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Hirak : la coalition gouvernementale appelle à ne pas manifester le 20 juillet
La coalition gouvernementale formée par le PJD, l'USFP, le RNI, le MP, l'UC, et le PPS, appuient les autorités d'Al Hoceima dans leur décision d’interdire la grande manifestation prévue par le Hirak demain 20 juillet qui coïncide avec la célébration de la bataille d’Anoual. Ils exhortent les citoyens à ne pas suivre l’appel à mobilisation
Après l’interdiction, voici le temps venu de la mise en garde. A la veille d’une grande manifestation du Hirak annoncée depuis des semaines pour le 20 juillet par Nasser Zafzafi, leader du Hirak alors qu’il jouissait encore de sa liberté, les six partis de la majorité (PJD, RNI, MP, UC, USFP et PPS) ont appelé les citoyens, dans un communiqué publié ce 19 juillet, à ne pas prendre y prendre part.
Présidée par Saâdeddine El Otmani, chef du gouvernement, une réunion des représentants des partis de la majorité tenue ce mardi 18 juillet « les citoyennes et les citoyens d’Al Hoceima à interagir favorablement à la décision de ne pas autoriser cette manifestation ».
L’appel à « instaurer un climat serein » au « respect des dispositions de la loi et de l’État de droit », invitant la population d’Al Hoceima à « éviter toute escalade », ne semble toutefois pas été entendu par les militants et sympathisants du Hirak. Un contre-appel du « Courant de libération démocratique » a diffusé pour sa part un communiqué appelant « à une participation massive », faisant référence dans son texte à la symbolique très forte de la bataille d’Anoual contre l’occupant espagnol durant le Protectorat, dont la célébration coïncide avec la date de la manifestation.
Par ailleurs, plusieurs critiques ont été émises via les réseaux sociaux à l’encontre de la coalition gouvernementale lui reprochant de n’avoir pas fait amende honorable après les accusations de séparatisme formulées contre le Hirak. La plupart ont jugé insuffisants les timides regrets de Saâdeddine El Otmani à ce sujet durant sa prestation télévisée simultanée sur Al Oula et 2M.
ledesk
La coalition gouvernementale formée par le PJD, l'USFP, le RNI, le MP, l'UC, et le PPS, appuient les autorités d'Al Hoceima dans leur décision d’interdire la grande manifestation prévue par le Hirak demain 20 juillet qui coïncide avec la célébration de la bataille d’Anoual. Ils exhortent les citoyens à ne pas suivre l’appel à mobilisation
Après l’interdiction, voici le temps venu de la mise en garde. A la veille d’une grande manifestation du Hirak annoncée depuis des semaines pour le 20 juillet par Nasser Zafzafi, leader du Hirak alors qu’il jouissait encore de sa liberté, les six partis de la majorité (PJD, RNI, MP, UC, USFP et PPS) ont appelé les citoyens, dans un communiqué publié ce 19 juillet, à ne pas prendre y prendre part.
Présidée par Saâdeddine El Otmani, chef du gouvernement, une réunion des représentants des partis de la majorité tenue ce mardi 18 juillet « les citoyennes et les citoyens d’Al Hoceima à interagir favorablement à la décision de ne pas autoriser cette manifestation ».
L’appel à « instaurer un climat serein » au « respect des dispositions de la loi et de l’État de droit », invitant la population d’Al Hoceima à « éviter toute escalade », ne semble toutefois pas été entendu par les militants et sympathisants du Hirak. Un contre-appel du « Courant de libération démocratique » a diffusé pour sa part un communiqué appelant « à une participation massive », faisant référence dans son texte à la symbolique très forte de la bataille d’Anoual contre l’occupant espagnol durant le Protectorat, dont la célébration coïncide avec la date de la manifestation.
Par ailleurs, plusieurs critiques ont été émises via les réseaux sociaux à l’encontre de la coalition gouvernementale lui reprochant de n’avoir pas fait amende honorable après les accusations de séparatisme formulées contre le Hirak. La plupart ont jugé insuffisants les timides regrets de Saâdeddine El Otmani à ce sujet durant sa prestation télévisée simultanée sur Al Oula et 2M.
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