8 juil. 2017
Le Parti communiste a déploré la venue du Premier ministre sioniste, Benyamin Netanyahou, aux commémorations du 75e anniversaire de la Rafle du Vel d'Hiv, estimant qu'il n'était pas l'homme du «message fort de paix» qui devrait être envoyé.
La commémoration de la rafle du Vel d'Hiv, le 16 juillet, «doit envoyer un message fort de paix, et Benyamin Netanyahou n'est pas l'homme de ce message», écrit le Parti communiste français (PCF) dans un communiqué. «Ce n'est pas faire honneur aux 13 152 juifs, parmi lesquels plus de 4 000 enfants, que la police de Pétain rafla dans la région parisienne pour les envoyer à la mort et complaire à l'Occupant allemand», ajoute le parti.
«Nul n'a oublié qu'en octobre 2015, le dirigeant israélien avait provoqué une indignation unanime, jusqu'au gouvernement allemand, en affirmant, au mépris de la réalité historique et des faits, qu'"Hitler n'[avait] pas souhaité exterminer les juifs"», affirme le PCF.
«Le Premier ministre israélien, dont l'obédience d'extrême droite n'est plus un secret pour personne, est un homme de guerres et de violences qui, chaque jour, fait obstacle à la construction d'un processus de paix, juste et durable, entre Israéliens et Palestiniens», poursuit le parti, qui «réprouve» l'invitation faite à Benyjamin Netanyahou par le président Emmanuel Macron.
La dernière visite du Premier ministre israélien remonte à janvier 2015, quand il avait défilé à Paris aux côtés de plusieurs dirigeants étrangers, à l'invitation du président François Hollande, pour exprimer sa solidarité après une série d'attaques djihadistes ayant visé Charlie Hebdo, des policiers et des juifs.
rt
Le Parti communiste a déploré la venue du Premier ministre sioniste, Benyamin Netanyahou, aux commémorations du 75e anniversaire de la Rafle du Vel d'Hiv, estimant qu'il n'était pas l'homme du «message fort de paix» qui devrait être envoyé.
La commémoration de la rafle du Vel d'Hiv, le 16 juillet, «doit envoyer un message fort de paix, et Benyamin Netanyahou n'est pas l'homme de ce message», écrit le Parti communiste français (PCF) dans un communiqué. «Ce n'est pas faire honneur aux 13 152 juifs, parmi lesquels plus de 4 000 enfants, que la police de Pétain rafla dans la région parisienne pour les envoyer à la mort et complaire à l'Occupant allemand», ajoute le parti.
«Nul n'a oublié qu'en octobre 2015, le dirigeant israélien avait provoqué une indignation unanime, jusqu'au gouvernement allemand, en affirmant, au mépris de la réalité historique et des faits, qu'"Hitler n'[avait] pas souhaité exterminer les juifs"», affirme le PCF.
«Le Premier ministre israélien, dont l'obédience d'extrême droite n'est plus un secret pour personne, est un homme de guerres et de violences qui, chaque jour, fait obstacle à la construction d'un processus de paix, juste et durable, entre Israéliens et Palestiniens», poursuit le parti, qui «réprouve» l'invitation faite à Benyjamin Netanyahou par le président Emmanuel Macron.
La dernière visite du Premier ministre israélien remonte à janvier 2015, quand il avait défilé à Paris aux côtés de plusieurs dirigeants étrangers, à l'invitation du président François Hollande, pour exprimer sa solidarité après une série d'attaques djihadistes ayant visé Charlie Hebdo, des policiers et des juifs.
rt
Commentaire