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« Il pleure, que dit-il ? » : l’ouvrage pour décoder les pleurs des bébés !

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  • « Il pleure, que dit-il ? » : l’ouvrage pour décoder les pleurs des bébés !

    Vous pouvez retrouver la méthode du Dunstan Baby Language vous promettant de décrypter les sons produits par votre bébé dans le livre paru aux éditions JC Lattès.

    Dans le dernier ouvrage de la collection Parents + de JC Lattès, Isabelle Filliozat s’intéresse au Dunstan Baby Language, une méthode inventée par l’australienne Priscilla Dunstan, experte en éducation reconnue internationalement. Le principe ? Savoir décrypter les besoins de bébé en fonction des caractéristiques de ses pleurs. Ancienne musicienne à l’oreille absolue, Priscilla a découvert à la naissance de sa fille que ses pleurs étaient différents selon les besoins qu’elle cherchait à exprimer. Après avoir analysé les pleurs d’autres bébés pour appuyer sa théorie et développer sa méthode, Priscilla a mis au point une classification révolutionnaire divisée en 9 catégories. Depuis, elle a créé à Sydney le Priscilla Dunstan Center, un centre spécialisé, et dispense ses conseils à Los Angeles, où elle vit désormais. Avec sa méthode, elle promet que vous « apprendrez ce dont votre bébé a besoin, au moment où il en a besoin, simplement en l’écoutant ». Pour elle, ils parlent un langage universel qu’il suffit de déchiffrer. Le voici :


    Nèh : j’ai faim


    « La faim provoque un réflexe de succion qui, vocalisé, donne le mot nèh. […] Pour détecter facilement le mot nèh, il suffit de regarder la bouche de votre bébé. S’il pleure au moment où sa langue reproduit un mouvement de succion, alors vous entendrez facilement le mot nèh. […] Le son produit vient du nez et ressemble à nnnnnn. […] Au moment où la langue s’éloigne du palais, le nnn se transforme en nnnn son qui ressemble à èh. Associez les deux sons et vous obtenez nèh. »

    Aoh : j’ai sommeil


    « Il baille et son bâillement produit un son aoh. Vous entendrez le mot aoh dans la phase du pré-cri comme dans celle des cris à plein poumons, avant même d’observer les signes habituels de la fatigue. […] Vous entendrez un long a. Si on prolonge le son en fermant la bouche, il se modifie en léger o suivi d’un h. […] Il est important de décrypter le pré-cri aoh comme signe avant-coureur de la fatigue, car les bébés, comme les adultes, s’endorment plus facilement quand ils commencent à se sentir un peu fatigués. Sinon, ils risquent de trouver un second souffle et de s’exténuer. Paradoxalement, ils auront alors plus de mal à s’endormir. »

    Eh : j’ai besoin de roter


    « Quand il a envie de roter, votre bébé émet le son èh, produit par le réflexe d’éructation. Eh signifie que de l’air s’est bloqué dans la partie haute de son système digestif. Ses muscles se contractent automatiquement pour expulser l’air, produisant le son èh […] un è court, bref, net, très précis dès le début du son. En fin de mot, le h est fortement marqué, comme un souffle ».

    Eèrh : j’ai des gaz dans l’abdomen


    « L’origine du mot èèèrh s’explique par le réflexe de contraction des muscles abdominaux du système digestif du fait de la présence de gaz emprisonné dans le gros intestin. […] A l’oreille, èèrh ressemble au bruit que nous produisons lorsque nous sommes un peu constipés et n’arrivons pas à produire nos selles. […] Le mot èèrh sonne comme un long è suivi d’une expiration que je transcris par un rh. […] Le son èèrh est tenu, prolongé. »

    Hèh et ses variations : je suis inconfortable


    « Inconfortable » est un terme à large spectre pour toute une gamme de gênes chez un bébé. Mais le mot hèh se déclenche lors de réflexes cutanés. […] Quand nous avons froid, nous avons la chair de poule, nous frissonnons ; quand nous avons trop chaud, nous transpirons ; quand notre peau est irritée, elle gonfle et rougit dans son combat contre les bactéries. Chez les bébés aussi. Le mot hèh couvre toutes ces réactions […] Le mot hèh sonne de manière un peu voilée. Il ressemble à un soupir, avec un peu plus de force qu’un soupir, avec un peu plus de force qu’un soupir, comme quand on expire de l’air en y ajoutant de la pression. Le premier h est clairement audible […] le è peut sonner soit très brièvement, soit longuement. »

    Guèn : j’ai mal aux dents


    « La douleur ressentie au niveau des gencives pousse les bébés à vouloir frotter ou masser la zone sensible. C’est ainsi qu’ils produisent le son signifiant « j’ai mal aux gencives » ou « je fais mes dents ». Tout d’abord, ils grommellent, puis dans le stade du pré-cri vous entendez le son guèn. Pour le reproduire, on rentre les joues entre les dents du haut et les dents du bas et on étire la bouche dans une grande grimace. On peut tirer les lèvres vers l’arrière et les plaquer aux gencives en s’aidant de deux doigts. La langue recule un peu vers l’arrière et s’aplatit tout en laissant la gorge ouverte, nous permettant de respirer. A l’avant, elle touche les dents du bas. Puis on bouge la mâchoire comme si on mâchait quelque chose, comme si on voulait mastiquer l’intérieur de nos joues. Si on ajoute un son, on entend le mot guèn. »

    Lelaol : je me sens seul(e)


    « Ce son a quelque chose de quasi universel chez les mammifères souffrant de solitude […] Le besoin d’interaction sociale semble de dimension émotionnelle, mais pour le nourrisson, c’est aussi un besoin d’ordre biologique. […] Pour reproduire le son, on soupire en ajoutant de la voix. Comme votre bébé n’a pas de dent, ce soupir soulève sa langue et la fait papillonner. Cela crée le son lel. On continue à soupirer et à donner de la voix en détendant la langue et en ouvrant la bouche, presque jusqu’au bâillement, puis on referme la bouche. Cette deuxième partie du mouvement produira le son aol, qui, ajouté à lel, crée lelaol. »

    Nah : j’ai soif


    « Quand votre bébé a soif, parmi ses pleurs, vous entendrez le son nah. […] A l’intérieur de la bouche sèche du bébé, le mouvement de la langue associé à une vibration vocale produit le son nah. Ce mouvement commence comme un mouvement de succion, mais la langue s’arrête à mi-chemin derrière les gencives du haut et redescend directement. Pour reproduire le son nah, imaginez que vous voulez hydrater l’intérieur de votre bouche quand elle est sèche. »

    Ouin : je n’en peux plus


    Quand votre bébé perd pied, vous l’entendrez pleurer ouin. Vous saurez alors qu’il a été trop stimulé et n’est plus capable de gérer la situation. Ce son apparaît souvent dans la phase des hurlements : il est donc aigu, fort et se répète rapidement. […] Pour produire ce son, on pousse l’estomac vers l’avant et on l’y maintient. Cela oblige à respirer jusqu’en bas des poumons. Inspirer en ouvrant ka bouche, langue abaissée et plate. En ajoutant la vocalisation, on produit naturellement le son ouin. »

    Parole de maman

  • #2
    et ça donne quoi quand la couche est pleine ?

    Commentaire


    • #3
      Ouin : je n’en peux plus
      Je connais que ça , les autres indéchiffrables !

      Sinon, chaque enfant à son propre dictionnaire..

      C'est le dadadi, que je n'arrive pas à comprendre..
      PEACE

      Commentaire

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