtenir le grade de sous-lieutenant. Il finit par abandonner au bout de deux ans pour s’adonner au bisness du cabas. Le trabendo. Lotfi Nezzar est un trabendiste privilégié. Il profite du statut de son père pour franchir allègrement les postes douaniers aux frontières et ramener toute sorte de produits prisés par « la tchtchi », cette classe de fils à papa qui vivait au rythme français avant que ne finisse leurs parents par se libérer du peu de scrupules qui leur restait pour aller s’installer définitivement sur l’autre rive de la méditerranée non sans avoir dévalué la monnaie algérienne qu’il bradait sur le marché informel du change contre des Euros et des Dollars.
Mon journal
Cet assassin qui a été traîné devant les tribunaux étrangers pour crime contre l'humanité est un véritable monstre. Un assoiffé de sang et de larmes. Il a tué des milliers d'Algériens et fait pleurer des millions d'autres.
sa propre famille n'a pas échappé à sa monstruosité. Ses enfants issus de son premier mariage sont traumatisés à vie par sa cruauté. Et pour cause. Il assassina leur mère devant eux. Il lui tira deux balles dans la tête alors qu'il était ministre de la défense nationale. Un poste qui lui a servi pour couvrir ce crime abject. Aux enquêteurs du DRS, selon le commandant Mohamed Samraoui qui était à l'époque chef du Centre de recherche et d'Investigation de la 1ère région militaire, Khaled Nezzar justifia son geste par "la collaboration de sa défunte épouse avec les islamistes.
Ses enfants sont traumatisés depuis cette date. Pis encore, leur tyran de père leur interdit strictement d'évoquer le sujet même entre eux. "Quiconque ouvre la bouche, une balle dans la tête et on en parlera plus" aurait-il dit à ses enfants. Une menace qui ne passe pas pour un bluff. Ils ont vu de quoi il a été capable et ont constaté qu'il n'a été nullement inquiété. C'est comme s'il avait tué une mouche.
La défunte Barket Fatma-Zohra la mère des enfants de Nezzar que le général avait assassiné est une des milliers de victimes de cette brute. Ses enfants vivent, à ce jour, traumatisés. Surtout les filles. Elles traînent, à ce jour, les séquelles du crime commis par leur père.
Lamia l’alcoolique, âgée de 43 ans (née le 12/04/1974), divorcée de l’un des Benyoucef, est mère de deux enfants. Elle a sombré dans l’alcool et la drogue. Que de fois ne l’a-t-on pas arrêtée pour rixe et placée dans une cellule de dégrisement dans un des commissariats de police à Paris. C’est elle qui accompagnait son papa à Genève au mois d’octobre 2011 quand il avait été arrêté pour crimes de guerre par les autorités judiciaires helvétiques. Il devait lui acheter une villa pour la somme de 400.000 Francs Suisses et aussi la faire traiter contre les addictions (alcool et drogue) dont elle souffre. Son interpellation par la justice helvétique mit fin à son projet. Selon des sources proches de l’ex-ministre de la défense nationale, il aurait acheté un hôtel à Paris.
Ayant échoué à deux reprises au baccalauréat, elle n’a aucune capacité intellectuelle qui lui permet de participer dans un projet du niveau de ce que proposait le Pr Maghzi. Elle va bénéficier de la rente des dividendes d’une affaire qui brasse des centaines de milliards.
Soumia l’attardée mentale. C’est la plus jeune et c’est la plus malheureuse de tous les enfants de Nezzar. Elle a du mal à se relever du choc que lui a provoqué l’assassinat de sa mère.
Née le 02/09/1981, elle venait à peine de sortir de l’enfance quand son père commit le tragique crime qui constitue aujourd’hui le plus grand secret de la famille Nezzar. Elle, aussi, est d’un niveau d’instruction très limité. Elle ne peut par conséquent participer au projet du « Wirless ». Elle en profitera pour subvenir à ses besoins d’autant plus qu’à l’âge de 36 ans elle n’est toujours pas mariée et n’a pratiquement aucune chance de connaître le bonheur du mariage à cause de son handicap mental. La pauvre, elle est la plus grande victime du drame familial causé par son père.
Sofiane le dévergondé. Né le 14/10/1978, il est le benjamin du couple Khaled Nezzar- Barket Fatma-Zohra. Lui, aussi, traîne les séquelles de l’assassinat de sa mère. Il est toujours sous le choc. C’est ce qui explique son échec scolaire. Comme Soumia, il venait à peine de sortir de l’enfance quand son père commit l’irréparable. N’ayant même pas le niveau de la 4ème année de l’enseignement moyen, il est considéré comme le plus taré d’une famille de tarés. Intellectuellement parlant. Viveur, noceur, Sofiane est un débauché comme sa sœur aînée Lamia. Du projet du « Wirless » il n’est intéressé que par la rente qu’il lui assure.
Lotfi l’affairiste véreux. Né le 10/07/1973, il est l’aîné de la famille. Lui, aussi, est très limité intellectuellement. Il a de qui tenir ! Il est arrivé péniblement à avoir le niveau de la 3ème année secondaire. Malgré les cours particuliers prodigués par des enseignants qui effectuaient leur service national et que son papa, le tout puissant chef militaire, détournait à son profit personnel. Mais, il est écrit que la famille Nezzar, du grand père, Rahal, au plus jeune, Soufiane, en passant par Khaled, le père et Lotfi son fils aîné, aucun d’eux ne connaîtra la joie que procure le succès scolaire qui commence par le baccalauréat.
Ayant raté son bac, Lotfi sur ordre de son père s’engage dans l’armée comme d’autres enfants de la nomenklatura militaire en vue de succéder à leurs géniteurs au commandement de l’armée algérienne. Mais, taré comme il est, Lotfi ne pouvait suivre une formation d’officier qui s’étale sur 3 années pour obtenir le grade de sous-lieutenant. Il finit par abandonner au bout de deux ans pour s’adonner au bisness du cabas. Le trabendo. Lotfi Nezzar est un trabendiste privilégié. Il profite du statut de son père pour franchir allègrement les postes douaniers aux frontières et ramener toute sorte de produits prisés par « la tchtchi », cette classe de fils à papa qui vivait au rythme français avant que ne finisse leurs parents par se libérer du peu de scrupules qui leur restait pour aller s’installer définitivement sur l’autre rive de la méditerranée non sans avoir dévalué la monnaie algérienne qu’il bradait sur le marché informel du change contre des Euros et des Dollars.
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