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Sur autorisation de l'Auteur , voici quelques extraits de son nouvel essai , "Fragments de Berbérologie détournée" à paraître prochainement...
Dans son avant-propos il écrit : "Ce livre ne s'en prend à aucune entité humaine, il est gentil, bon enfant, un tantinet plaisant, quelquefois contradictoire, et même un peu trivial sur les halls. D'une flânerie à l'autre, sa verve peut aussi bien faire preuve d'une solennelle superbe, que de ramper dans la fange. Mais jamais il ne cautionne ne serait-ce par pure plaisanterie, les "idées toxiques" de ceux qui s'y hasardent à altérer une culture pour se confectionner une vicieuse idéologie politique.
La culture Amazigh aussi ancienne que le brouillon de la bible, n'est pas d'essence à être mise comme un boulet à l’intérieur d'un canon...
Cette réflexion si je puis dis, se limite donc à une position , contre des concepts qui peuvent s'avérer porteurs de désolation, comme il se trouva hier avec cet islamisme politique et meurtrier, qui s'abattit sur notre pays comme les dix plaies de l'Egypte, à peine qu'il eût atteint son stade d'incubation.
C'est de ça qu'il s'agit, et uniquement de ça...de la tête au talon et de bas en haut.
(....)
Début du chapitre I ... " Le fait que Nana Feroudja m'ait juste un peu coloré à l’intérieur "des traits" a failli me coûter un bras et une bonne moitié de l'autre. Cette plantureuse présence qu'on dirait frappée de tous les vices du langage, n'aurait pas du m'exhorter à m'aventurer sans assistance dans les abysses d'une Berbérologie détournée, dont la maçonnerie se convient à un désordonné de principauté kabyle, où les charmeurs de serpents de L'arbaa Nath Irathéne etaient deja fonctionnaires de l'état, les sorciers de Béni Zmenzer en uniformes officielles et les Marabouts de Djemaa Saharidj inspirés au marxisme-léninisme"
(....)
Aussi singulièrement encore, il se trouva que ma "Kabilitude" alias Nana Feroudja, à connu culturellement pareilles mésaventures avec d'autres composantes "s'ambitionnant" de quelques ténébreuses corrélations culturelles berbères. Une espèce de Calvinisme équivalent à une forme encore inexploitée de "chiisme berbèriste", exotique à lui même, et qui repousse de surcroît toute notion d'interculturalité.
De la graisse de volaille pour dames frivoles comme dit l'autre...
Que ce soit de Tata Louiza la patronne du FLN, de Lala Aicha la cheftaine des islamistes, ou Nana Feroudja notre Égérie Amazigh, il est difficile de leur trouver des périodes d'éclats et de splendeur, qui ne fussent suivis par de lamentables et poignants lendemains.
Revenons succinctement, sur la légende Africaine de Soumangourou et ses trois mères biologiques, et voyons si on peut s'admettre dedans... Nous Algériens...Qui nous a fécondé, qui nous a porté, et qui nous mis au monde ? Bien entendu dans cette histoire il y'a au moins deux Uterus de trop , et ça fait beaucoup ! La résultante risque donc de susciter l'embarras d'une équation à trois inconnues, au beau milieu de notre génétique trinitaire dans quoi se dressent en angles aigus aussi pointus que des "fleurets" d'assassins ce que l'on va appeler simplement sans trop creuser... le chromosome de l'amazighité, le chromosome de l'islamité, et celui de notre troisième concubine l'Arabité.
Quand on aime on ne compte pas ! à dit un charmant Cheikh polygame...
Cependant, ne "refermons" nous pas d'autres quotients "chromosomiques" acquis en dehors de ces trois champs normatifs et qu'en toutes vraisemblances, ils seraient quatre ou cinq fois plus nombreux que ceux identifiés ?
A croire certaines études ethnologiques, qui n'ont pas vocations à rabâcher des salades, la race arabo-berbère est un panachage de plusieurs ethnies...
Au bout de 243 pages...Le livre fini par...
" Pour conclure, je dirai Oui ! constitutionnellement Oui ! Sur la "ramette" la langue Amazigh est devenue nationale, officielle, et même accoucheuse Honoris Causa si vous y tenez ! Et après ? A l'évidence des choses, on lui a seulement "greffé" des ailes plus grandes que son nid, pour adoucir quelques passions enrobées de niaiseries, afin de mieux poser les futures empoignes du chemin.
N'est ce pas en lui concédant ce recouvrement de liberté, d'élévation et de "Canonisation" constitutionnelle qu'on l'a introduite dans une forme de domestication et de servitude déguisée en attendant que son turbulent Génie s y déplaise comme un rat mort et retourne tout seul dans sa carafe ?
Même si plusieurs constitutions ont été "façonnées" c'est strictement pour mieux aliéner et "combler" des anfractuosités conjoncturelles. Autrement, le pays a toujours fonctionné selon la première constitution de septembre 1963, de laquelle tout est maintenu, avec seulement un ou deux crans plus bas.
Même la sacra-sainte constitution de Boumédiene n''a rien "vendue" elle a seulement flotté à la dérive comme son cercueil sur la vague immense des épaules de la garde républicaine.
Par conséquent, on a donné nationalité et officialité pour la langue Amazigh, comme hier sous des pouvoirs blancs on a donné aux noirs des droits électoraux... Ils votent ? Oui ! Opprimés ils peuvent se plaindre ? Oui, Oui, Oui !! Mais jamais ils n'ont vu un noir comme eux parmi les juges !
Comme chez les Derviches tourneurs, tout n'est que projection de musiques et de mouvements dans la tourbillonnante ivresse des corps et des sens. Oua Allah u A3lam..." (Auteur Youcef Ait Ali)
Salutations aux amis...Si
tayeb
Dans son avant-propos il écrit : "Ce livre ne s'en prend à aucune entité humaine, il est gentil, bon enfant, un tantinet plaisant, quelquefois contradictoire, et même un peu trivial sur les halls. D'une flânerie à l'autre, sa verve peut aussi bien faire preuve d'une solennelle superbe, que de ramper dans la fange. Mais jamais il ne cautionne ne serait-ce par pure plaisanterie, les "idées toxiques" de ceux qui s'y hasardent à altérer une culture pour se confectionner une vicieuse idéologie politique.
La culture Amazigh aussi ancienne que le brouillon de la bible, n'est pas d'essence à être mise comme un boulet à l’intérieur d'un canon...
Cette réflexion si je puis dis, se limite donc à une position , contre des concepts qui peuvent s'avérer porteurs de désolation, comme il se trouva hier avec cet islamisme politique et meurtrier, qui s'abattit sur notre pays comme les dix plaies de l'Egypte, à peine qu'il eût atteint son stade d'incubation.
C'est de ça qu'il s'agit, et uniquement de ça...de la tête au talon et de bas en haut.
(....)
Début du chapitre I ... " Le fait que Nana Feroudja m'ait juste un peu coloré à l’intérieur "des traits" a failli me coûter un bras et une bonne moitié de l'autre. Cette plantureuse présence qu'on dirait frappée de tous les vices du langage, n'aurait pas du m'exhorter à m'aventurer sans assistance dans les abysses d'une Berbérologie détournée, dont la maçonnerie se convient à un désordonné de principauté kabyle, où les charmeurs de serpents de L'arbaa Nath Irathéne etaient deja fonctionnaires de l'état, les sorciers de Béni Zmenzer en uniformes officielles et les Marabouts de Djemaa Saharidj inspirés au marxisme-léninisme"
(....)
Aussi singulièrement encore, il se trouva que ma "Kabilitude" alias Nana Feroudja, à connu culturellement pareilles mésaventures avec d'autres composantes "s'ambitionnant" de quelques ténébreuses corrélations culturelles berbères. Une espèce de Calvinisme équivalent à une forme encore inexploitée de "chiisme berbèriste", exotique à lui même, et qui repousse de surcroît toute notion d'interculturalité.
De la graisse de volaille pour dames frivoles comme dit l'autre...
Que ce soit de Tata Louiza la patronne du FLN, de Lala Aicha la cheftaine des islamistes, ou Nana Feroudja notre Égérie Amazigh, il est difficile de leur trouver des périodes d'éclats et de splendeur, qui ne fussent suivis par de lamentables et poignants lendemains.
Revenons succinctement, sur la légende Africaine de Soumangourou et ses trois mères biologiques, et voyons si on peut s'admettre dedans... Nous Algériens...Qui nous a fécondé, qui nous a porté, et qui nous mis au monde ? Bien entendu dans cette histoire il y'a au moins deux Uterus de trop , et ça fait beaucoup ! La résultante risque donc de susciter l'embarras d'une équation à trois inconnues, au beau milieu de notre génétique trinitaire dans quoi se dressent en angles aigus aussi pointus que des "fleurets" d'assassins ce que l'on va appeler simplement sans trop creuser... le chromosome de l'amazighité, le chromosome de l'islamité, et celui de notre troisième concubine l'Arabité.
Quand on aime on ne compte pas ! à dit un charmant Cheikh polygame...
Cependant, ne "refermons" nous pas d'autres quotients "chromosomiques" acquis en dehors de ces trois champs normatifs et qu'en toutes vraisemblances, ils seraient quatre ou cinq fois plus nombreux que ceux identifiés ?
A croire certaines études ethnologiques, qui n'ont pas vocations à rabâcher des salades, la race arabo-berbère est un panachage de plusieurs ethnies...
Au bout de 243 pages...Le livre fini par...
" Pour conclure, je dirai Oui ! constitutionnellement Oui ! Sur la "ramette" la langue Amazigh est devenue nationale, officielle, et même accoucheuse Honoris Causa si vous y tenez ! Et après ? A l'évidence des choses, on lui a seulement "greffé" des ailes plus grandes que son nid, pour adoucir quelques passions enrobées de niaiseries, afin de mieux poser les futures empoignes du chemin.
N'est ce pas en lui concédant ce recouvrement de liberté, d'élévation et de "Canonisation" constitutionnelle qu'on l'a introduite dans une forme de domestication et de servitude déguisée en attendant que son turbulent Génie s y déplaise comme un rat mort et retourne tout seul dans sa carafe ?
Même si plusieurs constitutions ont été "façonnées" c'est strictement pour mieux aliéner et "combler" des anfractuosités conjoncturelles. Autrement, le pays a toujours fonctionné selon la première constitution de septembre 1963, de laquelle tout est maintenu, avec seulement un ou deux crans plus bas.
Même la sacra-sainte constitution de Boumédiene n''a rien "vendue" elle a seulement flotté à la dérive comme son cercueil sur la vague immense des épaules de la garde républicaine.
Par conséquent, on a donné nationalité et officialité pour la langue Amazigh, comme hier sous des pouvoirs blancs on a donné aux noirs des droits électoraux... Ils votent ? Oui ! Opprimés ils peuvent se plaindre ? Oui, Oui, Oui !! Mais jamais ils n'ont vu un noir comme eux parmi les juges !
Comme chez les Derviches tourneurs, tout n'est que projection de musiques et de mouvements dans la tourbillonnante ivresse des corps et des sens. Oua Allah u A3lam..." (Auteur Youcef Ait Ali)
Salutations aux amis...Si
tayeb