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Kiosque360. Le taux de réussite est de 98,4% au bac international. Il dépasse largement les autres parcours. La sélection d’élèves bons en langues et sciences y est pour beaucoup.
Le succès du baccalauréat international est sans nul doute un exemple de réussite à dupliquer. Dans son édition du jour, L’Economiste s’interroge en effet sur la possibilité de généraliser la recette de ce parcours à tous les lycéens. Il faut dire que les résultats sont étonnants. «Le rendement de cette filière, introduite en 2013-2014, a été visible dès la première promotion sortie l’an dernier», avec un taux de réussite de près de 91% contre à peine 62% dans le bac normal. Le taux de réussite a grimpé à 98% en 2017, soit 7.938 bacheliers, contre 65,2% pour le bac marocain. La sélection des élèves de ce programme se fait sur leur niveau en français et en arabe, ainsi que dans les matières scientifiques. Ils sont acceptés à partir d’une note de 12/20.
Les lycéens peuvent s’orienter vers les filières scientifiques ou littéraires après le tronc commun. Le journal assure qu’ils étudient le même programme que les autres, à la seule différence de la langue d’enseignement (français, anglais et espagnol) et de l’enveloppe horaire qui leur est réservée. «L’enseignement de langues et en langue étrangère dans le parcours international est de 20 à 30 heures par semaine, contre 3 à 4 heures pour les autres».
A cela s’ajoute un module de communication et d’expression. Il y a donc un renforcement de l’apprentissage du français, de l’anglais ou de l’espagnol (en fonction de l’option sélectionnée). Même l’enseignement des matières scientifiques est effectué dans ces langues, note L’Economiste. Si le ministère voulait couvrir d’autres matières, comme la philosophie et l’histoire-géographie, il a dû reculer, faute d’enseignants bilingues spécialisés dans ces disciplines. Pour les professionnels de l’enseignement, le succès du bac international ne se réduit pas à la question de la langue d’enseignement. La sélection des élèves y est pour beaucoup également.
Ils sont aujourd’hui à peine un tiers des lycées publics du Maroc à proposer le parcours international, alors qu’ils sont 60% dans le privé (290 sur un total de 500).
L’Education nationale travaille, en parallèle, sur un programme de formation d’enseignants bilingues.
Le succès du baccalauréat international est sans nul doute un exemple de réussite à dupliquer. Dans son édition du jour, L’Economiste s’interroge en effet sur la possibilité de généraliser la recette de ce parcours à tous les lycéens. Il faut dire que les résultats sont étonnants. «Le rendement de cette filière, introduite en 2013-2014, a été visible dès la première promotion sortie l’an dernier», avec un taux de réussite de près de 91% contre à peine 62% dans le bac normal. Le taux de réussite a grimpé à 98% en 2017, soit 7.938 bacheliers, contre 65,2% pour le bac marocain. La sélection des élèves de ce programme se fait sur leur niveau en français et en arabe, ainsi que dans les matières scientifiques. Ils sont acceptés à partir d’une note de 12/20.
Les lycéens peuvent s’orienter vers les filières scientifiques ou littéraires après le tronc commun. Le journal assure qu’ils étudient le même programme que les autres, à la seule différence de la langue d’enseignement (français, anglais et espagnol) et de l’enveloppe horaire qui leur est réservée. «L’enseignement de langues et en langue étrangère dans le parcours international est de 20 à 30 heures par semaine, contre 3 à 4 heures pour les autres».
A cela s’ajoute un module de communication et d’expression. Il y a donc un renforcement de l’apprentissage du français, de l’anglais ou de l’espagnol (en fonction de l’option sélectionnée). Même l’enseignement des matières scientifiques est effectué dans ces langues, note L’Economiste. Si le ministère voulait couvrir d’autres matières, comme la philosophie et l’histoire-géographie, il a dû reculer, faute d’enseignants bilingues spécialisés dans ces disciplines. Pour les professionnels de l’enseignement, le succès du bac international ne se réduit pas à la question de la langue d’enseignement. La sélection des élèves y est pour beaucoup également.
Ils sont aujourd’hui à peine un tiers des lycées publics du Maroc à proposer le parcours international, alors qu’ils sont 60% dans le privé (290 sur un total de 500).
L’Education nationale travaille, en parallèle, sur un programme de formation d’enseignants bilingues.
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