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Les pays africains n'ont pas d'incendies de forêts ?

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  • Les pays africains n'ont pas d'incendies de forêts ?

    une question me trotte l'esprit , pourquoi les pays africains n'ont pas d'incendies de forêts pourtant chez eux il fait beaucoup plus chaud
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

  • #2
    Acapulco
    pourquoi les pays africains n'ont pas d'incendies de forêts
    Parce que dans les forêts africaines il y a des animaux sauvages.

    Ailleurs,les sauvages vivent dans les villes

    c'est pour rire bien sûr !
    Formaté Algérien

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    • #3
      Bein de quelle région d'Afrique tu parles.

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      • #4
        ACA,

        Ah t as du rater ton Cours de Geographie....

        L Afrique centrale est trés verte.

        Et pour les incendies de forêts, il suffit de lire les journaux africains : oui il y en a comme partout ailleurs.
        Always on the sunny side.....

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        • #5
          Regarde actualités internet "incendies Afrique". La médiatisation est toujours très forte quand l'incendie touche un pays riche occidental ou Le Cap en Afrique du sud.

          Sputniknews.com 09 juin 2017:
          "D’après des photos prises par un satellite climatique de la NASA, des milliers d’incendies de forêt sont en cours sur le territoire de l’Afrique centrale. Dans la plupart des cas, le feu est causé par le facteur humain.
          La quasi-totalité du territoire de l'Afrique centrale entre le Sahara et les Grands Lacs à l'est du continent est en proie à des feux de forêt, pour la plupart provoqués par les fermiers, relate le NASA Goddard Institute for Space Studies (GISS).
          Chaque année, les forêts de presque tous les continents de la planète subissent des incendies de masse provoqués par des facteurs naturels, ainsi que par des actes humains imprudents ou même intentionnels. Par exemple, les incendies qui se sont produits il y a deux ans dans la région russe de Transbaïkalie (sud-ouest de la Sibérie) ont été causés, entre autres, par des feux que les habitants allumaient dans les forêts ou près de leurs maisons de campagne.
          D'après des experts du NASA, un phénomène similaire, mais à une plus grande échelle, fait rage actuellement en Afrique centrale, où l'agriculture sur brûlis représente toujours le système agraire dominant. Chaque année, les fermiers de cette partie du continent coupent et brûlent la jungle sur de grandes surfaces qu'ils utilisent pendant plusieurs années avant de les abandonner en passant à un nouveau secteur de la forêt.
          L'accroissement de la population africaine, le réchauffement mondial et les incendies causés par d'autres raisons, y compris par la foudre, ont provoqué un accroissement considérable des surfaces des incendies ces dernières années.
          Les dernières photos prises par l'appareil VIIRS à bord du satellite climatique Suomi NPP ont montré qu'actuellement, le territoire de l'Afrique centrale est en proie à des milliers d'incendies qui dégagent des produits de combustion volatils tels que des particules de cendre, des aérosols et de l'oxyde carbonique. D'après les scientifiques, cela détériore considérablement la qualité de l'air en Afrique et impacte la vie des fermiers qui utilisent le feu pour nettoyer les champs."

          Rfi afrique 27 juillet 2017:
          "Pas de victime, mais quelque 200 maisons ont été détruites à Djibouti par des incendies ces derniers jours. Dans la petite cité-Etat de la Corne de l’Afrique, des centaines de familles se sont retrouvées sans toit en raison de violents incendies, communs en cette période de l’année mais d’une ampleur sans précédent selon les habitants. Ils touchent principalement la commune de Balbala, l’immense banlieue de la capitale composée en grande partie de bidonvilles. Le système électrique serait en cause.
          Des vents violents, des températures dépassant 40 degrés, les incendies sont fréquents à Djibouti en cette période, mais pour Daher Robleh Ibrahim, militant d’opposition qui habite à Balbala, plus de 200 maisons détruites en moins d’une semaine, c’est du jamais vu : « Cette année, c’est incroyable. C’est quelque chose qui dépasse toutes les consciences. Les pompiers sont très loin et les bouches d’incendie se trouvent à peu près à cinq kilomètres des lieux. C’est plutôt à Djibouti-ville. Le temps qu’ils aillent là-bas, le feu gagne du terrain et détruit énormément de maisons. »
          Le ministre de l’Intérieur est apparu à la télévision nationale pour pointer du doigt les « raccordements sauvages » au réseau électrique. « Les origines de ces catastrophes, a déclaré Hassan Omar Mohammed, ainsi que les constats effectués par les services compétents, sont les installations électriques frauduleuses mises en place par des personnes sans scrupules qui ne mesurent pas les conséquences de leurs actes. »
          Pour Daher Robleh Ibrahim ce sont plutôt les délestages, récurrents ces dernières semaines, qui provoquent les surtensions à l’origine les incendies.
          Le chef de l’Etat s’est engagé à reloger immédiatement les personnes sinistrées. Les premières distributions d’aides ont commencé cette semaine."

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