Par khaled Bel - 27 juillet 2017
La répression de la marche pacifique et l’interdiction des conférences à Aokas n’a pas laissé l’intellectuel et auteur Kamel Daoud indifférent. En effet, le lauréat du Goncourt du premier roman pour son livre « Meursault, contre enquête », promet de se rendre à Aokas dès son retour au pays.
Kamel Daoud veut soutenir les aokassiens dans leur combat pour la liberté d’expression «Je viens Aokas dès que je rentre au pays. S’y joue notre avenir de dire, écrire et parler. Cet été.» a t-il écrit sur son compte facebook.
Kamel Daoud fait le parallèle en s’interrogeant entre le «pardon accordé aux tueurs par la république algérienne» et les interdictions de conférences «Cette république pardonne aux tueurs. Pourquoi alors interdire à ceux qui écrivent ?» avant de rendre hommage à la région qui l’a soutenu « Aokas à soutenu ma liberté. J’y soutiens la sienne. Je suis algérien et libre et je le partage.» a écrit l’écrivain connu pour ses chroniques libérales et anti-islamiste.
Pour rappel, de violents heurts ont éclaté le 22 juillet entre la police et des citoyens à Aokas (wilaya de Béjaïa), lors d’une manifestation organisée pour dénoncer l’interdiction d’une conférence dans cette ville.
La répression de la marche pacifique et l’interdiction des conférences à Aokas n’a pas laissé l’intellectuel et auteur Kamel Daoud indifférent. En effet, le lauréat du Goncourt du premier roman pour son livre « Meursault, contre enquête », promet de se rendre à Aokas dès son retour au pays.
Kamel Daoud veut soutenir les aokassiens dans leur combat pour la liberté d’expression «Je viens Aokas dès que je rentre au pays. S’y joue notre avenir de dire, écrire et parler. Cet été.» a t-il écrit sur son compte facebook.
Kamel Daoud fait le parallèle en s’interrogeant entre le «pardon accordé aux tueurs par la république algérienne» et les interdictions de conférences «Cette république pardonne aux tueurs. Pourquoi alors interdire à ceux qui écrivent ?» avant de rendre hommage à la région qui l’a soutenu « Aokas à soutenu ma liberté. J’y soutiens la sienne. Je suis algérien et libre et je le partage.» a écrit l’écrivain connu pour ses chroniques libérales et anti-islamiste.
Pour rappel, de violents heurts ont éclaté le 22 juillet entre la police et des citoyens à Aokas (wilaya de Béjaïa), lors d’une manifestation organisée pour dénoncer l’interdiction d’une conférence dans cette ville.
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