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Algerie . Automobile : Bedda Mahdjoub tacle sévèrement Bouchouareb

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  • Algerie . Automobile : Bedda Mahdjoub tacle sévèrement Bouchouareb


    Les projets de montage de véhicules lancés en grande pompe par l’Algérie n’ont pas atteint les objectifs escomptés.
    Le ministre de l’Industrie et des Mines, Bedda Mahdjoub, l’a fait clairement savoir ce dimanche 2 juillet.
    « La première évaluation faite par mon secteur concernant la construction automobile fait ressortir que nous sommes loin des objectifs tracés », a-t-il affirmé, en marge de la clôture de la session d’automne du Parlement.
    Pour étayer ses propos, Bedda Mahdjoub évoque trois points. Le premier concerne les prix des voitures qui restent « inaccessibles ».

    Il a, en suite, évoqué « le manque à gagner pour le Trésor public ». Enfin, le ministre a affirmé que ces projets « n’ont pas eu un impact important en termes de création d’emplois ».
    Emboîtant le pas au Premier ministre, Bedda Mahdjoud a reconnu que certains grands projets n’ont pas atteint leur objectif notamment en termes de taux d’intégration, en dépit des sommes importantes injectées.

    Le ministre de l’Industrie veut aller vers « une nouvelle stratégie » qui consiste à encourager les start-up et les petites et moyennes entreprises : « Le moment est venu pour donner la chance aux jeunes », a-t-il dit.
    Par ailleurs, le ministre a tenu à préciser que la nouvelle dynamique, que le gouvernement compte engager dans le secteur de l’industrie, « n’est dirigée contre personne ».
    Achira Mammeri

  • #2
    Bedda Mahdjoub menace de fermer les usines d’assemblage de voitures

    Bedda Mahdjoub n’est pas satisfait des usines d’assemblage de véhicules en Algérie.

    Le ministre de l’Industrie et des Mines a déclaré ce dimanche qu'”il faut arrêter la production actuelle“. “Nous devons mettre fin au mode de production actuel parce que la majorité des constructeurs n’ont pas amélioré le taux d’intégration“, a estimé le ministre, ce dimanche 2 juillet, en marge de la clôture de la session de printemps du Parlement.

    Bedda Mahdjoub affirme que le taux d’intégration dans l’industrie automobile “n’a pas atteint le niveau souhaité“. “Il faut que tout le monde s’aligne sur la nouvelle politique du gouvernement qui vise la création de sociétés de sous-traitance”, a-t-il lancé.


    Avec ces critiques, Bedda Mahdjoub vise particulièrement son prédécesseur Abdeslam Bouchouareb, qui avait toujours vanté l’industrie automobile locale.

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    • #3
      “Nous devons mettre fin au mode de production actuel parce que la majorité des constructeurs n’ont pas amélioré le taux d’intégration“

      au mode d'import actuel plutôt... de la production y en a pas...

      Commentaire


      • #4
        Envoyé par Pline

        Bedda Mahdjoub n’est pas satisfait des usines d’assemblage de véhicules en Algérie.

        Le ministre de l’Industrie et des Mines a déclaré ce dimanche qu'”il faut arrêter la production actuelle“. “Nous devons mettre fin au mode de production actuel parce que la majorité des constructeurs n’ont pas amélioré le taux d’intégration“, a estimé le ministre, ce dimanche 2 juillet, en marge de la clôture de la session de printemps du Parlement.

        Bedda Mahdjoub affirme que le taux d’intégration dans l’industrie automobile “n’a pas atteint le niveau souhaité“. “Il faut que tout le monde s’aligne sur la nouvelle politique du gouvernement qui vise la création de sociétés de sous-traitance”, a-t-il lancé
        Quelques extraits du ministre sur l'industrie automobile

        Bedda Mahdjoub
        : Le moment est venu d’encourager les équipementiers et la création de petites et moyennes entreprises spécialisées dans la fabrication des pièces détachées. On ne peut pas aller vers un taux d’intégration élevé sans les sociétés de sous-traitance.

        Nous n’avons l’intention de bloquer qui que ce soit. Mais nous disons que les gens qui n’ont rien à voir avec le secteur ne devraient pas investir dans ce domaine. D’ailleurs, les nouvelles orientations du gouvernement ne devraient pas déranger les constructeurs sérieux qui veulent contribuer avec l’État algérien à mettre en place une véritable industrie automobile.

        Nous n’allons plus nous contenter de limiter les importations des véhicules. Nous allons fixer aussi un quota pour la production (montage). Je m’explique : les quotas de production seront liés au taux d’intégration. Plus le taux d’intégration est élevé, plus nous autoriserons la production de véhicules. En d’autres termes, le constructeur qui réalise un fort taux d’intégration aura un quota de production plus élevé. Celui qui n’améliore pas son taux verra son quota baissé.

        Nous insistons auprès des constructeurs locaux d’intégrer d’ores et déjà dans leur projet la dimension exportation. On lancera également un appel aux équipementiers pour les inviter à s’installer en Algérie.

        Nous allons continuer à discuter avec Ford, Peugeot, Nissan et d’autres. Bien au contraire : nous voulons travailler avec les grands constructeurs.
        Dernière modification par MEC213, 04 juillet 2017, 02h02.

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        • #5
          On ne peut pas aller vers un taux d’intégration élevé sans les sociétés de sous-traitance.

          une lumière, bouchouareb il voulait y aller comment lui???

          Mais nous disons que les gens qui n’ont rien à voir avec le secteur ne devraient pas investir dans ce domaine
          ils peuvent s'ils ont les compétences, voir l'exemple de Sumitomo,

          Nous n’allons plus nous contenter de limiter les importations des véhicules. Nous allons fixer aussi un quota pour la production (montage). Je m’explique : les quotas de production seront liés au taux d’intégration. Plus le taux d’intégration est élevé, plus nous autoriserons la production de véhicules. En d’autres termes, le constructeur qui réalise un fort taux d’intégration aura un quota de production plus élevé. Celui qui n’améliore pas son taux verra son quota baissé.

          ils faut leurs garantir la vente de leurs bagnoles aussi..


          Nous insistons auprès des constructeurs locaux d’intégrer d’ores et déjà dans leur projet la dimension exportation. On lancera également un appel aux équipementiers pour les inviter à s’installer en Algérie.

          il faut du marketing, des infrastructures,de la main d’œuvre qualifiée, une bonne logistique et le tour est joué...

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          • #6
            Facile à dire ! Mais difficile à concrétiser !
            exact,

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            • #7
              Le message est clair. Maintenant que les ysines sont là (il y aura aussi celle de PSA) il faut se concentrer sur la sous traitance. C'est très logique.

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              • #8
                plus que logique même, enfin, la logique du gouvernement dz....

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