nouveau phénomène de société
algerie1
Bouleversement grave des valeurs de la société, l’institution du mariage est de moins en moins un moyen de stabilité sociale et de plus en plus, une source de conflit dont pâtissent surtout les enfants. Les dernières conclusions de l’enquête de l’office nationale des statistiques (ONS), le montrent assez bien.
Le nombre de divorces enregistrés annuellement en Algérie atteint la côte d’alerte. Un avocat qui s’exprimait sur le plateau d’Ennahar TV estimait le nombre de ruptures de couples enregistrés par année par les services de l’Etat-civil en Algérie à environ 62.000 en 2016.
L’avocat souligne que pas moins de 14.000 mariages ne dépassent pas le seuil de trois mois avant que les couples ne décident d’aller se séparer devant le juge. Des chiffres effarants d’autant plus que ce sont surtout les enfants qui subissent les dommages collatéraux de ce phénomène de la société.
Ainsi d’après l’invité d’Ennahar TV, ils sont près de 200.000 enfants à être victimes de ces déchirement de la cellule familiale, avec les conséquences sociales et les répercussions psychologiques graves qu’on pourrait imaginer. Il va de soi que les divorces impactent gravement la vie de la femme mais aussi de l’homme.
Nombreuses sont ces femmes qui se sont retrouvées du jour au lendemain jetées à la rue. D’autres sont remariées et ont laissé la garde des enfants au papa qui souffre terriblement pour les prendre en charge et qui peine à trouver une autre femme qui accepte un tel «fardeau».
Aussi, depuis l’institution du «Khoaâ» qui consiste à accorder à la femme le droit d’obtenir un divorce, il a été constaté une explosion de divorces de ce type sous de fallacieux prétextes. Certaines femmes recourent de manière abusive à cette tactique pour obtenir leur liberté tout en récupérant le logement et les enfants de leurs ex époux. C’est entre autres ce qui explique la multiplication des divorces ces dernières années selon les spécialistes.
Le nombre de divorces enregistrés annuellement en Algérie atteint la côte d’alerte. Un avocat qui s’exprimait sur le plateau d’Ennahar TV estimait le nombre de ruptures de couples enregistrés par année par les services de l’Etat-civil en Algérie à environ 62.000 en 2016.
L’avocat souligne que pas moins de 14.000 mariages ne dépassent pas le seuil de trois mois avant que les couples ne décident d’aller se séparer devant le juge. Des chiffres effarants d’autant plus que ce sont surtout les enfants qui subissent les dommages collatéraux de ce phénomène de la société.
Ainsi d’après l’invité d’Ennahar TV, ils sont près de 200.000 enfants à être victimes de ces déchirement de la cellule familiale, avec les conséquences sociales et les répercussions psychologiques graves qu’on pourrait imaginer. Il va de soi que les divorces impactent gravement la vie de la femme mais aussi de l’homme.
Nombreuses sont ces femmes qui se sont retrouvées du jour au lendemain jetées à la rue. D’autres sont remariées et ont laissé la garde des enfants au papa qui souffre terriblement pour les prendre en charge et qui peine à trouver une autre femme qui accepte un tel «fardeau».
Aussi, depuis l’institution du «Khoaâ» qui consiste à accorder à la femme le droit d’obtenir un divorce, il a été constaté une explosion de divorces de ce type sous de fallacieux prétextes. Certaines femmes recourent de manière abusive à cette tactique pour obtenir leur liberté tout en récupérant le logement et les enfants de leurs ex époux. C’est entre autres ce qui explique la multiplication des divorces ces dernières années selon les spécialistes.
Commentaire