By Redaction
L’ancien ministre de l’Energie, Youcef Yousfi, aurait payé le prix de son opposition à Ali Haddad, Président du Forum des Chefs d’Entreprises,qui planifiaient de s’accaparer des projets de la Sonatrach, apprend-t-on de source digne de foi.
Ali Haddad comptait mettre la main sur les projets de la Sonatrach, comme il l’a bien fait avec les secteurs des transports et travaux publics.
Youcef Yousfi, contraint de céder son poste parce qu’il a osé dire à Haddad »Vous êtes le bienvenu à condition d’être plus concurrentiel, que les chinois , en matière de qualité et de coût », disait l’ancien ministre de l’Énergie à l’adresse du président du FCE.
Youcef Yousfi avait même organisé une rencontre avec le Patronat, pour évaluer le niveau d’expérience, la puissance financière, le management et l’évolution des entreprises privées algériennes, pour postuler à des projets soumissionnés par la Sonatrach, en particulier et dans le secteur des hydrocarbures en général.
L’exclusion des sociétés privées des projets, a été interprété par Ali Haddad comme une humiliation, et qui espérait bénéficiait des mêmes privilèges accordés à son groupe dans les secteurs des transports et travaux publics, où il confiait la réalisation des projets à des entreprises sous-traitantes, après l’octroi des soumissions.
Ali Haddad espérait bénéficier des projets à travers la formule gré à gré, pour les confier ensuite à des entreprises sous-traitantes, venues des USA, où de l’Europe, en contrepartie de milliards qui iront renflouer ses comptes bancaires.
Bénéficiant de la bénédiction et du soutien de l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, Ali Haddad entame dès 2015, son plan, en lançant des appels répétitifs aux pouvoirs publics, pour ouvrir le champ aux entreprises algériennes privées, pour intégrer la Sonatrach, en leur attribuant des projets, où sous forme de partenariat appelé Partenariat-Privé-Public PPP.
Pour rappel, Youcef Yousfi, n’est pas le seul à faire les frais de la gourmandise d’Ali Haddad, puisque l’ancien PDG de la Sonatrach, Abdelhamid Zerguine a été contraint de quitter son poste pour être remplacé par Said Sahnoun, limogé ensuite.
Par ailleurs, il faut noter, qu’aucune valeur ajoutée n’a vu le jour pour ce partenariat Privé-Partenariat, ni sur le management, ni sur le gain financier pour le Trésor Public, ni sur le transfert de la technologie, au contraire, on a assisté à des mises à mort programmée de certaines entreprises publiques et de dilapidation d’assiettes de terrain, sous le prétexte de l’investissement économique
L’ancien ministre de l’Energie, Youcef Yousfi, aurait payé le prix de son opposition à Ali Haddad, Président du Forum des Chefs d’Entreprises,qui planifiaient de s’accaparer des projets de la Sonatrach, apprend-t-on de source digne de foi.
Ali Haddad comptait mettre la main sur les projets de la Sonatrach, comme il l’a bien fait avec les secteurs des transports et travaux publics.
Youcef Yousfi, contraint de céder son poste parce qu’il a osé dire à Haddad »Vous êtes le bienvenu à condition d’être plus concurrentiel, que les chinois , en matière de qualité et de coût », disait l’ancien ministre de l’Énergie à l’adresse du président du FCE.
Youcef Yousfi avait même organisé une rencontre avec le Patronat, pour évaluer le niveau d’expérience, la puissance financière, le management et l’évolution des entreprises privées algériennes, pour postuler à des projets soumissionnés par la Sonatrach, en particulier et dans le secteur des hydrocarbures en général.
L’exclusion des sociétés privées des projets, a été interprété par Ali Haddad comme une humiliation, et qui espérait bénéficiait des mêmes privilèges accordés à son groupe dans les secteurs des transports et travaux publics, où il confiait la réalisation des projets à des entreprises sous-traitantes, après l’octroi des soumissions.
Ali Haddad espérait bénéficier des projets à travers la formule gré à gré, pour les confier ensuite à des entreprises sous-traitantes, venues des USA, où de l’Europe, en contrepartie de milliards qui iront renflouer ses comptes bancaires.
Bénéficiant de la bénédiction et du soutien de l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, Ali Haddad entame dès 2015, son plan, en lançant des appels répétitifs aux pouvoirs publics, pour ouvrir le champ aux entreprises algériennes privées, pour intégrer la Sonatrach, en leur attribuant des projets, où sous forme de partenariat appelé Partenariat-Privé-Public PPP.
Pour rappel, Youcef Yousfi, n’est pas le seul à faire les frais de la gourmandise d’Ali Haddad, puisque l’ancien PDG de la Sonatrach, Abdelhamid Zerguine a été contraint de quitter son poste pour être remplacé par Said Sahnoun, limogé ensuite.
Par ailleurs, il faut noter, qu’aucune valeur ajoutée n’a vu le jour pour ce partenariat Privé-Partenariat, ni sur le management, ni sur le gain financier pour le Trésor Public, ni sur le transfert de la technologie, au contraire, on a assisté à des mises à mort programmée de certaines entreprises publiques et de dilapidation d’assiettes de terrain, sous le prétexte de l’investissement économique
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