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L ISLAMISTE Aribi-JOYEUX A LA MORT DU CHAHID REDA MALEK

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  • L ISLAMISTE Aribi-JOYEUX A LA MORT DU CHAHID REDA MALEK

    Jusqu'où peut aller Aribi pour atteindre son but ? New Press
    Par R. Mahmoudi – Le trublion député Hassan Aribi veut surclasser tous les prédicateurs de la haine, d’Ali Benhadj à Al-Qaradawi, en passant par le pseudo-imam Hamadache, en enchaînant les écrits – souvent écrits dans un arabe médiocre –, jetant l’opprobre sur tous ceux qui, à un moment ou un autre de l’histoire, ont fait barrage au projet islamiste. C’est devenu une marque de fabrique chez cet illuminé qui dit avoir été l’«ami», voire un des «confidents» du général Toufik.

    Son sentiment d’impunité (qu’il doit confondre avec l’immunité que lui confère le Parlement) est sans limite. Ses cibles préférées : le président égyptien Abdelfattah Al-Sissi qu’il a traité de «dangereux terroriste» et de «chien de Tel-Aviv», certains généraux algériens, certains ministres, comme Nouria Benghebrit avec qui il a dépassé toutes les bornes…

    Sa dernière saillie en date est réservée à Redha Malek pour dire, dans un texte où le cynisme le dispute à la vilenie, toute la joie qu’il a ressentie à l’annonce de sa mort. Bien évidemment, le choix de cette cible n’est pas fortuit. Redha Malek reste dans la mémoire collective l’homme qui a dit un jour, en désignant les islamistes du FIS : «La peur doit changer de camp.» Il cherche à tout prix à apparaître comme celui qui sait porter le plus haut, donc forcément le plus bas, la parole islamiste radicale en Algérie. C’est plus qu’un partage de rôle avec ses coéquipiers du FJD ou du MSP qui, eux, prêchent la modération et «l’islam du juste milieu» dans les discours destinés à la consommation domestique ou dans les forums internationaux.

    Et c’est plus que l’expression d’une haine irraisonnée. Il veut se distinguer pour être reconnu par les décideurs comme le meilleur représentant de l’islamisme politique radical dans les institutions et, par conséquent, le mieux indiqué pour juguler virtuellement ce péril, dans l’espoir d’être nommé un jour, pourquoi pas, à un poste de ministre au nom de son parti ou de cette alliance hybride assoiffée de pouvoir dont il est membre. A la moindre brèche révisionniste, il peut passer !

    R. M.
    Dernière modification par nacer-eddine06, 31 juillet 2017, 01h08.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Pourquoi ce khmer barbus de l'islamitude ne retourne pas dans son ghetto dogmatique au lieu de se satisfaire du décès d'un grand homme auquel il n'arrive pas à la cheville même en montant sur des échasses ?
    Après l'ignorance fondamentale de la pensée unique, nous voila en proie à la pensée définitive des suppôts de l'ignorance sacrée ( Al djah'l al moukadass)

    Mouloud Mammeri a écrit , " Il vaut mieux faire la guerre aux vandales(de la libre pensé) qu'en être un"

    Salam...
    Dernière modification par tayeb el Ouatani, 31 juillet 2017, 01h36.
    "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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    • #3


      Des photos prises dimanche 30 juillet lors de l'enterrement de Réda Malek, décédé la veille, montrant Said Bouteflika et Ali Haddad en train de rire, ont provoqué l'indignation des utilisateurs des réseaux sociaux qui ont qualifié l'attitude des deux personnalités d"indigne".


      Le frère du président Abdelaziz Bouteflika et conseiller spécial à la présidence est apparu aux côtés de l'homme d'affaires Ali Haddad lors des funérailles de l'ancien chef du gouvernement Réda Malek à Alger. Des photos montrent les deux personnages, en plus du patron de l'UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd, en train de se donner à des éclats de rire. D'autres responsables politiques présents à l'enterrement, comme le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune ou le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, affichaient des mines pus sérieuses.


      De nombreux Algériens sur les réseaux sociaux ont réagi aux photos, qualifiant l'attitude de Said Bouteflika et d'Ali Haddad d'"inappropriée" à un enterrement, d'autant plus qu'il s'agit de celui d'une personnalité nationale.


      le huffpost algérie
      La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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      • #4
        ces deux là sont aussi des ... islamistes?
        La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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        • #5
          Jusqu'où peut aller Aribi pour atteindre son but ? New Press
          Par R. Mahmoudi – Le trublion député Hassan Aribi veut surclasser tous les prédicateurs de la haine, d’Ali Benhadj à Al-Qaradawi, en passant par le pseudo-imam Hamadache, en enchaînant les écrits – souvent écrits dans un arabe médiocre –, jetant l’opprobre sur tous ceux qui, à un moment ou un autre de l’histoire, ont fait barrage au projet islamiste. C’est devenu une marque de fabrique chez cet illuminé qui dit avoir été l’«ami», voire un des «confidents» du général Toufik.

          Son sentiment d’impunité (qu’il doit confondre avec l’immunité que lui confère le Parlement) est sans limite. Ses cibles préférées : le président égyptien Abdelfattah Al-Sissi qu’il a traité de «dangereux terroriste» et de «chien de Tel-Aviv», certains généraux algériens, certains ministres, comme Nouria Benghebrit avec qui il a dépassé toutes les bornes…

          Sa dernière saillie en date est réservée à Redha Malek pour dire, dans un texte où le cynisme le dispute à la vilenie, toute la joie qu’il a ressentie à l’annonce de sa mort. Bien évidemment, le choix de cette cible n’est pas fortuit. Redha Malek reste dans la mémoire collective l’homme qui a dit un jour, en désignant les islamistes du FIS : «La peur doit changer de camp.» Il cherche à tout prix à apparaître comme celui qui sait porter le plus haut, donc forcément le plus bas, la parole islamiste radicale en Algérie. C’est plus qu’un partage de rôle avec ses coéquipiers du FJD ou du MSP qui, eux, prêchent la modération et «l’islam du juste milieu» dans les discours destinés à la consommation domestique ou dans les forums internationaux.

          Et c’est plus que l’expression d’une haine irraisonnée. Il veut se distinguer pour être reconnu par les décideurs comme le meilleur représentant de l’islamisme politique radical dans les institutions et, par conséquent, le mieux indiqué pour juguler virtuellement ce péril, dans l’espoir d’être nommé un jour, pourquoi pas, à un poste de ministre au nom de son parti ou de cette alliance hybride assoiffée de pouvoir dont il est membre. A la moindre brèche révisionniste, il peut passer !




          ces deux là sont aussi des ... islamistes?

          on s en fiche
          on parle de gens qui ont achete un laser a 5 da
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            Pour ma part je suis attristé parce que je n'ai pas vu ce criminel Radha Malek enchaîné dans les prisons de la justice algerienne pour le mal qu'il a fait à ce pays et aux âmes tombées après sa déclaration "Il faut que la peur change de camp" . Dans sa ville natale, on s'est réveillé le lendemain pour découvrir des cadavres jetés presque partout dans les rues de la ville pour terroriser le peuple. Ses victimes étaient tous des incarcéré s qu'on a fait sortir des cellules et abbatus froidement, alors qu'il était premier ministre.
            Aucune enquête n'a été ouverte sur ce crime,et la presse des mercenaires n'en a jamais parlé.
            Allah yerham les victimes de ce Halek.
            Dernière modification par Maximo, 31 juillet 2017, 08h09.

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            • #7
              il n’était pas vivant pour qu'il meurt
              L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
              Albert Einstein

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              • #8
                Pour ma part je suis attristé parce que je n'ai pas vu ce criminel Radha Malek enchaîné dans les prisons de la justice algerienne pour le mal qu'il a fait à ce pays et aux âmes tombées après sa déclaration "Il faut que la peur change de camp" .*
                il faudrait par honnetete contextualiser cette declaration et se rememorer cette epoque trouble ou la violence s'est dechainee des deux cotes et le peuple au milieu en a paye le prix.
                car c'etait aussi la periode ou les attentats a la bombe se multipliaient dans les villes ,les flics se faisaient tues dans le dos, les gendarmes et l'armee tombeaient dans des embuscades sanglantes,et globalement tout ce qui de loin ou de pres etait fonctionnaire etait une cible de choix de groupes se reclamant du FIS.
                n'importe quel responsable et homme de gouvernement serieux ne peut laisser cette situation perdurer ,meme le calife baghdadi aurait pris des mesures severes et dieu seul sait de ce qu'il est capable de faire, ceci dit les methodes des services contre insurrectionnels et anti subversives de l'armee algerienne bien que souvent hors du cadre juridique et moral ne dependaient pas du chef du gouvernement mais de l'etat major de l'armee.
                bref ,une periode ou la barbarie s'etait installee dans ce pays et ou les responsabilites sont bien plus partagees que ce que tu semble croire..
                Dernière modification par xenon, 31 juillet 2017, 17h11.
                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                Commentaire


                • #9
                  Oui la peur était dans le camp des putschistes par peur que leur besogne se renverse contre eux. Apres ils l'ont transmis au citoyen lambda. Les massacres contre les civil-es ont commencé après sa déclaration. C'est un fort indice que c'est dans un plan preparé.

                  Commentaire


                  • #10
                    le citoyen lambda avait autant peur des unites speciales de l'armee que des groupes islamistes.
                    bref ,Ait ahmed allah yarahmou avait conseille les chefs du FIS de ne pas aller dans cette voie mais ces derniers -pas tous-voulaient trop le pouvoir (comme les generaux)pour l'ecouter.
                    des gens comme boukhamkham ,hachani..etc allah yarhamhoum ont tout fait pour calmer la situation mais ils ons ete debordes par les plus extremistes de ce parti reactionnaire.
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                    Commentaire


                    • #11
                      ceci dit les methodes des services contre insurrectionnels et anti subversives de l'armee algerienne bien que souvent hors du cadre juridique et moral ne dependaient pas du chef du gouvernement mais de l'etat major de l'armee.

                      autant que premier ministre il est le seul responsable si le bureau exécutif etait entre les mains de la juntes,il n'aurait jamais du accepté ce poste et ce faire passé pour un bouc émissaire,l'histoire ne pardon pas lorsqu'elle s'évoque elle retrace la période de ridha malek comme premier ministre et non de khaled nézar qui a trés bien su jouée son role derrière les rideaux
                      L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                      Albert Einstein

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                      • #12
                        Pfff c'est quo cette khalouta? les chefs du parti était tous en prison a ce temps la. Avec qui Ait Ahmed avait discuté?Hachani incarcéré en Janvier 92, Abbassi et Belhadj en Juin 91. C'est normal , ils ont laissé les fous dehors enragés de colère. C’était sans doute prévu que la situation explose.
                        Redha Malek était venu par la suite, chassé par Zerouel en personne qui le détestait ( qui sait pourquoi ?). Il l'a empêché de participer aux élections 95 sans lui expliquer le motif.

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                        • #13
                          Xenon

                          une periode ou la barbarie s'etait installee dans ce pays et ou les responsabilites sont bien plus partagees que ce que tu semble croire..
                          Je salue ton non parti pris , on voit rarement ca chez ceux qui partagent plus ou moins les memes idees que les tienne .

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                          • #14
                            Allah yar7mou...
                            A l'instar de tous les hommes de pouvoir d'Algérie, ils ont tous été exceptionnels lors de la guerre de libération et nous leur devons tous beaucoup.
                            Redha Malek, l'homme des accords d'Évian était un géant parmi les géants algériens.

                            Malheureusement, personne ( ou presque) parmi eux n'a tenu ses promesses une fois l'Algérie indépendante.
                            Le pouvoir les a tous corrompu.

                            Perso, j'étais d'accord avec la dissolution du FIS et l'annulation des élections.
                            J'étais même contre l'accréditation de ce type de parti.

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                            • #15
                              c'est une manie ou plutot une ruse de nous renvoyé 60 ans en arrière a chaque fois que l'on stigmatise une personne ayant une grande responsabilité dans le ko qui a frappé l'algerie.meme si l'on veut se servir de la logique pour estimé une personne, le valorisé ou le dévalorisé,il ce fait juste de ce posé la question il a passé combien de temps dans la lutte de libération? 5? 6? 7ans? ce dépasse pas les 7ans combien a t'il passé de temps au pouvoir dans un pays libre et indépendant ? plus de 50ans !!! est'il concevable de gardé le meme jugement retenu sur une personne d'aprés ce qu'il a fait dans une periode de 7ans il y'a de cela plus de cinquante ans et interdire de le rejugé sur une période qu'il a vécu au sein de pouvoir indépendant une bonne cinquantaine d' année d'indépendance ?!!!!
                              L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                              Albert Einstein

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