Nasser Zefzafi n’a pas voulu faire une demande de grâce royale
Alors qu’une partie de l’opinion publique marocaine espérait une grâce royale à l’occasion de l’Aïd Al Fitr au profit de tous les détenus du Rif, il n’en a finalement rien été.
D’après le site local Rifonline qui cite Alhoceima City, le leader du mouvement Hirak Nasser Zefzafi n’a pas voulu formuler une demande de grâce royale à l’occasion de la fête religieuse.
« Une telle demande est réservée aux criminels condamnés », a déclaré son père, alors que lui estime qu’il n’en fait pas partie.
Dans un autre registre, la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) , avait démenti dans un communiqué les informations selon lesquelles les personnes actuellement incarcérées à Al Hoceima avaient refusé de signer des imprimés relatifs à la demande de grâce royale.
Pour DGAPR, « la diffusion de ces allégations ne sert que les desseins tendancieux de certaines parties qui prétendent la défense des droits des détenus concernés en surfant sur leur drame et en les manipulant au service d’agendas qui n’ont rien avoir avec leurs intérêts ».
bladi
Alors qu’une partie de l’opinion publique marocaine espérait une grâce royale à l’occasion de l’Aïd Al Fitr au profit de tous les détenus du Rif, il n’en a finalement rien été.
D’après le site local Rifonline qui cite Alhoceima City, le leader du mouvement Hirak Nasser Zefzafi n’a pas voulu formuler une demande de grâce royale à l’occasion de la fête religieuse.
« Une telle demande est réservée aux criminels condamnés », a déclaré son père, alors que lui estime qu’il n’en fait pas partie.
Dans un autre registre, la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) , avait démenti dans un communiqué les informations selon lesquelles les personnes actuellement incarcérées à Al Hoceima avaient refusé de signer des imprimés relatifs à la demande de grâce royale.
Pour DGAPR, « la diffusion de ces allégations ne sert que les desseins tendancieux de certaines parties qui prétendent la défense des droits des détenus concernés en surfant sur leur drame et en les manipulant au service d’agendas qui n’ont rien avoir avec leurs intérêts ».
bladi
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