ALGERIE (Tamurt) – Si le général Lamari, chefs des forces armées algériennes durant les années 1990, a battu le raccord de monde de poids, puisqu’on dit qu’il pesait plus de 150 kilos, l’actuel patron de l’armée algérienne, le général Gaid Ahmed Salah est, incontestablement, le plus vieux soldat au monde.
Même sa date de naissance exacte est inconnue. On sait juste qu’il a plus de 80 ans. Certains affirment qu’il est né en 1920 d’autre en 1933, sans plus. Inconnu pendant la guerre de libération nationale, Gaid, natif de la région de Biskra, est promu au grade de général en 1994 sans aucun niveau scolaire bien sûr. On dit même qu’il a un niveau scolaire de troisième année primaire. En 2004, il accéda à la tête de l’armée algérienne pour ne jamais la quitter. Saïd Bouteflika l’a choisi à cause de son ignorance pour bien le gérer. Un général qui obéit aux ordres de son mentor comme un vrai soldat.
Comme ces prédécesseurs, ses proches se sont rapidement enrichis en se lançant dans plusieurs affaires, ce qui n’est pas étrange en Algérie. Aux dernières nouvelles, il ne veut plus quitter l’armée lorsqu’il a eu vent que Saïd Bouteflika lui cherche un successeur. Il veut lui aussi mourir à la tête de l’armée comme son président. Gaid se distingue aussi, selon des proches, par sa haine envers tout ce qui est kabyle. Il a ordonné de n’ouvrir aucune enquête concernant les 12 victimes civiles tués par les militaires en Kabylie sous son règne.
Lounès B Tamurt
Même sa date de naissance exacte est inconnue. On sait juste qu’il a plus de 80 ans. Certains affirment qu’il est né en 1920 d’autre en 1933, sans plus. Inconnu pendant la guerre de libération nationale, Gaid, natif de la région de Biskra, est promu au grade de général en 1994 sans aucun niveau scolaire bien sûr. On dit même qu’il a un niveau scolaire de troisième année primaire. En 2004, il accéda à la tête de l’armée algérienne pour ne jamais la quitter. Saïd Bouteflika l’a choisi à cause de son ignorance pour bien le gérer. Un général qui obéit aux ordres de son mentor comme un vrai soldat.
Comme ces prédécesseurs, ses proches se sont rapidement enrichis en se lançant dans plusieurs affaires, ce qui n’est pas étrange en Algérie. Aux dernières nouvelles, il ne veut plus quitter l’armée lorsqu’il a eu vent que Saïd Bouteflika lui cherche un successeur. Il veut lui aussi mourir à la tête de l’armée comme son président. Gaid se distingue aussi, selon des proches, par sa haine envers tout ce qui est kabyle. Il a ordonné de n’ouvrir aucune enquête concernant les 12 victimes civiles tués par les militaires en Kabylie sous son règne.
Lounès B Tamurt
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