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Niqolah Seeva Joueur de oud
Joueur de oud et d'instruments hybrides inventés, nomade sensible et fervent expérimentateur des métissages interculturels, Niqolah Seeva forme en 2017 l'Hybrid Orchestra, prolifique combo jouant avec les croisement de style et les frontières musicales.
Après avoir plusieurs fois lâché ses oreilles dans les rues de Casablanca, Istanbul ou New Delhi, le musicien décide un jour sec et silencieux de planter ses instruments au Maroc. De retour en France, il décide d’aborder le oud avec une approche plus actuelle, issu des musiques amplifiés : cablé à un multi-effet et à une loop-station, il s’autosample en détournant le jeu traditionnel du luth arabe ( ligne de basse, percussions sur l’instrument, effets..). Plus récemment il crée conjointement avec des luthiers français et marocains, un prototype de guitare hybride, la « Guit°Arabia », dont les quarts de tons additionnels permettent de jouer les gammes orientales.
Aprés avoir tourné et enregistré un premier spectacle en solo, il crée en 2011 un projet de groupe, axé sur les rencontres d’instrumentistes de différentes cultures (oud arabe, violoncelle classique, machines électro, tablas indiens, chant saharaoui...).
Joueur de oud et d'instruments hybrides inventés, nomade sensible et fervent expérimentateur des métissages interculturels, Niqolah Seeva forme en 2017 l'Hybrid Orchestra, prolifique combo jouant avec les croisement de style et les frontières musicales.
Après avoir plusieurs fois lâché ses oreilles dans les rues de Casablanca, Istanbul ou New Delhi, le musicien décide un jour sec et silencieux de planter ses instruments au Maroc. De retour en France, il décide d’aborder le oud avec une approche plus actuelle, issu des musiques amplifiés : cablé à un multi-effet et à une loop-station, il s’autosample en détournant le jeu traditionnel du luth arabe ( ligne de basse, percussions sur l’instrument, effets..). Plus récemment il crée conjointement avec des luthiers français et marocains, un prototype de guitare hybride, la « Guit°Arabia », dont les quarts de tons additionnels permettent de jouer les gammes orientales.
Aprés avoir tourné et enregistré un premier spectacle en solo, il crée en 2011 un projet de groupe, axé sur les rencontres d’instrumentistes de différentes cultures (oud arabe, violoncelle classique, machines électro, tablas indiens, chant saharaoui...).
