La DGSN épluche les pages Facebook:
Enquête sur les apologistes du racisme anti-subsahariens
La vague de dénonciation de la campagne raciste et xénophobe que mènent certains énergumènes sur les réseaux sociaux et notamment Facebook, n’a pas laissé insensible la direction général de la sûreté nationale (DGSN).
En effet, sa section de lutte contre la cybercriminalité a lancé une enquête sut la toile pour repérer ces personnes qui diffusent ces appels à rentrer chez eux, suivis de messages de haine aux subsahariens sur leurs comptes.
Selon notre confrère El bilad, la police nationale est étonnée de la soudaine apparition de ces pages horribles qui prêchent un discours xénophobe indigne des valeurs d’hospitalité du peuple algérien.
La DGSN voudrait savoir qui est derrière ces pages et comprendre pourquoi ils ont choisi le contexte actuel alors que ces "africains" sont en Algérie depuis des années.
Un responsable de la DGSN, confie à El Bilad, que la police nationale suit "avec grand intérêt ce phénomène étranger à la société algérienne".
Pour autant, la DGSN voudrait comprendre si cette campagne haineuse, qui porte atteinte à l’image de l’Algérie, n’est précisément pas destinée à semer la confusion en Algérie.
Ceci d’autant plus que l’Algérie fait de la défense de la cause des migrants et leurs droits son cheval de bataille dans les toutes les conférences internationales.
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a indiqué, aujourd’hui vendredi, depuis Kampala que "l’Algérie qui accueille sur son sol environ quarante mille réfugiés syriens et plusieurs milliers de réfugiés sahraouis, ainsi que des milliers de migrants subsahariens, demeure fidèle à ses traditions d’hospitalité en réservant, en dépit de nos moyens limités, des efforts notables pour assurer aux réfugiés et migrants un hébergement décent et pourvoir gratuitement à leurs soins de santé et d’éducation". Une déclaration qui se passe de tout commentaire.
Algérie 1
Enquête sur les apologistes du racisme anti-subsahariens
La vague de dénonciation de la campagne raciste et xénophobe que mènent certains énergumènes sur les réseaux sociaux et notamment Facebook, n’a pas laissé insensible la direction général de la sûreté nationale (DGSN).
En effet, sa section de lutte contre la cybercriminalité a lancé une enquête sut la toile pour repérer ces personnes qui diffusent ces appels à rentrer chez eux, suivis de messages de haine aux subsahariens sur leurs comptes.
Selon notre confrère El bilad, la police nationale est étonnée de la soudaine apparition de ces pages horribles qui prêchent un discours xénophobe indigne des valeurs d’hospitalité du peuple algérien.
La DGSN voudrait savoir qui est derrière ces pages et comprendre pourquoi ils ont choisi le contexte actuel alors que ces "africains" sont en Algérie depuis des années.
Un responsable de la DGSN, confie à El Bilad, que la police nationale suit "avec grand intérêt ce phénomène étranger à la société algérienne".
Pour autant, la DGSN voudrait comprendre si cette campagne haineuse, qui porte atteinte à l’image de l’Algérie, n’est précisément pas destinée à semer la confusion en Algérie.
Ceci d’autant plus que l’Algérie fait de la défense de la cause des migrants et leurs droits son cheval de bataille dans les toutes les conférences internationales.
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a indiqué, aujourd’hui vendredi, depuis Kampala que "l’Algérie qui accueille sur son sol environ quarante mille réfugiés syriens et plusieurs milliers de réfugiés sahraouis, ainsi que des milliers de migrants subsahariens, demeure fidèle à ses traditions d’hospitalité en réservant, en dépit de nos moyens limités, des efforts notables pour assurer aux réfugiés et migrants un hébergement décent et pourvoir gratuitement à leurs soins de santé et d’éducation". Une déclaration qui se passe de tout commentaire.
Algérie 1
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