DIA-15 juillet 2017: « Je veux que la salle de prière soit prête en décembre pour venir prier » a lancé avec un ton ferme au responsable chinois de la société CSCEC chargée de la construction, le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, lors d’une visite de travail et d’inspection au projet de réalisation de la Grande mosquée d’Alger. Le ministre était accompagné d’une importante délégation composée du wali d’Alger Abdelakader Zoukh, du ministre des travaux publics Zaalane et du ministre des affaires religieuses, Mohamed Aissa.
Le Premier ministre, qui connait le dossier, de part son poste d’ancien ministre de l’habitat chargé du projet a exprimé son mécontentement face à la lenteur enregistrée dans la réalisation des travaux au niveau de plusieurs structures du projet, à l’instar du minaret et de la salle de prière, soulignant l’importance de rattraper le retard accusé estimé à près de 4 mois.
Le premier a donné des instructions fermes pour l’accélération de la cadence de réalisation du projet de la Grande mosquée d’Alger et a insisté sur l’impératif de « respecter les délais impartis de concert avec la présidence de la République, à savoir décembre 2017, ce qui exige un travail en 3X8 pour rattraper le retard enregistré ».
Il a ordonné, dans ce sens, l’élaboration d’un nouveau plan, « hebdomadaire », sur l’état d’avancement des travaux, ajoutant que le « dôme de la mosquée devrait être posé à la prochaine visite d’inspection au chantier, prévue dans un mois ».
Les responsables du projet et les intervenants sont appelés à intensifier la coordination pour respecter les délais fixés et assurer une meilleure efficacité de réalisation, a poursuivi M. Tebboune, rappelant que le ministère des Affaires religieuses était la seule partie habilitée à effectuer les choix artistiques, notamment en ce qui a trait à la décoration et à la calligraphie.
S`étendant sur plus de 27 hectares, la Grande mosquée d`Alger compte une salle de prière d`une superficie de 20.000 m², une esplanade et un minaret d`une hauteur de 267 m, outre une bibliothèque, un centre culturel, une maison du Coran, des jardins, un parking, des bâtiments administratifs et d’autres pour la Protection civile et la sécurité, ainsi que des espaces réservés à la restauration.
Lancé en 2012, le projet est supervisé par la Société chinoise de réalisation « China State Construction Engineering Corporation » (CSCEC).
Le Premier ministre, qui connait le dossier, de part son poste d’ancien ministre de l’habitat chargé du projet a exprimé son mécontentement face à la lenteur enregistrée dans la réalisation des travaux au niveau de plusieurs structures du projet, à l’instar du minaret et de la salle de prière, soulignant l’importance de rattraper le retard accusé estimé à près de 4 mois.
Le premier a donné des instructions fermes pour l’accélération de la cadence de réalisation du projet de la Grande mosquée d’Alger et a insisté sur l’impératif de « respecter les délais impartis de concert avec la présidence de la République, à savoir décembre 2017, ce qui exige un travail en 3X8 pour rattraper le retard enregistré ».
Il a ordonné, dans ce sens, l’élaboration d’un nouveau plan, « hebdomadaire », sur l’état d’avancement des travaux, ajoutant que le « dôme de la mosquée devrait être posé à la prochaine visite d’inspection au chantier, prévue dans un mois ».
Les responsables du projet et les intervenants sont appelés à intensifier la coordination pour respecter les délais fixés et assurer une meilleure efficacité de réalisation, a poursuivi M. Tebboune, rappelant que le ministère des Affaires religieuses était la seule partie habilitée à effectuer les choix artistiques, notamment en ce qui a trait à la décoration et à la calligraphie.
S`étendant sur plus de 27 hectares, la Grande mosquée d`Alger compte une salle de prière d`une superficie de 20.000 m², une esplanade et un minaret d`une hauteur de 267 m, outre une bibliothèque, un centre culturel, une maison du Coran, des jardins, un parking, des bâtiments administratifs et d’autres pour la Protection civile et la sécurité, ainsi que des espaces réservés à la restauration.
Lancé en 2012, le projet est supervisé par la Société chinoise de réalisation « China State Construction Engineering Corporation » (CSCEC).
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