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A Varsovie, Donald Trump prône l’unité de l’Occident face à la menace russe

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  • A Varsovie, Donald Trump prône l’unité de l’Occident face à la menace russe

    Au premier jour de sa tournée européenne, Donald Trump a fait étape en Pologne, un allié solide des États-Unis dans la région. Le président américain a souhaité rassurer ses partenaires de l'Otan face à la Russie qu'il a qualifiée de «menace».

    Un pour tous, tous pour un. Dans son discours à Varsovie prononcé devant une quinzaine de milliers de personnes, Donald Trump a promis de tout faire pour défendre ses alliés européens. « A ceux qui ont critiqué notre position, je veux dire que les États-Unis ont prouvé par des actes que nous respecterons l'article 5. L'engagement de défense mutuelle », a-t-il affirmé, en référence à l’article 5 de l'Otan, qui prévoit que les pays de l'Alliance transatlantique se portent secours mutuellement en cas d'attaque.

    A Varsovie, le locataire de la Maison Blanche confirme donc le virage à 180 degrés opéré depuis la campagne électorale américaine où il n'avait eu de cesse de qualifier l'Alliance d'« obsolète ». Et ne tarit pas d'éloges sur ses partenaires européens. « L'Otan n'a jamais été aussi forte qu'aujourd'hui », assure-t-il.

    Mais, estime-t-il encore, « l'Occident est aussi confronté à un pouvoir qui teste sa résistance et qui défie nos intérêts ». Et de poursuivre : « Nous demandons fermement à la Russie de cesser ses activités déstabilisatrices dans la région et ailleurs, comme en Ukraine et en Syrie. Ainsi que de cesser de soutenir des régimes hostiles comme l'Iran. Je demande à la Russie de rejoindre aujourd'hui le concert des nations responsables. »

    Cette visite à Varsovie a également été l’occasion pour Donald Trump d’évoquer le rôle de Moscou pendant l’élection présidentielle américaine, et ce alors qu’il est lui-même empêtré dans une enquête sur les liens présumés de son équipe avec le Kremlin. « Je suis d'accord sur le fait que la Russie a joué un rôle pendant l'élection présidentielle. Je pense que cela a bien pu être le cas pour d'autres pays. Je ne vais pas être précis. Mais je pense que beaucoup de gens interfèrent. Et ce n'est pas nouveau. Et en réalité, personne ne peut avoir de preuves de cela », a déclaré Donald Trump.

    Avant de renvoyer la balle à son prédécesseur : « Mais la grande question est : pourquoi Obama n'a rien dit alors qu'il était au courant depuis août jusqu'à l'élection en novembre ? Je pense qu'il a voulu passer cela sous silence. »

    Ces propos interviennent à la veille d’une rencontre entre le président américain et son homologue russe en marge du sommet du G20 à Hambourg. Un sommet sous haute tension.

    RFI

  • #2
    Le journaliste de RFI a à l'évidence mal compris le discours du déchet violeur Trump.

    Le déchet Trump n'a pas traité la Russie de "menace". Il a au contraire supplié la Russie d'être gentille et de ne plus destabiliser l'Ukraine. Concrètement, le déchet Trump s'est contenté du minimum syndical pour rassurer les pays de l'Europe de l'Est pour faire croire qu'il n'est pas "la prostituée" de Vladimir!

    Le discours du déchet violeur Trump était centré sur la guerre des civilisations: l'Occident vs. le monde musulman. D'ailleurs, le Los Angeles Times a titré son article à ce sujet: "Trump frames anti-terror fight as a clash of civilizations, defending Western culture against enemies".

    Ce qui n'est pas surprenant puisque non seulement le discours du déchet Trump a été écrit par des néo-nazis islamophobes (Stephen Bannon et Stephen Miller), mais en plus, le violeur Trump lui même est un déchet islamophobe qui considère que l'Amérique est en guerre contre l'Islam (voir vidéo).



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