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New York : Les investisseurs chinois en Afrique ne feraient que peu confiance, aux fournisseurs locaux africains.
Le cabinet de conseil américain, McKinsey, a publié mercredi 28 juin, un rapport sur les investissements chinois en Afrique.
Le cabinet new-yorkais a effectué dans cette étude, une sorte de radioscopie, pour analytiquement déterminer la réalité de la présence économique de la Chine en Afrique.
Son rapport intitulé, un peu poétiquement, ‘Dance of the lions and dragons’, révèle que les IDE chinois en Afrique, sont portés par un vaste parc d‘entreprises, de plus de 10000 sociétés.
Elles sont, à 90%, des entreprises privées. Leurs champs d’activités préférés, sont : l’industrie manufacturière. Les services. Le commerce. La construction et l’immobilier.
UN TAUX INTÉGRATION MODESTE
McKinsey a expliqué dans son étude, que les entreprises chinoises, contrairement à ce que prétendent les propagandes occidentales, apportent à l’Afrique :
‘’Beaucoup de capitaux et transfèrent leurs compétences managériales et leur énergie entrepreneuriale, aidant ainsi l’Afrique à accélérer son développement économique.’’
Or souligne le cabinet de conseil américain, il demeure des ombres au tableau.
La plus marquante, parmi elles, est que les IDE chinois sont peu enclins à augmenter leur taux d’intégration, dans les différentes places économiques africaines, où ils opèrent.
Ainsi, seules 47% en valeur, des approvisionnements des entreprises chinoises, sont assurés par des fournisseurs africains.
Au niveau du management des entreprises chinoises en Afrique, seuls 44% des postes de cadres, sont offerts à des managers Africains.
En matière de perception, les investisseurs chinois disent redouter l’état de sécurité en Afrique. Notamment leur sécurité personnelle ainsi que la corruption.
Du point de vue des salariés africains, on se plaint des barrières linguistiques et culturelles et des violations du droit du travail.
En fin, McKinsey révèle que les IDE chinois en Afrique génèrent quelques 500 milliards de dollars par an.
lemag
Le cabinet de conseil américain, McKinsey, a publié mercredi 28 juin, un rapport sur les investissements chinois en Afrique.
Le cabinet new-yorkais a effectué dans cette étude, une sorte de radioscopie, pour analytiquement déterminer la réalité de la présence économique de la Chine en Afrique.
Son rapport intitulé, un peu poétiquement, ‘Dance of the lions and dragons’, révèle que les IDE chinois en Afrique, sont portés par un vaste parc d‘entreprises, de plus de 10000 sociétés.
Elles sont, à 90%, des entreprises privées. Leurs champs d’activités préférés, sont : l’industrie manufacturière. Les services. Le commerce. La construction et l’immobilier.
UN TAUX INTÉGRATION MODESTE
McKinsey a expliqué dans son étude, que les entreprises chinoises, contrairement à ce que prétendent les propagandes occidentales, apportent à l’Afrique :
‘’Beaucoup de capitaux et transfèrent leurs compétences managériales et leur énergie entrepreneuriale, aidant ainsi l’Afrique à accélérer son développement économique.’’
Or souligne le cabinet de conseil américain, il demeure des ombres au tableau.
La plus marquante, parmi elles, est que les IDE chinois sont peu enclins à augmenter leur taux d’intégration, dans les différentes places économiques africaines, où ils opèrent.
Ainsi, seules 47% en valeur, des approvisionnements des entreprises chinoises, sont assurés par des fournisseurs africains.
Au niveau du management des entreprises chinoises en Afrique, seuls 44% des postes de cadres, sont offerts à des managers Africains.
En matière de perception, les investisseurs chinois disent redouter l’état de sécurité en Afrique. Notamment leur sécurité personnelle ainsi que la corruption.
Du point de vue des salariés africains, on se plaint des barrières linguistiques et culturelles et des violations du droit du travail.
En fin, McKinsey révèle que les IDE chinois en Afrique génèrent quelques 500 milliards de dollars par an.
lemag
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