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La fusion entre le français Alcatel et l'américain Lucent s'annonce plus rude que prévu en terme d'emplois avec 12.500 emplois supprimés ce qui est plus que ce qui avait été annoncé auparavant. L'ensemble des filiales du goupe Alcatel-Lucent dans le Monde est concerné par le plan social de ce dégraissage massif.
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Sur 80.000 emplois, 12.500 seront supprimés sur trois ans. C’est ce que vient d’annoncer le groupe d’équipementier des télécommunications Alcatel-Lucent. Un chiffre bien supérieur aux 9.000 initialement annoncés lors de la fusion entre le français Alcatel et l'américain Lucent en avril dernier.
Les suppressions d'emplois toucheront l'ensemble des filiales du groupe à travers le monde et s'inscrivent dans le cadre d'un plan d'économies de 1,7 milliard d'euros en trois ans, a précisé le groupe. La répartition des suppressions d'effectifs par pays ni les dates auxquelles elles auront lieu n’ont cependant pas été précisées.
Rentabilité en chute libre
Ces plans sociaux doivent être communiqués aux Comités centraux d'entreprises des filiales les 13 et 14 février, et au Comité de groupe France le 16 février. L'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO) du groupe a d’ores et déjà appelé "à un premier arrêt de travail de deux heures le 15 février" pour "dire non aux suppressions d'emplois programmées".
Lors de l'annonce de la fusion en avril dernier, le groupe avait annoncé la suppression de 9.000 emplois et un plan d'économies de 1,4 milliard d'euros sur trois ans. Toutes ces données ont été revues à la hausse à la suite de mauvais résultats financiers. Au cours des trois derniers mois de l'année dernière, le groupe avait enregistré une baisse de 16% du chiffre d'affaires et une rentabilité en chute libre, de 566 à 21 millions d'euros. Toutefois, Alcatel-Lucent, qui veut marquer sa "confiance" dans la fusion, a décidé de verser le même dividende par action que l’an dernier, soit 16 centime
Par le figaro
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Sur 80.000 emplois, 12.500 seront supprimés sur trois ans. C’est ce que vient d’annoncer le groupe d’équipementier des télécommunications Alcatel-Lucent. Un chiffre bien supérieur aux 9.000 initialement annoncés lors de la fusion entre le français Alcatel et l'américain Lucent en avril dernier.
Les suppressions d'emplois toucheront l'ensemble des filiales du groupe à travers le monde et s'inscrivent dans le cadre d'un plan d'économies de 1,7 milliard d'euros en trois ans, a précisé le groupe. La répartition des suppressions d'effectifs par pays ni les dates auxquelles elles auront lieu n’ont cependant pas été précisées.
Rentabilité en chute libre
Ces plans sociaux doivent être communiqués aux Comités centraux d'entreprises des filiales les 13 et 14 février, et au Comité de groupe France le 16 février. L'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO) du groupe a d’ores et déjà appelé "à un premier arrêt de travail de deux heures le 15 février" pour "dire non aux suppressions d'emplois programmées".
Lors de l'annonce de la fusion en avril dernier, le groupe avait annoncé la suppression de 9.000 emplois et un plan d'économies de 1,4 milliard d'euros sur trois ans. Toutes ces données ont été revues à la hausse à la suite de mauvais résultats financiers. Au cours des trois derniers mois de l'année dernière, le groupe avait enregistré une baisse de 16% du chiffre d'affaires et une rentabilité en chute libre, de 566 à 21 millions d'euros. Toutefois, Alcatel-Lucent, qui veut marquer sa "confiance" dans la fusion, a décidé de verser le même dividende par action que l’an dernier, soit 16 centime
Par le figaro