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Rafik Abdelmoumen Khalifa a accusé lors d’une interview accordée au journal Français « Le Figaro », la Justice Algérienne d’avoir effectué l’opération de liquidation de la banque, pour preuve le fait que l’agence de la banque Khalifa de Koléa n’ait pas été inclus dans l’enquête de la chambre d’accusation de peur de voir apparaître le nom du ministre de la Justice, Tayeb Belaiz. Ce dernier possédait un compte courant dans la même banque et a également bénéficié d’un crédit bancaire de la même agence, selon Abdelmoumen Khalifa.
Le propriétaire du groupe Khalifa dissous a indiqué que son groupe a été liquidé directement après la visite historique du Président Français, Jaques Chirac, le 03 Mars 2003, chose qui confirme, selon lui, une conspiration des services de renseignements Français. Il a indiqué que Bouteflika craignait qu’il lui prenne sa place après les grands succès enregistrés par la banque, affirmant qu’il entretenait au début de bonnes relations avec Bouteflika qui l’a chargé d’obtenir des financements pour l’achat d’armes et de voitures blindées d’Israël. Il a également ajouté qu’il a présenté des services à l’Algérie dont le financement de la réalisation du siège du ministère des Finances.
Il a reconnu qu’il avait des relations avec un nombre de personnalités, surtout des militaires, à l’instar de Larbi Belkheir, l’ex Chef de Cabinet du Président Bouteflika et actuel ambassadeur de l’Algérie au Maroc, qu’il rencontrait souvent et avec qui il discutait de questions liées à la Nation.
Le propriétaire du groupe Khalifa dissous a indiqué que son groupe a été liquidé directement après la visite historique du Président Français, Jaques Chirac, le 03 Mars 2003, chose qui confirme, selon lui, une conspiration des services de renseignements Français. Il a indiqué que Bouteflika craignait qu’il lui prenne sa place après les grands succès enregistrés par la banque, affirmant qu’il entretenait au début de bonnes relations avec Bouteflika qui l’a chargé d’obtenir des financements pour l’achat d’armes et de voitures blindées d’Israël. Il a également ajouté qu’il a présenté des services à l’Algérie dont le financement de la réalisation du siège du ministère des Finances.
Il a reconnu qu’il avait des relations avec un nombre de personnalités, surtout des militaires, à l’instar de Larbi Belkheir, l’ex Chef de Cabinet du Président Bouteflika et actuel ambassadeur de l’Algérie au Maroc, qu’il rencontrait souvent et avec qui il discutait de questions liées à la Nation.
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