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La suppression des importations de certains produits en Algérie est en vogue. Le ministère du Commerce annonce à chaque fois une liste de produits qui sont désormais soumis aux licences d’importation. De la mayonnaise au ketchup en passant par le chocolat, les détergents, les produits cosmétiques et la vaisselle, la liste ne cesse pas de s’allonger de jour en jour.
Au temps où l’actuel Premier ministre Abdelmadjid Tebboune était ministre du Commerce par intérim, il s’était étonné que des produits qui pouvaient être produits en Algérie soient importés. En ce sens, l’imposition des licences d’importation, vise à protéger la production nationale et surtout rationnaliser les dépenses, notamment après la chute des prix de pétrole et la raréfaction des devises.
Toutefois, il est étonnant que des produits comme la bière et les boissons alcoolisées ne soient pas touchées par ces mesures d’austérité. Il faut préciser qu’il ne s’agit pas d’engager un débat religieux, mais force est de constater que les boissons alcoolisées et la bière produites localement sont de meilleure qualité.
Au temps de la France coloniale, l’Algérie fournissait des boissons alcoolisées à la «métropole» du fait de la bonne qualité du raisin local, ce qui explique en fait la plantation de plusieurs vignobles en Algérie.
Il est aussi étonnant que le chocolat soit touché par cette mesure d’interdiction d’importation, alors que le chocolat produit localement est d’une qualité médiocre pour ne pas dire douteuse, comparativement au chocolat importé.
Contactés par nos soins, les services du au ministère du Commerce ont éludé la question, précisant que la liste des produits à soumettre aux licences d’importation est établie après concertation de différents acteurs intervenant dans le domaine. On a laissé entendre que d’autres produits seront touché par cette mesure, sans donner d’explication sur les exemple des boissons alcoolisées et du chocolat.
Amir Hani
DIA
Au temps où l’actuel Premier ministre Abdelmadjid Tebboune était ministre du Commerce par intérim, il s’était étonné que des produits qui pouvaient être produits en Algérie soient importés. En ce sens, l’imposition des licences d’importation, vise à protéger la production nationale et surtout rationnaliser les dépenses, notamment après la chute des prix de pétrole et la raréfaction des devises.
Toutefois, il est étonnant que des produits comme la bière et les boissons alcoolisées ne soient pas touchées par ces mesures d’austérité. Il faut préciser qu’il ne s’agit pas d’engager un débat religieux, mais force est de constater que les boissons alcoolisées et la bière produites localement sont de meilleure qualité.
Au temps de la France coloniale, l’Algérie fournissait des boissons alcoolisées à la «métropole» du fait de la bonne qualité du raisin local, ce qui explique en fait la plantation de plusieurs vignobles en Algérie.
Il est aussi étonnant que le chocolat soit touché par cette mesure d’interdiction d’importation, alors que le chocolat produit localement est d’une qualité médiocre pour ne pas dire douteuse, comparativement au chocolat importé.
Contactés par nos soins, les services du au ministère du Commerce ont éludé la question, précisant que la liste des produits à soumettre aux licences d’importation est établie après concertation de différents acteurs intervenant dans le domaine. On a laissé entendre que d’autres produits seront touché par cette mesure, sans donner d’explication sur les exemple des boissons alcoolisées et du chocolat.
Amir Hani
DIA
Pourvu que le peuple trinque ! oeilfermé
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