Comme le veut la tradition, à l’occasion de la célébration de la fête de l’Indépendance, la présidence de la République annoncera incessamment la liste des nouvelles promotions et des mises à la retraite au sein du Haut Commandement de l’Armée nationale populaire. Selon une source bien informée, ladite liste ne devrait pas comporter de grandes «surprises».
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - «Les grandes annonces et les grands mouvements au sein de l’institution militaire se font d’ailleurs toujours à l’occasion de la célébration de la fête nationale du 1er Novembre», explique notre source. Sauf que, exceptionnellement, deux grands corps de sécurité connaîtront tout de même quelques changements significatifs. Il s’agit d’abord du corps de la Gendarmerie nationale qui connaîtra, selon notre source, à l’occasion de la célébration de la fête de l’Indépendance, un vaste mouvement des chefs de regroupement de wilaya.
C’est à cette même période de l’année, à savoir en début d’été, que ce genre de mouvement a toujours été effectué au sein de la Gendarmerie nationale et cela pour ne pas perturber la scolarité des enfants des responsables concernés par les mutations en question.
L’autre corps concerné par de notables changements n’est autre que la très sensible Direction centrale de la sécurité de l’armée, la DCSA. Des changements qui toucheraient la haute hiérarchie de la structure, nous confie-t-on de même source. On parle ainsi du départ du DCSA lui-même, le général Lakhdar Tirèche, qui serait admis à la retraie. Seraient également admis à la retraite les principaux collaborateurs de ce dernier.
Comme c’est un corps de sécurité, il s’agit généralement de «noms de guerre», tel le colonel Hassan du Scorate, le lieutenant-colonel Kamel, le commandant Ossama. On parle également de «l’admission à la retraite» du colonel Boualem, responsable de la sécurité au niveau de l’hôpital militaire de Aïn-Naâdja à Alger.
Il faut rappeler que la DCSA, un corps qui dépend de l’état-major, est chargée, comme son nom l’indique du reste, de la sécurité au sein de l’armée, dans les casernes et de toutes les structures militaires, y compris du ministère de la Défense.
En d’autres termes, c’est la force de frappe de l’état-major et du ministère de la Défense nationale. A ne pas confondre avec les services de renseignement classiques chapeautés par le général Bachir Tertag et qui sont, eux, rattachés à la présidence de la République et ce, depuis la restructuration opérée au lendemain du départ du général de corps d’armée, Mohamed Médiène, dit Toufik.
K. A.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - «Les grandes annonces et les grands mouvements au sein de l’institution militaire se font d’ailleurs toujours à l’occasion de la célébration de la fête nationale du 1er Novembre», explique notre source. Sauf que, exceptionnellement, deux grands corps de sécurité connaîtront tout de même quelques changements significatifs. Il s’agit d’abord du corps de la Gendarmerie nationale qui connaîtra, selon notre source, à l’occasion de la célébration de la fête de l’Indépendance, un vaste mouvement des chefs de regroupement de wilaya.
C’est à cette même période de l’année, à savoir en début d’été, que ce genre de mouvement a toujours été effectué au sein de la Gendarmerie nationale et cela pour ne pas perturber la scolarité des enfants des responsables concernés par les mutations en question.
L’autre corps concerné par de notables changements n’est autre que la très sensible Direction centrale de la sécurité de l’armée, la DCSA. Des changements qui toucheraient la haute hiérarchie de la structure, nous confie-t-on de même source. On parle ainsi du départ du DCSA lui-même, le général Lakhdar Tirèche, qui serait admis à la retraie. Seraient également admis à la retraite les principaux collaborateurs de ce dernier.
Comme c’est un corps de sécurité, il s’agit généralement de «noms de guerre», tel le colonel Hassan du Scorate, le lieutenant-colonel Kamel, le commandant Ossama. On parle également de «l’admission à la retraite» du colonel Boualem, responsable de la sécurité au niveau de l’hôpital militaire de Aïn-Naâdja à Alger.
Il faut rappeler que la DCSA, un corps qui dépend de l’état-major, est chargée, comme son nom l’indique du reste, de la sécurité au sein de l’armée, dans les casernes et de toutes les structures militaires, y compris du ministère de la Défense.
En d’autres termes, c’est la force de frappe de l’état-major et du ministère de la Défense nationale. A ne pas confondre avec les services de renseignement classiques chapeautés par le général Bachir Tertag et qui sont, eux, rattachés à la présidence de la République et ce, depuis la restructuration opérée au lendemain du départ du général de corps d’armée, Mohamed Médiène, dit Toufik.
K. A.
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