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WASHINGTON, 21 juillet (Xinhua) -- Vendredi, le secrétaire d'État américain, Rex Tillerson, a exhorté les quatre pays arabes à lever l'embargo terrestre contre le Qatar afin de tenir compte de la ''décision positive,'' prise par le petit État du Golfe, contre le terrorisme.
Le mois dernier, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, l'Égypte et Bahreïn ont rompu leurs liens diplomatiques avec leur voisin et lui ont imposé des sanctions, l'accusant de soutenir l'extrémisme et le terrorisme, des allégations que dément le Qatar.
L'incident a dégénéré et est devenu l'un des pires différends régionaux de ces dernières années.
La semaine dernière, M. Tillerson s'est rendu au Moyen-Orient. Pendant son voyage, dans un effort visant à apaiser les tensions qui règnent dans la région, il a signé une accord avec le Qatar sur la lutte contre le financement du terrorisme.
Les Qataris ont continué d'aller de l'avant et ont été ''très agressifs'' dans la mise en œuvre de l'accord, a dit M. Tillerson aux journalistes vendredi avant de rencontrer le ministre omanais des Affaires étrangères, Yusuf bin Alawi bin Abdullah, en visite à Washington.
Il a ajouté que le Qatar avait indiqué ''vouloir s'asseoir à la table des négociations avec les quatre pays et débattre avec eux de leurs exigences.''
Le mois dernier, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, l'Égypte et Bahreïn ont rompu leurs liens diplomatiques avec leur voisin et lui ont imposé des sanctions, l'accusant de soutenir l'extrémisme et le terrorisme, des allégations que dément le Qatar.
L'incident a dégénéré et est devenu l'un des pires différends régionaux de ces dernières années.
La semaine dernière, M. Tillerson s'est rendu au Moyen-Orient. Pendant son voyage, dans un effort visant à apaiser les tensions qui règnent dans la région, il a signé une accord avec le Qatar sur la lutte contre le financement du terrorisme.
Les Qataris ont continué d'aller de l'avant et ont été ''très agressifs'' dans la mise en œuvre de l'accord, a dit M. Tillerson aux journalistes vendredi avant de rencontrer le ministre omanais des Affaires étrangères, Yusuf bin Alawi bin Abdullah, en visite à Washington.
Il a ajouté que le Qatar avait indiqué ''vouloir s'asseoir à la table des négociations avec les quatre pays et débattre avec eux de leurs exigences.''