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Algérie- Le ministère du Commerce ouvre une enquête sur les prix et la disponibilité des véhicules assemblés locale

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  • Algérie- Le ministère du Commerce ouvre une enquête sur les prix et la disponibilité des véhicules assemblés locale

    L’objectif de cette enquête est d’élucider les raisons qui font que les prix des véhicules assemblés localement sont excessivement élevés.

    Le ministère du commerce a instruit les services de la direction générale des contrôles (DGC) d’ouvrir une enquête sur les prix des véhicules appliqués par les trois unités d’assemblage de voitures, à savoir : Renault Algérie, TMC (Hyundai) et Sovac (Volkswagen, Seat et Skoda).

    La DGC a entamé les travaux de cette enquête ce dimanche, selon communiqué du ministère Commerce. L’enquête concernera aussi l’indisponibilité des véhicules au niveau des showrooms, alors que ces véhicules se vendent sur internet et sur les « trottoirs ».

    L’objectif de cette enquête, selon les services du ministère, est de réduire les prix des véhicules stockés dans les parcs des trois marques et les mettre sur le marché. Cette mesure prise les le ministre, Ahmed Saci, est intervenue au moment où les concessionnaires automobiles attendent la distribution des quotas d’importation, qui peut-être ne verra pas le jour jusqu’à la fin de l’année en cours.

    Pour rappel, le gouvernement est en train de préparer un nouveau cahier des charges qui concernera l’assemblage et le montage de véhicules en Algérie. Un groupe d'experts au niveau du ministère de l'industrie se charge de sa préparation et il sera publié durant les jours à venir.



    maghrebemergent
    "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
    Johann Wolfgang von Goethe

  • #2
    le gouvernement est en train de préparer un nouveau cahier des charges qui concernera l’assemblage et le montage de véhicules en Algérie.
    Ceux qui ont ouvert des usines selon l'ancien cahier de charges et qui ne pourront pas se conformer au nouveau, vont-ils mettre la clé sous la porte ?
    Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

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    • #3
      Envoyé par Peace and love
      Ceux qui ont ouvert des usines selon l'ancien cahier de charges et qui ne pourront pas se conformer au nouveau, vont-ils mettre la clé sous la porte ?
      Non puisque le cahier des charges indique que les unités de montage des véhicules devront respecter un taux d’intégration de 15% sous 3 ans et 50% sous 5 ans à compter de la mise en production. Donc a partir du début de la production pour

      - Volkswagen depuis.......27.07.2017 = (4 jours)
      - Hyundai depuis..........30.10.2016 = (8 mois)
      - Renault depuis..........10.11.2014 = (2 ans et 8 mois)

      Sur le délai /taux d’intégration il n'y aura pas de changement ds le nouveau cahier des charges

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      • #4
        devront respecter un taux d’intégration de 15% sous 3 ans et 50% sous 5 ans
        comment calcule t-on le taux d'intégration en algérie amokrane?

        la grande supercherie


        Les articles comportent des généralités, d’autres sont flous. Par exemple, l’article 9, qui définit le taux d’intégration et la méthode de son calcul. « Par taux d’intégration, il y a lieu d’entendre, au sens du présent cahier des charges, l’atteinte d’un taux minimum des activités réalisées en Algérie concourant à la production du produit final, soit en usine ou par la sous-traitance locale », énonce l’article 9 du cahier des charges. Ce taux d’intégration est la somme des coûts locaux (CL) et de la valeur des achats locaux (AL) divisé par la somme des coûts locaux (CL), des achats locaux (AL) et de la valeur des achats à l’importation (AI).





        « Les achats locaux sont comptabilisés en tant qu’intégration locale et concernent les matières, les pièces de première monte, les composants fabriqués localement y compris ceux issus de la sous-traitance locale, la logistique et les prestations locales achetées”, détaille le même article.

        Cet article ouvre la voix à toutes les interprétations de la part des constructeurs. Les achats et les coûts « locaux » sont en effet des notions vagues qui peuvent inclure des prestations comme le gardiennage, le transport, la conciergerie, la restauration des employés, etc.

        Du coup, la définition du taux d’intégration, très vague, peut prêter à différentes interprétations, ce qui pourrait conduire à des conflits entre les constructeurs et les autorités. Mais cette disposition arrange surtout les constructeurs qui peuvent prétendre avoir atteint un taux élevé d’intégration en jouant sur les coûts locaux et des achats locaux, qui ne sont pas liés directement à la fabrication des pièces destinées à la voiture.

        Renault Algérie a annoncé un taux d’intégration de 30% en novembre. En mars dernier, Bouchouareb évoquait un taux d’intégration de 20% pour l’usine d’Oran du constructeur. Des chiffres que ne semble valider le nouveau ministre de l’Industrie Bedda Mahdjoub.

        Pour les objectifs à atteindre, le cahier des charge se contente du strict minimum : l’article 10 donne aux fabricants un délai de trois ans pour atteindre un taux d’intégration de 15% et cinq ans pour atteindre 40%. Des chiffres qui semblent avoir été choisis de manière totalement arbitraire, sans aucune prise en compte de la réalité de la situation de l’industrie en Algérie.

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        • #5
          Des chiffres qui semblent avoir été choisis de manière totalement arbitraire, sans aucune prise en compte de la réalité de la situation de l’industrie en Algérie.

          ben penser que des vendeurs de voitures vont devenir des fabricants ou des industriels est juste idiot...

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          • #6
            L'industrie automobile en Algérie est encore balbutiante. Il est donc normal qu'il y ait tous ces couacs, d'autant que le précédent ministre du secteur était loin d'avoir les compétences pour initier ce genre de projets. Ce qui ne veut pas dire qu'il faille cautionner ces prix aberrants !

            Ceci dit, je ne vois pas perso l'utilité pour notre pays de se lancer dans cette industrie maintenant, avec un marché régional qui est quasiment saturé. J'aurais applaudi si on avait, par exemple, réalisé le projet Fatia (dans les années 80), en collaboration avec les Italiens. C'était le moment propice pour développer ce genre d'industrie et espérer glaner, à terme, quelques parts de marché.

            Mais aujourd'hui, franchement j'aurais souhaité plus d'investissement dans le transport public et particulièrement le ferroviaire (densification du réseau, amélioration des services, etc.). Un TGV Alger-Tam aurait certainement été plus utile au pays que ces milliers de carrosses qui encombrent nos routes et nous polluent l'atmosphère...
            Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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            • #7
              Sur le délai /taux d’intégration il n'y aura pas de changement ds le nouveau cahier des charges
              Sur quoi portera le changement alors ? Quel est l'objectif de cette révision ?
              Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

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              • #8
                Envoyé par fortuna
                ...Mais aujourd'hui, franchement j'aurais souhaité plus d'investissement dans le transport public et particulièrement le ferroviaire (densification du réseau, amélioration des services, etc.). Un TGV Alger-Tam aurait certainement été plus utile au pays que ces milliers de carrosses qui encombrent nos routes et nous polluent l'atmosphère...

                Un TGV Alger-Tam pour transporter sable et chameaux au grain et au poids

                Pour le ferroviaire il faut que l'etat construire un gare pour chaque famille surtout que les algeriens savent les techniques de croisement des rails sans ponts ni tunnels

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                • #9
                  L'industrie automobile en Algérie est encore balbutiante
                  pas du tout,elle est bien implanté cette industrie en Algérie,
                  moka and co nous annonce une usine par jour de l'est a l'ouest.

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                  • #10
                    Envoyé par Peace and love
                    Sur quoi portera le changement alors ? Quel est l'objectif de cette révision ?
                    Juste quelques exigences sur les constructeurs et investisseurs Algeriens pour convaincre les équipementiers de s'installer et le taux d'exportation

                    Commentaire


                    • #11
                      Juste quelques exigences sur les constructeurs et investisseurs Algeriens pour convaincre les équipementiers de s'installer
                      Les exigences.. c'est pas ce qui sert souvent à convaincre oeilfermé
                      Quand le pouvoir de l'amour dépassera l'amour du pouvoir, le monde connaîtra la paix (Jimi Hendrix)

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                      • #12
                        Envoyé par Peace and love
                        Les exigences.. c'est pas ce qui sert souvent à convaincre
                        Ya sahabi le nouveau ministre voulait juste faire la pub pour lui meme il pete plus loin que le détecteur de son nez

                        C le nouveau ministre veut tout de suite une unité de montage comme a Tanger il faut que le ministre basse sa robe a 100% pour le constructeur et les équipementiers Qu'il signe des accords de libre échange avec l'europe... et crée d free zones au service de la france et ses cousins occidentaux avec publicité qu'il est la prostituée la moins cher dans la region. Apres 1 ou 2 ans les Algériens sortent avec les tam tam comme leurs cousins Marocains pour dire nous sommes fabricants des véhicules... MAD IN CHEKCHEK
                        Dernière modification par MEC213, 01 août 2017, 04h05.

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                        • #13
                          il y a mieux, imposer des quotas à tout, et comme ca les marocains vont fabriquer tout, eux même...

                          on va même imposer des quotas sur le café...comme ca les agriculteurs vont se mettre à le cultiver...

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                          • #14
                            Amokrane,

                            Respire calmement l ami, le gouvernement vient de décider de subventionner les tournages de productions cinématiques internationales au maroc.

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