Par khaled Bel - 24 juillet 2017
Les rédactions des journaux s’affolent sur un présumé enregistrement vocal révélant des discussions privée lors de la réunion UGTA-FCE à El Aurassi. Selon des sources se disant bien informées interrogées par Observ’Algérie, l’enregistrement existent bel et bien.
Les journalistes se pressent pour connaître le contenu de l’enregistrement qualifiées par des personnes prétendant l’ayant écouté d’«accablant» avec des passages «Très graves» à l’image de Mme Saïda Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) dans une déclaration à Liberté «Bien qu’absente, j’ai pris connaissance du contenu des discussions de l’hôtel El-Aurassi. Je sais tout ce qui s’est dit. Je dispose même d’un enregistrement de 35 minutes de cette réunion qui n’est autre qu’un appel à la sédition, au trouble à l’ordre public. Chacun des intervenants devra assumer ses propos !» a t-elle révélé après avoir indiqué opposer son niet à l’invitation de Sidi Said d’assister à ladite réunion.
En revanche, le journal électronique arabophone Sabqpress dit dans un article avoir eu accès à l’enregistrement d’un journaliste qui a pu enregistrer un appel avec une personne de l’intérieur de la salle où la réunion s’est déroulé, qui aurait décroché sans faire attention.
Ce même journal révèle des «menaces proférées contre le premier ministre Abdelmadjid Tebboune» en rapportant une phrase qui aurait été prononcée par Ali Hadda président du Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) « Monsieur Tebboune a à faire avec moi et je ne suis pas facile». Ledit journal électronique rapporte également les propos de Mouloud Kheloufi, président de l’Association générale des entrepreneurs algériens (Agea) qui aurait révélé que les entrepreneurs doivent 1500 milliards au gouvernement et peuvent les utiliser pour faire pression.
Le bras de fer entre l’exécutif et les hommes d’affaires ayant réussi une ascension fulgurante durant le règne de Abdelmalek Sellal, s’annonce long et promis des révélations fracassantes.
Les rédactions des journaux s’affolent sur un présumé enregistrement vocal révélant des discussions privée lors de la réunion UGTA-FCE à El Aurassi. Selon des sources se disant bien informées interrogées par Observ’Algérie, l’enregistrement existent bel et bien.
Les journalistes se pressent pour connaître le contenu de l’enregistrement qualifiées par des personnes prétendant l’ayant écouté d’«accablant» avec des passages «Très graves» à l’image de Mme Saïda Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) dans une déclaration à Liberté «Bien qu’absente, j’ai pris connaissance du contenu des discussions de l’hôtel El-Aurassi. Je sais tout ce qui s’est dit. Je dispose même d’un enregistrement de 35 minutes de cette réunion qui n’est autre qu’un appel à la sédition, au trouble à l’ordre public. Chacun des intervenants devra assumer ses propos !» a t-elle révélé après avoir indiqué opposer son niet à l’invitation de Sidi Said d’assister à ladite réunion.
En revanche, le journal électronique arabophone Sabqpress dit dans un article avoir eu accès à l’enregistrement d’un journaliste qui a pu enregistrer un appel avec une personne de l’intérieur de la salle où la réunion s’est déroulé, qui aurait décroché sans faire attention.
Ce même journal révèle des «menaces proférées contre le premier ministre Abdelmadjid Tebboune» en rapportant une phrase qui aurait été prononcée par Ali Hadda président du Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) « Monsieur Tebboune a à faire avec moi et je ne suis pas facile». Ledit journal électronique rapporte également les propos de Mouloud Kheloufi, président de l’Association générale des entrepreneurs algériens (Agea) qui aurait révélé que les entrepreneurs doivent 1500 milliards au gouvernement et peuvent les utiliser pour faire pression.
Le bras de fer entre l’exécutif et les hommes d’affaires ayant réussi une ascension fulgurante durant le règne de Abdelmalek Sellal, s’annonce long et promis des révélations fracassantes.
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